Dans le monde de l’horlogerie indépendante, Kari Voutilainen est un « dieu vivant ». L’homme et sa quinzaine de collaborateurs sont installés dans sa manufacture du Val-de-Travers près de Moutier dans le Canton de Neuchâtel. C’est là-bas qu’il réalise patiemment, à longueur d’années, ses plus belles créations horlogères. De A à Z et pas plus d’une cinquantaine de pièces par an.
Cet horloger hors du commun est commercialisé en France par Ekso Galerie (tout comme Andreas Strehler d’ailleurs, lauréat du Prix Gaïa 2013 ; c’est dire si Ekaterina Sotnikova a le don de découvrir ce qui se fait de mieux dans le monde de l’horlogerie indépendante). « Pour moi, souligne la fondatrice de cette galerie, Kari Voutilainen est sans aucun doute l’un des meilleurs horlogers au monde actuellement. D’origine finlandaise, c’est un homme timide et discret qui affiche de vraies valeurs. Au-delà de sa perpétuelle quête de perfection, c’est un créateur de génie qui possède un très grand respect pour l’artisanat, pour « l’intelligence de la main ». Avec pour finir, le goût des choses simples et du travail bien fait ».
Rappelons que le Prix Gaïa a été créé en hommage à l’un des tous premiers mécènes du Musée d’horlogerie, Maurice Ditisheim, Président du Conseil d’administration du Bureau de contrôle des métaux précieux.
Cet horloger hors du commun est commercialisé en France par Ekso Galerie (tout comme Andreas Strehler d’ailleurs, lauréat du Prix Gaïa 2013 ; c’est dire si Ekaterina Sotnikova a le don de découvrir ce qui se fait de mieux dans le monde de l’horlogerie indépendante). « Pour moi, souligne la fondatrice de cette galerie, Kari Voutilainen est sans aucun doute l’un des meilleurs horlogers au monde actuellement. D’origine finlandaise, c’est un homme timide et discret qui affiche de vraies valeurs. Au-delà de sa perpétuelle quête de perfection, c’est un créateur de génie qui possède un très grand respect pour l’artisanat, pour « l’intelligence de la main ». Avec pour finir, le goût des choses simples et du travail bien fait ».
Rappelons que le Prix Gaïa a été créé en hommage à l’un des tous premiers mécènes du Musée d’horlogerie, Maurice Ditisheim, Président du Conseil d’administration du Bureau de contrôle des métaux précieux.
Kari Voutilainen
Né en Finlande en 1962, Kari Voutilainen avoue une passion horlogère vieille d’une trentaine d’années. Sa formation initiale fut acquise à l’Ecole d’horlogerie de Tapiola en Finlande, établissement de réputation mondiale. C’est en 1989 qu’il effectua son premier séjour en Suisse, suivant à l’Ecole horlogère internationale le cours Wostep consacré aux montres compliquées, véritable école d’application pour les horlogers diplômés se destinant à la restauration de montres compliquées, exceptionnelles et rares.
Parmigiani Mesure et Art du Temps ne tarda pas à le repérer, et c’est dans cette société que, pendant les dix années suivantes, il se trouva au centre d’un travail de restauration de montres, parmi les plus rares au monde, et qu’il s’impliqua également dans la création de pièces uniques et originales.
Soucieux de partager sa propre expérience, Kari Voutilainen consacra les trois années suivantes à enseigner à l’Ecole horlogère Wostep, où il dirigea la section des montres compliquées. Il se chargea aussi de la formation complète des débutants, ajoutant de nombreux cours à un programme conçu par ses propres soins.
Suivant en cela son penchant naturel, la démarche de Kari Voutilainen consiste à rendre hommage à l’enseignement généreux et bienveillant des maîtres horlogers du passé qui ont transmis le savoir-faire séculaire dont ils étaient les détenteurs. En plus de ses obligations professionnelles, Kari Voutilainen s’est appliqué, durant de longues soirées au cours des quinze dernières années, à rechercher la perfection dans des mécanismes horlogers novateurs et uniques, qui figurent dans ses élégantes montres.
Donnant libre cours à sa passion, et dans le but de poursuivre cette tradition inestimable, Kari Voutilainen s’est établi à son compte à Môtiers en 2002, en qualité d’Artisan d’horlogerie d’art.
Cet horloger n’est pas du genre à se contenter de concevoir des projets, il les exécute lui-même, créant chaque élément, aussi bien technique qu’esthétique. C’est seulement à cette condition que les pièces d’horlogerie de Kari Voutilainen sont susceptibles d’être transmises de génération en génération. Comme c’est toujours le cas pour une montre faite entièrement à la main, la production demeure strictement limitée (inférieure à 50 pièces par an).
Parmigiani Mesure et Art du Temps ne tarda pas à le repérer, et c’est dans cette société que, pendant les dix années suivantes, il se trouva au centre d’un travail de restauration de montres, parmi les plus rares au monde, et qu’il s’impliqua également dans la création de pièces uniques et originales.
Soucieux de partager sa propre expérience, Kari Voutilainen consacra les trois années suivantes à enseigner à l’Ecole horlogère Wostep, où il dirigea la section des montres compliquées. Il se chargea aussi de la formation complète des débutants, ajoutant de nombreux cours à un programme conçu par ses propres soins.
Suivant en cela son penchant naturel, la démarche de Kari Voutilainen consiste à rendre hommage à l’enseignement généreux et bienveillant des maîtres horlogers du passé qui ont transmis le savoir-faire séculaire dont ils étaient les détenteurs. En plus de ses obligations professionnelles, Kari Voutilainen s’est appliqué, durant de longues soirées au cours des quinze dernières années, à rechercher la perfection dans des mécanismes horlogers novateurs et uniques, qui figurent dans ses élégantes montres.
Donnant libre cours à sa passion, et dans le but de poursuivre cette tradition inestimable, Kari Voutilainen s’est établi à son compte à Môtiers en 2002, en qualité d’Artisan d’horlogerie d’art.
Cet horloger n’est pas du genre à se contenter de concevoir des projets, il les exécute lui-même, créant chaque élément, aussi bien technique qu’esthétique. C’est seulement à cette condition que les pièces d’horlogerie de Kari Voutilainen sont susceptibles d’être transmises de génération en génération. Comme c’est toujours le cas pour une montre faite entièrement à la main, la production demeure strictement limitée (inférieure à 50 pièces par an).