Il y a deux ans, en 2014, Bruno Belamich imaginait la B-Rocket, une moto rétro-futuriste, en partenariat avec Harley-Davidson. Et depuis l’année dernière, Bell & Ross, s’intéresse de très près à l’univers de la voiture. Tout d’abord avec sa collection Vintage BR GT mais aussi et surtout, avec le récent partenariat signé avec Renault en Formule 1.
A l’occasion de la Foire de Bâle 2016, l’horloger franco-suisse renforce ses liens avec l’univers des quatre roues. En effet, la marque vient de dévoiler l’AéroGT, un bolide (virtuel) sorti tout droit de l’imagination de Bruno Belamich : « chaque année pour créer de nouveaux modèles, j’ai besoin de nouvelles sources d’inspirations. Après le succès de notre moto B-Rocket en 2014, je souhaitais aller encore plus loin et dessiner la voiture Bell & Ross. L’objectif était de réaliser une voiture « qui tienne la route » y compris vis-à-vis des professionnels de l’automobile. Ce « vrai challenge » a été avant tout un immense plaisir ».
En 2016, B&R imagine donc l’AeroGT, un concept-car avant-gardiste, une GT de grand sport à la carrosserie fuselée comme un avion de chasse. Cette voiture unique, que l’on doit au studio de design de l’horloger, n’est pas née par hasard. « Le Concept Car AeroGT est une extension de notre domaine de compétence, démontrant la capacité créative et la force de notre marque. Il me semblait intéressant, raconte Bruno Belamich, d’associer les codes Bell & Ross à une automobile, inspirée directement de l’aéronautique. Ce concept-car est en effet, la fusion entre un avion et une GT ».
A l’occasion de la Foire de Bâle 2016, l’horloger franco-suisse renforce ses liens avec l’univers des quatre roues. En effet, la marque vient de dévoiler l’AéroGT, un bolide (virtuel) sorti tout droit de l’imagination de Bruno Belamich : « chaque année pour créer de nouveaux modèles, j’ai besoin de nouvelles sources d’inspirations. Après le succès de notre moto B-Rocket en 2014, je souhaitais aller encore plus loin et dessiner la voiture Bell & Ross. L’objectif était de réaliser une voiture « qui tienne la route » y compris vis-à-vis des professionnels de l’automobile. Ce « vrai challenge » a été avant tout un immense plaisir ».
En 2016, B&R imagine donc l’AeroGT, un concept-car avant-gardiste, une GT de grand sport à la carrosserie fuselée comme un avion de chasse. Cette voiture unique, que l’on doit au studio de design de l’horloger, n’est pas née par hasard. « Le Concept Car AeroGT est une extension de notre domaine de compétence, démontrant la capacité créative et la force de notre marque. Il me semblait intéressant, raconte Bruno Belamich, d’associer les codes Bell & Ross à une automobile, inspirée directement de l’aéronautique. Ce concept-car est en effet, la fusion entre un avion et une GT ».
Depuis l’origine, Bell & Ross reprend les codes de l’aviation pour la conception de ses montres. Bruno Belamich passe donc une grande partie de son temps à étudier jets, chasseurs et bombardiers. Mais, ce passionné de mécanique, de style et de performance, aime aussi se frotter à l’asphalte des routes. « Le design de ce concept-car a pris un peu plus d’un an. Pour optimiser le résultat, nous avons travaillé avec des spécialistes de la conception automobile », déclare Bruno Belamich. Il était très important pour nous de faire une voiture performante, aux caractéristiques réalistes ». In fine, cette stupéfiante super-car (en images de synthèse), aussi fuselée qu’un jet, montre à quoi pourrait ressembler une auto Bell & Ross.
Avec l’AéroGT, l’horloger reste donc en prise direct avec ses racines aéronautiques. Très basse (1,10 m) et très aérodynamique, l’auto de 4,7 m de long, semble fendre l’air comme une flèche. Ses formes acérées aux angles vifs et aux décrochés tranchants rappellent certains avions furtifs. Il ne lui manque qu’une paire d’ailes pour décoller. Vu de-dessus, le pavillon vitré en forme de goutte d’eau, évoque la verrière recouvrant le cockpit d’un jet. Les rétroviseurs s’inspirent quant à eux des petites ailes, dénommées « canards », disposées sur le nez d’un chasseur.
Les deux sorties d’échappement aux dimensions inhabituelles font penser à des extracteurs de turboréacteurs de jet, alors que les jantes façon turbines, imitent les ailettes des moteurs d’un supersonique. Mais le plus impressionnant reste l’aileron longitudinal arrière qui rappelle la dérive d’un avion. Cet élément a pour mission de stabiliser le bolide dans les courbes rapides. L’AeroGT de Bell & Ross s’inspire des véhicules de Grand-Tourisme (Gran Turismo en Italien).
