Opus One – François-Paul Journe
Trois modèles, trois mouvements exceptionnels. Bijou masculin d’une rare beauté, l’Opus One 5 Days Automatic bat à 21'600 alternances par heure. L’Opus One Resonance Chronometer est une pure folie mécanique à double fuseau horaire, nouvelle version du chronomètre à résonance de François-Paul Journe. Enfin, l’Opus One Tourbillon met en scène la plus respectée des complications horlogères dans un univers alliant innovation, technologie et tradition. Trois séries limitées de six pièces, toutes uniques.
Opus Two – Antoine Preziuso
Deux montres, deux hommages à la beauté intrinsèque du mécanisme à tourbillon. Opus Two Tourbillon with Perpetual Calendar possède le charme d’antan des montres qui ne se dévoilent pas au premier regard. Côté cadran, un tourbillon posé sur une délicate architecture de ponts exposés. Côté fond, une autre merveille cachée derrière un couvercle secret : le fameux quantième perpétuel rétrograde breveté de la Maison Harry Winston. La seconde Opus Two est un tourbillon dont la cage se détache sur une esthétique ajourée, constellée de diamants. La boîte quant à elle est sertie de diamants baguette. Deux séries limitées de onze pièces et une pièce toute sertie par mouvement.
Opus 3 – Vianney Halter
Opus 3 emmène le concept vers des cimes que la Haute Horlogerie n'avait pas encore explorées. Si son design a bouleversé les conventions, son mécanisme a repoussé les limites de l’horlogerie comme aucune montre ne l’avait fait auparavant. Sur le boîtier rectangulaire en or, six ouvertures en forme de hublot affichent chacune un chiffre de couleur. Bleu pour les heures, qui se lisent sur les ouvertures supérieures à gauche et à droite ; noir pour les minutes, dans les hublots inférieurs à gauche et à droite ; rouge pour la date qui apparaît de manière verticale dans les fenêtres du centre. L’affichage repose sur le saut instantané de l’ensemble des six indications. Une prouesse technique unique en son genre. Série limitée de 55 pièces, 25 en or rose 18 carats, 25 en platine 950PT et 5 en platine serties de diamants blancs Harry Winston.
Opus 4 – Christophe Claret
Si de prime abord elle semble traditionnelle avec son boîtier d'inspiration Premier, Opus 4 n'en est pas moins une montre d'exception. Totalement réversible, elle présente une face technique avec un tourbillon et une répétition minutes dotée d'un timbre cathédrale, et une face romantique avec une grande lune délicatement gravée et un quantième indiqué sur le pourtour du cadran. Sans succomber à la surenchère, l’Opus 4 est le porte-parole de la virtuosité d’un des derniers spécialistes suisses de la montre à sonnerie. Le mouvement conçu par Christophe Claret comprend 423 pièces, dont 40 rubis. Série limitée de 20 pièces.
Opus V – Félix Baumgartner
Deux premières mondiales pour une montre charismatique. Une complication inédite, l’affichage de l’heure. Opus 5 ne pouvait être qu’éblouissante. Tout d’abord, par son heure satellite : disposés en satellites sur un système rotatif en trois dimensions, trois plots portant chacun quatre chiffres donnent l’heure à tour de rôle en tournant sur deux axes. Ensuite, par son « service indicator » gradué de 0 à 5 ans au dos de la montre, qui permet au porteur de savoir à quel moment il devra soumettre sa montre à un contrôle. Série limitée de 100 pièces.
Opus 6 – Robert Greubel & Stephen Forsey
Opus oblige, le tourbillon de ce modèle lui confère un nouveau degré de précision. Un tourbillon majestueux, libéré visuellement de sa cage et affranchi des rouages, escorté de deux guichets heure et minutes. Opus 6 réunit deux exploits techniques. Le premier se cache dans la forme même du module, incliné à 30 degrés pour permettre au balancier d'osciller en permanence dans tous les plans. Le second exploit est d’être parvenu à rendre invisibles les rouages, en les excentrant sous le pont qui masque toute la partie droite du cadran. Le rendu, d’une pureté absolue, est magique. Série limitée de six pièces.
Opus 7 – Andreas Strehler
Une merveille de mouvement, en forme de papillon, inspiré de l’Art Nouveau. D’une légèreté extraordinaire, le pont ainsi sculpté, qui emplit littéralement l’espace, propose un affichage alternatif ingénieux et ludique. Pas d'aiguilles pour les heures, les minutes et la réserve de marche, mais un disque qui tourne sous l'action de la couronne. Une première pression pour faire coïncider le chiffre de l'heure avec l'indicateur en forme de triangle de la roue positionnée à 10h. Une deuxième pression pour placer le chiffre des minutes en face de l'indicateur. Une troisième et c'est la réserve de marche que l'on peut lire. Série limitée de 50 pièces.
