Le projet a débuté en 2007 avec deux objectifs : d’une part, développer un calibre chronographe automatique avec compteurs à 3, 6 et 9 heures ; d’autre part, trouver des solutions d’optimisation de construction et de coût.
De fil en aiguille -et grâce à l’ingéniosité des horlogers d’Eterna-, une famille entière de calibres a vu le jour.
Aujourd’hui, une construction spécifique et singulière permet d’assembler 88 différentes versions de mouvements en utilisant un seul et même mouvement de base.
Moyennant une interaction entre ce calibre et les différents composants ou groupes d’assemblage, les horlogers peuvent donc fabriquer une large gamme de calibres allant aussi bien d’un mouvement manuel deux, trois aiguilles simple à un chronographe automatique. En passant bien évidemment, par d’autres complications…
De fait, il suffit d’enlever les trois vis du pont décoratif du calibre trois aiguilles à remontage manuel pour y ajouter le module automatique qui se fixe par les mêmes trois vis et obtenir ainsi un calibre trois aiguilles automatique. Le même procédé est utilisé pour ajouter une réserve de marche. Les modules chronographe manuel et chronographe automatique prémontés se fixent également sur le mouvement de base par un jeu de vis.
De plus, peu de composants suffisent à ajouter une seconde au centre.
Côté cadran, l’adaptation des fonctions se fait aussi de manière très simple et les possibilités sont à nouveau extrêmement larges : date, jour date, date au centre et/ou deuxième fuseau horaire.
La palette de complications offertes par ce calibre ne l’empêche pas de se construire de manière simple avec peu de composants. De fait, l’usinage de toutes les versions est hautement industrialisé et l’assemblage optimisé.
« La qualité du mouvement est excellente » assure la marque dans son communiqué. Tout l’assortiment bénéficie d’une qualité chronomètre et le dispositif Spherodrive a encore été perfectionné. La très haute inertie du mouvement (16 g/mm2) lui permet d’afficher une marche extrêmement précise et stable pour une confortable réserve de marche de 68 heures !
Toutes les fonctions du chronographe sont commandées par une roue à colonne et celui-ci bénéficie également d’une fonction Flyback. En plus d’être un mouvement « Swiss made », il pourrait être qualifié de « Granges made ». Effectivement, 70% de ses composants sont produits à Granges ou aux alentours.
L’histoire d’Eterna a de tout temps été liée à la construction de mouvements. En effet, à ses débuts, l’entreprise fabriquait uniquement des ébauches. En 1948, Eterna révolutionna le mouvement automatique en proposant une masse oscillante sur roulement à billes. L’Eterna-Matic qui a servi de modèle est aujourd’hui un standard. L’utilisation du roulement à billes est devenue pour Eterna une évidence. Non contente de l’afficher sur son logo, elle a breveté en 2006 la technologie Spherodrive dont les billes en céramique, montées sur trois bagues concentriques, facilitent l'effort rotatif du barillet.
Cette technologie encore perfectionnée est utilisée dans la nouvelle famille de calibre 39 qui sera le fer de lance de la manufacture.
De fil en aiguille -et grâce à l’ingéniosité des horlogers d’Eterna-, une famille entière de calibres a vu le jour.
Aujourd’hui, une construction spécifique et singulière permet d’assembler 88 différentes versions de mouvements en utilisant un seul et même mouvement de base.
Moyennant une interaction entre ce calibre et les différents composants ou groupes d’assemblage, les horlogers peuvent donc fabriquer une large gamme de calibres allant aussi bien d’un mouvement manuel deux, trois aiguilles simple à un chronographe automatique. En passant bien évidemment, par d’autres complications…
De fait, il suffit d’enlever les trois vis du pont décoratif du calibre trois aiguilles à remontage manuel pour y ajouter le module automatique qui se fixe par les mêmes trois vis et obtenir ainsi un calibre trois aiguilles automatique. Le même procédé est utilisé pour ajouter une réserve de marche. Les modules chronographe manuel et chronographe automatique prémontés se fixent également sur le mouvement de base par un jeu de vis.
De plus, peu de composants suffisent à ajouter une seconde au centre.
Côté cadran, l’adaptation des fonctions se fait aussi de manière très simple et les possibilités sont à nouveau extrêmement larges : date, jour date, date au centre et/ou deuxième fuseau horaire.
La palette de complications offertes par ce calibre ne l’empêche pas de se construire de manière simple avec peu de composants. De fait, l’usinage de toutes les versions est hautement industrialisé et l’assemblage optimisé.
« La qualité du mouvement est excellente » assure la marque dans son communiqué. Tout l’assortiment bénéficie d’une qualité chronomètre et le dispositif Spherodrive a encore été perfectionné. La très haute inertie du mouvement (16 g/mm2) lui permet d’afficher une marche extrêmement précise et stable pour une confortable réserve de marche de 68 heures !
Toutes les fonctions du chronographe sont commandées par une roue à colonne et celui-ci bénéficie également d’une fonction Flyback. En plus d’être un mouvement « Swiss made », il pourrait être qualifié de « Granges made ». Effectivement, 70% de ses composants sont produits à Granges ou aux alentours.
L’histoire d’Eterna a de tout temps été liée à la construction de mouvements. En effet, à ses débuts, l’entreprise fabriquait uniquement des ébauches. En 1948, Eterna révolutionna le mouvement automatique en proposant une masse oscillante sur roulement à billes. L’Eterna-Matic qui a servi de modèle est aujourd’hui un standard. L’utilisation du roulement à billes est devenue pour Eterna une évidence. Non contente de l’afficher sur son logo, elle a breveté en 2006 la technologie Spherodrive dont les billes en céramique, montées sur trois bagues concentriques, facilitent l'effort rotatif du barillet.
Cette technologie encore perfectionnée est utilisée dans la nouvelle famille de calibre 39 qui sera le fer de lance de la manufacture.