Avec l’AéroGT, l’horloger reste donc en prise direct avec ses racines aéronautiques. Très basse (1,10 m) et très aérodynamique, l’auto de 4,7 m de long, semble fendre l’air comme une flèche. Ses formes acérées aux angles vifs et aux décrochés tranchants rappellent certains avions furtifs. Il ne lui manque qu’une paire d’ailes pour décoller. Vu de-dessus, le pavillon vitré en forme de goutte d’eau, évoque la verrière recouvrant le cockpit d’un jet. Les rétroviseurs s’inspirent quant à eux des petites ailes, dénommées « canards », disposées sur le nez d’un chasseur.
Les deux sorties d’échappement aux dimensions inhabituelles font penser à des extracteurs de turboréacteurs de jet, alors que les jantes façon turbines, imitent les ailettes des moteurs d’un supersonique. Mais le plus impressionnant reste l’aileron longitudinal arrière qui rappelle la dérive d’un avion. Cet élément a pour mission de stabiliser le bolide dans les courbes rapides. L’AeroGT de Bell & Ross s’inspire des véhicules de Grand-Tourisme (Gran Turismo en Italien).
Cette catégorie de bolides, née au Pays de Pasolini dans les années 50, rassemble les plus illustres sportives de l’histoire de l’automobile. Et notamment la fameuse Ferrari 250 GTO fabriquée à 36 exemplaires dans les années 60. A l’époque, ces engins sportifs polyvalents étaient conçus pour être aussi à l’aise pour effectuer un voyage à grande vitesse, que pour courir sur circuit. Certains pilotes, « gentlemen drivers », se rendaient d’ailleurs directement par la route aux compétitions auxquelles ils prenaient ensuite part.
Comme un avion, l’AeroGT utilise des technologies de pointe et profite de performances de premier ordre. Son architecture de stricte deux places à moteur central apparaît très contemporaine. Dans les années 50 et 60, les GT s’appuient le plus souvent sur une architecture classique : moteur avant et propulsion.
Par la suite, les moteurs émigrent en masse au centre de la voiture, juste derrière les passagers. L’AeroGT reprend cette technique qui garantit une excellente répartition des masses entre avant et arrière. Accrochée au bitume, elle jouit d’un comportement routier et d’une tenue de route de premier ordre. Pour obtenir légèreté et rigidité, le châssis monocoque comme la carrosserie, utilisent le carbone. Résultat le bolide ne pèse que 1.320 kg. Un poids plume !
L’AeroGT est propulsée par un V8 bi-turbo de 4,2 l, allié à une boite de vitesse robotisée à 8 rapports, dernier cri. Cette super-car dispose de 610 ch, soit une puissance largement suffisante en toutes circonstances. Une pression sur l’accélérateur déclenche le déferlement des chevaux. Le bolide atteint 100 km/h en moins de 3 secondes… Les deux turbos octroient un maximum de couple aussi bien à bas, qu’à haut régime. Côté vitesse maxi, l’AeroGT est sensée rouler à 315 km/h, en pointe.
Du coup, le concept-car de Bell & Ross reçoit notamment, un tube de Pitot, installé au sommet de son aile droite. Cette sorte de sonde que l’on croise en aéronautique, mesure les très hautes vitesses. Les freins en céramique anti-échauffement ont pour leur part, la délicate mission de stopper ce missile routier.
Comme un avion, l’AeroGT utilise des technologies de pointe et profite de performances de premier ordre. Son architecture de stricte deux places à moteur central apparaît très contemporaine. Dans les années 50 et 60, les GT s’appuient le plus souvent sur une architecture classique : moteur avant et propulsion.
Par la suite, les moteurs émigrent en masse au centre de la voiture, juste derrière les passagers. L’AeroGT reprend cette technique qui garantit une excellente répartition des masses entre avant et arrière. Accrochée au bitume, elle jouit d’un comportement routier et d’une tenue de route de premier ordre. Pour obtenir légèreté et rigidité, le châssis monocoque comme la carrosserie, utilisent le carbone. Résultat le bolide ne pèse que 1.320 kg. Un poids plume !
L’AeroGT est propulsée par un V8 bi-turbo de 4,2 l, allié à une boite de vitesse robotisée à 8 rapports, dernier cri. Cette super-car dispose de 610 ch, soit une puissance largement suffisante en toutes circonstances. Une pression sur l’accélérateur déclenche le déferlement des chevaux. Le bolide atteint 100 km/h en moins de 3 secondes… Les deux turbos octroient un maximum de couple aussi bien à bas, qu’à haut régime. Côté vitesse maxi, l’AeroGT est sensée rouler à 315 km/h, en pointe.
Du coup, le concept-car de Bell & Ross reçoit notamment, un tube de Pitot, installé au sommet de son aile droite. Cette sorte de sonde que l’on croise en aéronautique, mesure les très hautes vitesses. Les freins en céramique anti-échauffement ont pour leur part, la délicate mission de stopper ce missile routier.