Opus 8 – Frédéric Garinaud
Opus 8, l’art de l’émotion digitale. Le boîtier résolument seventies abrite un mouvement mécanique à remontage manuel avec affichage digital des heures et des minutes. Visuellement, tout du moins. Car la réalité est bien plus complexe… Originaux, les chiffres n’apparaissent qu’à la demande, au moyen d’une targette située sur le côté droit de la montre. Librement inspiré du jeu de la planche à clous qui reproduit les formes qu’on lui imprime - main, visage, etc., le mécanisme relie toutes les fonctions : la minute entraîne l’heure, qui entraîne à son tour l’AM/PM, permettant ainsi de tout afficher à la demande. Série limitée de 50 pièces.
Opus 9 – Jean-Marc Wiederrecht & Eric Giroud
Si les diamants sont l’âme de Harry Winston, Opus 9 les révèle sous un nouveau jour en leur offrant le premier rôle dans le mécanisme d’affichage. Pas de cadran mais deux chaînes, une pour les heures, l’autre pour les minutes, qui entraînent 33 pierres précieuses de taille émeraude. Pas d’aiguilles mais un affichage linéaire pointé par deux grenats almandins orange vif. La magie de l’affichage repose sur un mécanisme de crémaillère et de pignon. Derrière cette apparente simplicité, un équilibre parfait et une précision extrême sont essentiels pour assurer un glissement continu. Opus 9 marie intimement l’horlogerie et la joaillerie dans un boîtier sculptural qui renforce la beauté fonctionnelle des gemmes. Série limitée de 100 pièces.
Opus 10 – Jean-François Mojon
Dimension inédite, par l’architecture savante du boîtier et de l’affichage temporel. Effet de mouvement insolite, par la rotation continue en 24 heures d’une plate-forme soutenant les données du temps. Les heures, minutes et secondes y sont dissociées en trois modules qui gardent la même orientation quelle que soit la position de la plate-forme. L’effet giratoire est accentué par les axes obliques des indications qui suivent parfaitement le galbe de la glace. Développé sur un train d’engrenages planétaire constitué d’une roue solaire, d’un satellite et d’un châssis, le mouvement mécanique à remontage manuel ajoute à l’heure, aux minutes et aux secondes, l’affichage d’un second fuseau horaire de 24 heures en périphérie de la plate-forme et d’une réserve de marche linéaire sur le fond du boîtier. Série limitée de 100 pièces.
Trois modèles, trois mouvements exceptionnels. Bijou masculin d’une rare beauté, l’Opus One 5 Days Automatic bat à 21'600 alternances par heure. L’Opus One Resonance Chronometer est une pure folie mécanique à double fuseau horaire, nouvelle version du chronomètre à résonance de François-Paul Journe. Enfin, l’Opus One Tourbillon met en scène la plus respectée des complications horlogères dans un univers alliant innovation, technologie et tradition. Trois séries limitées de six pièces, toutes uniques.
Opus Two – Antoine Preziuso
Deux montres, deux hommages à la beauté intrinsèque du mécanisme à tourbillon. Opus Two Tourbillon with Perpetual Calendar possède le charme d’antan des montres qui ne se dévoilent pas au premier regard. Côté cadran, un tourbillon posé sur une délicate architecture de ponts exposés. Côté fond, une autre merveille cachée derrière un couvercle secret : le fameux quantième perpétuel rétrograde breveté de la Maison Harry Winston. La seconde Opus Two est un tourbillon dont la cage se détache sur une esthétique ajourée, constellée de diamants. La boîte quant à elle est sertie de diamants baguette. Deux séries limitées de onze pièces et une pièce toute sertie par mouvement.
Opus 3 – Vianney Halter
Opus 3 emmène le concept vers des cimes que la Haute Horlogerie n'avait pas encore explorées. Si son design a bouleversé les conventions, son mécanisme a repoussé les limites de l’horlogerie comme aucune montre ne l’avait fait auparavant. Sur le boîtier rectangulaire en or, six ouvertures en forme de hublot affichent chacune un chiffre de couleur. Bleu pour les heures, qui se lisent sur les ouvertures supérieures à gauche et à droite ; noir pour les minutes, dans les hublots inférieurs à gauche et à droite ; rouge pour la date qui apparaît de manière verticale dans les fenêtres du centre. L’affichage repose sur le saut instantané de l’ensemble des six indications. Une prouesse technique unique en son genre. Série limitée de 55 pièces, 25 en or rose 18 carats, 25 en platine 950PT et 5 en platine serties de diamants blancs Harry Winston.
