Jusqu’à maintenant MB&F proposait à ses clients des montres « from outer space » !
Des pièces hors-normes au looks extrêmes, aux conceptions débridées, aux concepts futuristes, aux mécaniques avant-gardistes.
Des garde-temps réservés à certains amateurs éclairés (n’est-ce pas Mr Bernard Cheong ?). Des montres aux boites complexes qui n’avait pas forcément l’heur de plaire à tout le monde.
Aujourd’hui, MB&F poursuit sa quête de l’inédit… Résultat : la Legacy Machine N°1. La LM1. Une montre ronde , donc d’apparence « plus sage » mais qui recèle tout de même en son sein de sacrés trésors de mécaniques.
Jugez vous-même : au centre du cadran apparait un imposant balancier, un mouvement magnifiquement décoré, deux zones horaires entièrement indépendantes, un indicateur de réserve de marche vertical unique au monde et un élégant boîtier annulaire…
Cette montre, comme le souligne le communiqué de la marque « est à la fois un hommage rendu aux grands noms de l’horlogerie et une authentique Horological Machine tridimensionnelle de MB&F ». L’idée de la Legacy Machine N° 1 a germé lorsque Maximilian Büsser –qui n’est jamais à court d’idées- a commencé à se demander ce qui serait arrivé s'il avait vu le jour en 1867 plutôt qu'en 1967…. Bref, une histoire de « si » !
Des pièces hors-normes au looks extrêmes, aux conceptions débridées, aux concepts futuristes, aux mécaniques avant-gardistes.
Des garde-temps réservés à certains amateurs éclairés (n’est-ce pas Mr Bernard Cheong ?). Des montres aux boites complexes qui n’avait pas forcément l’heur de plaire à tout le monde.
Aujourd’hui, MB&F poursuit sa quête de l’inédit… Résultat : la Legacy Machine N°1. La LM1. Une montre ronde , donc d’apparence « plus sage » mais qui recèle tout de même en son sein de sacrés trésors de mécaniques.
Jugez vous-même : au centre du cadran apparait un imposant balancier, un mouvement magnifiquement décoré, deux zones horaires entièrement indépendantes, un indicateur de réserve de marche vertical unique au monde et un élégant boîtier annulaire…
Cette montre, comme le souligne le communiqué de la marque « est à la fois un hommage rendu aux grands noms de l’horlogerie et une authentique Horological Machine tridimensionnelle de MB&F ». L’idée de la Legacy Machine N° 1 a germé lorsque Maximilian Büsser –qui n’est jamais à court d’idées- a commencé à se demander ce qui serait arrivé s'il avait vu le jour en 1867 plutôt qu'en 1967…. Bref, une histoire de « si » !
« Les montres-bracelets apparaissent dans les premières années du 20ème siècle et j'ai envie de créer des machines tridimensionnelles pour le poignet. Mais mes sources d'inspiration -Goldorak, Star Wars, avions à réaction- n'existent pas encore » remarque Maximilian Büsser. Et d’ajouter : « J’ai par contre les montres de poche, Jules Verne et la Tour Eiffel. A quoi va donc ressembler ma Horological Machine de 1911 ? Elle va être ronde et tridimensionnelle : la Legacy Machine N° 1 était née ». Voilà, tout simplement…
Fidèle à la remarquable qualité des montres de poche du 19ème siècle, la LM1 se caractérise par un balancier de grand diamètre aux oscillations calmes (2,5 Hz), qui s’accompagne d’un spiral avec courbe terminale Breguet et flotte sous une double arche majestueuse.
Dépourvu de toute connexion apparente avec le mouvement, l'énigmatique mécanisme de régulation se révèle entièrement au regard. Les heures et les minutes affichées sur les deux cadrans, dont la conception galbée renforce la référence visuelle à l’âge d’or de l’horlogerie (1780-1850), peuvent être réglées de manière totalement indépendante, « une fonctionnalité inédite pour ce type de complication » assure la marque dans son communiqué.
Semblable à un sextant miniature, l’affichage vertical de la réserve de marche –une autre première mondiale tout à fait géniale– indique l’énergie résiduelle disponible tout en offrant un contrepoint visuel en trois dimensions aux gracieuses arches qui soutiennent le balancier.
« Quand le regard traverse le dôme de saphir de la Legacy Machine N° 1 pour contempler la fantasmagorie micromécanique qu’il recouvre, comment ne pas songer au Capitaine Nemo découvrant la mythique cité de l’Atlantide ? » s’interroge encore la marque dans son communiqué.
Le mouvement de manufacture de la Legacy Machine N° 1 a été réalisé par l’équipe de Chronode. Jean-François Mojon (couronné Meilleur horloger concepteur au Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2010) a relevé le défi de développer le calibre de la LM1 en partant d’une feuille blanche, tandis que le célèbre horloger indépendant Kari Voutilainen en réalisait le design dans le plus pur respect de la tradition et des finitions classiques.
Les côtes de Genève, des chatons et des ponts en or au poli spéculaire, parfaitement biseautés selon des angles intérieurs choisis (qui ne peuvent être réalisés à la machine) illustrent la subtile décoration d'un mouvement sans pareil. Le calibre de la Legacy Machine N° 1 porte fièrement le nom de ses deux auteurs ; c’est d’ailleurs le premier calibre autre que les siens à porter le nom de Voutilainen.
