Tout le monde le sait dans le milieu de l’horlogerie… Julien Dray apprécie les montres de luxe et surtout de collection. Il ne s’agit pas pour lui d’aimer telle ou telle pièce parce qu’elle est chère ou à la mode…
Non ! Julien Dray est un véritable amateur doublé d’un fin connaisseur de garde-temps. Il n’est d’ailleurs pas rare de le croiser dans certaines boutiques parisiennes. Discutez quelques minutes avec lui vous convaincront que l’homme connait son sujet !
Dès lors, on comprend mieux que Julien Dray (même si l’info reste tout de même surprenante) ait accepté cette chronique au sein du magazine Lui, récemment relancé par Jean-Yves le Fur et dirigé par Frédéric Beigbeder. Bon "coup de com" pour le mensuel qui va s’attirer de nouveaux lecteurs et pouvoir séduire les annonceurs horlogers par la même occasion.
Au sujet des montes, le politicien déclarait à la radio en 2009 : « C'est une passion. Je suis petit-fils d'horloger. Ça aurait même pu être un métier. (...) Je n'aime pas les montres de luxe mais les montres anciennes. Ma passion, c'est de chercher le cadran et les aiguilles pendant des semaines. (...) Je n'ai pas une collection de montres, j'en ai cinq ou six et si je veux en acheter une nouvelle, j'en revends une. (...) Je ne suis pas collectionneur mais amateur éclairé ».
Rappelons que Julien Dray a eu quelques déboires avec la justice il y a quelques années pour une montre de valeur qui aurait été payée en partie en liquide... Toutefois, cette affaire avait finalement été classée sans suite.
Non ! Julien Dray est un véritable amateur doublé d’un fin connaisseur de garde-temps. Il n’est d’ailleurs pas rare de le croiser dans certaines boutiques parisiennes. Discutez quelques minutes avec lui vous convaincront que l’homme connait son sujet !
Dès lors, on comprend mieux que Julien Dray (même si l’info reste tout de même surprenante) ait accepté cette chronique au sein du magazine Lui, récemment relancé par Jean-Yves le Fur et dirigé par Frédéric Beigbeder. Bon "coup de com" pour le mensuel qui va s’attirer de nouveaux lecteurs et pouvoir séduire les annonceurs horlogers par la même occasion.
Au sujet des montes, le politicien déclarait à la radio en 2009 : « C'est une passion. Je suis petit-fils d'horloger. Ça aurait même pu être un métier. (...) Je n'aime pas les montres de luxe mais les montres anciennes. Ma passion, c'est de chercher le cadran et les aiguilles pendant des semaines. (...) Je n'ai pas une collection de montres, j'en ai cinq ou six et si je veux en acheter une nouvelle, j'en revends une. (...) Je ne suis pas collectionneur mais amateur éclairé ».
Rappelons que Julien Dray a eu quelques déboires avec la justice il y a quelques années pour une montre de valeur qui aurait été payée en partie en liquide... Toutefois, cette affaire avait finalement été classée sans suite.