Opus 4 – Christophe Claret
Si de prime abord elle semble traditionnelle avec son boîtier d'inspiration Premier, Opus 4 n'en est pas moins une montre d'exception. Totalement réversible, elle présente une face technique avec un tourbillon et une répétition minutes dotée d'un timbre cathédrale, et une face romantique avec une grande lune délicatement gravée et un quantième indiqué sur le pourtour du cadran. Sans succomber à la surenchère, l’Opus 4 est le porte-parole de la virtuosité d’un des derniers spécialistes suisses de la montre à sonnerie. Le mouvement conçu par Christophe Claret comprend 423 pièces, dont 40 rubis. Série limitée de 20 pièces.
Opus V – Félix Baumgartner
Deux premières mondiales pour une montre charismatique. Une complication inédite, l’affichage de l’heure. Opus 5 ne pouvait être qu’éblouissante. Tout d’abord, par son heure satellite : disposés en satellites sur un système rotatif en trois dimensions, trois plots portant chacun quatre chiffres donnent l’heure à tour de rôle en tournant sur deux axes. Ensuite, par son « service indicator » gradué de 0 à 5 ans au dos de la montre, qui permet au porteur de savoir à quel moment il devra soumettre sa montre à un contrôle. Série limitée de 100 pièces.
Opus 6 – Robert Greubel & Stephen Forsey
Opus oblige, le tourbillon de ce modèle lui confère un nouveau degré de précision. Un tourbillon majestueux, libéré visuellement de sa cage et affranchi des rouages, escorté de deux guichets heure et minutes. Opus 6 réunit deux exploits techniques. Le premier se cache dans la forme même du module, incliné à 30 degrés pour permettre au balancier d'osciller en permanence dans tous les plans. Le second exploit est d’être parvenu à rendre invisibles les rouages, en les excentrant sous le pont qui masque toute la partie droite du cadran. Le rendu, d’une pureté absolue, est magique. Série limitée de six pièces.
Opus 7 – Andreas Strehler
Une merveille de mouvement, en forme de papillon, inspiré de l’Art Nouveau. D’une légèreté extraordinaire, le pont ainsi sculpté, qui emplit littéralement l’espace, propose un affichage alternatif ingénieux et ludique. Pas d'aiguilles pour les heures, les minutes et la réserve de marche, mais un disque qui tourne sous l'action de la couronne. Une première pression pour faire coïncider le chiffre de l'heure avec l'indicateur en forme de triangle de la roue positionnée à 10h. Une deuxième pression pour placer le chiffre des minutes en face de l'indicateur. Une troisième et c'est la réserve de marche que l'on peut lire. Série limitée de 50 pièces.
Opus 8 – Frédéric Garinaud
Opus 8, l’art de l’émotion digitale. Le boîtier résolument seventies abrite un mouvement mécanique à remontage manuel avec affichage digital des heures et des minutes. Visuellement, tout du moins. Car la réalité est bien plus complexe… Originaux, les chiffres n’apparaissent qu’à la demande, au moyen d’une targette située sur le côté droit de la montre. Librement inspiré du jeu de la planche à clous qui reproduit les formes qu’on lui imprime - main, visage, etc., le mécanisme relie toutes les fonctions : la minute entraîne l’heure, qui entraîne à son tour l’AM/PM, permettant ainsi de tout afficher à la demande. Série limitée de 50 pièces.
Opus 9 – Jean-Marc Wiederrecht & Eric Giroud
Si les diamants sont l’âme de Harry Winston, Opus 9 les révèle sous un nouveau jour en leur offrant le premier rôle dans le mécanisme d’affichage. Pas de cadran mais deux chaînes, une pour les heures, l’autre pour les minutes, qui entraînent 33 pierres précieuses de taille émeraude. Pas d’aiguilles mais un affichage linéaire pointé par deux grenats almandins orange vif. La magie de l’affichage repose sur un mécanisme de crémaillère et de pignon. Derrière cette apparente simplicité, un équilibre parfait et une précision extrême sont essentiels pour assurer un glissement continu. Opus 9 marie intimement l’horlogerie et la joaillerie dans un boîtier sculptural qui renforce la beauté fonctionnelle des gemmes. Série limitée de 100 pièces.
Opus 10 – Jean-François Mojon
Dimension inédite, par l’architecture savante du boîtier et de l’affichage temporel. Effet de mouvement insolite, par la rotation continue en 24 heures d’une plate-forme soutenant les données du temps. Les heures, minutes et secondes y sont dissociées en trois modules qui gardent la même orientation quelle que soit la position de la plate-forme. L’effet giratoire est accentué par les axes obliques des indications qui suivent parfaitement le galbe de la glace. Développé sur un train d’engrenages planétaire constitué d’une roue solaire, d’un satellite et d’un châssis, le mouvement mécanique à remontage manuel ajoute à l’heure, aux minutes et aux secondes, l’affichage d’un second fuseau horaire de 24 heures en périphérie de la plate-forme et d’une réserve de marche linéaire sur le fond du boîtier. Série limitée de 100 pièces.