Fidèle à la remarquable qualité des montres de poche du 19ème siècle, la LM1 se caractérise par un balancier de grand diamètre aux oscillations calmes (2,5 Hz), qui s’accompagne d’un spiral avec courbe terminale Breguet et flotte sous une double arche majestueuse.
Dépourvu de toute connexion apparente avec le mouvement, l'énigmatique mécanisme de régulation se révèle entièrement au regard. Les heures et les minutes affichées sur les deux cadrans, dont la conception galbée renforce la référence visuelle à l’âge d’or de l’horlogerie (1780-1850), peuvent être réglées de manière totalement indépendante, « une fonctionnalité inédite pour ce type de complication » assure la marque dans son communiqué.
Semblable à un sextant miniature, l’affichage vertical de la réserve de marche –une autre première mondiale tout à fait géniale– indique l’énergie résiduelle disponible tout en offrant un contrepoint visuel en trois dimensions aux gracieuses arches qui soutiennent le balancier.
« Quand le regard traverse le dôme de saphir de la Legacy Machine N° 1 pour contempler la fantasmagorie micromécanique qu’il recouvre, comment ne pas songer au Capitaine Nemo découvrant la mythique cité de l’Atlantide ? » s’interroge encore la marque dans son communiqué.
Le mouvement de manufacture de la Legacy Machine N° 1 a été réalisé par l’équipe de Chronode. Jean-François Mojon (couronné Meilleur horloger concepteur au Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2010) a relevé le défi de développer le calibre de la LM1 en partant d’une feuille blanche, tandis que le célèbre horloger indépendant Kari Voutilainen en réalisait le design dans le plus pur respect de la tradition et des finitions classiques.
Les côtes de Genève, des chatons et des ponts en or au poli spéculaire, parfaitement biseautés selon des angles intérieurs choisis (qui ne peuvent être réalisés à la machine) illustrent la subtile décoration d'un mouvement sans pareil. Le calibre de la Legacy Machine N° 1 porte fièrement le nom de ses deux auteurs ; c’est d’ailleurs le premier calibre autre que les siens à porter le nom de Voutilainen.
La Legacy Machine N° 1 en détail
Maximilian Büsser cultive depuis toujours de profondes affinités avec les montres de poche des 18ème et 19ème siècles.
« Presque toutes les complications que nous connaissons aujourd'hui ont été imaginées durant cette période, mais aussi développées à l’aide d’un crayon et d’une feuille de papier, sans logiciels sophistiqués souligne-t-il. Les composants étaient fabriqués avec un très haut degré de précision sur des machines sans électricité, puis finement décorés, assemblés et réglés avec une qualité que nous peinons aujourd'hui à égaler. Les dimensions de ces montres de poche, généreuses si on les compare aux montres-bracelets modernes, favorisaient la création de mouvements à l’architecture aérienne, avec des ponts et des platines aux formes magnifiques ».
Le moteur : c'est Jean-François Mojon -et son équipe de Chronode, au Locle, en Suisse- qui a développé l’ingénieux mouvement tridimensionnel de la LM1 spécialement pour MB&F, à partir d’esquisses de Maximilian Büsser et du design d’Eric Giroud.
Le balancier annulaire et le spiral constituent le cœur même de toute montre mécanique car ils assurent la précision de la mesure du temps. Maximilian Büsser a toujours été fasciné par les balanciers aux oscillations longues et lentes des anciennes montres de poche -18'000 alternances par heure comparées aux 28'800 des montres d'aujourd'hui et même 36.000 pour le fameux El Primero de Zenith.
Etonnante est la manière dont il a radicalement réinterprété la tradition : habituellement dissimulé à l'arrière du mouvement, le balancier a ici été déplacé, pas seulement à l'avant, mais flottant au-dessus du mouvement, et même au-dessus des cadrans.
Si la position de l’organe réglant de la Legacy Machine N° 1 peut être considérée comme avant-gardiste, le respect de la tradition s’exprime dans l’imposant diamètre (14 mm) de ce balancier doté de vis de régulation, mis au point pour MB&F, ainsi que dans le spiral muni d’une courbe terminale Breguet et d’une fixation mobile au piton.
Autre particularité du mouvement de la LM1 : le réglage totalement indépendant des deux zones horaires (d’où les deux couronnes). La très grande majorité des mécanismes à deux zones horaires ne permettent qu’un ajustement « limité » des heures et de rares modèles proposent un réglage à la demi-heure. La Legacy Machine N° 1, elle, autorise le réglage séparé des heures et des minutes, sur chaque cadran, selon le bon vouloir de l’utilisateur (Parmigiani offre également une montre avec cette fonction).
Première mondiale : l'indicateur de réserve de marche vertical de la LM1 est commandé par un différentiel ultraplat doté de roulements à billes en céramique qui rend possible une complication plus mince et un mécanisme plus robuste et plus résistant.
Cadran et indications : la mesure du temps des deux cadrans est contrôlée par le même organe réglant (balancier et échappement), de sorte qu’une fois ajustées, les deux indications temporelles sont parfaitement synchronisées.
Pour compléter la tridimensionnalité du balancier flottant dans l'espace, les deux cadrans blancs avec leurs aiguilles en or bleu brillant « flottent » eux aussi au-dessus du mouvement. Ils brillent d'un éclat translucide doux, obtenu selon la technique dite de la laque tendue, consistant à appliquer et à chauffer de multiples couches afin de s’étendre sur toute la surface. Pour garantir la pureté esthétique des cadrans et de leurs chiffres romains traditionnels, un système sophistiqué de fixation inférieure rend superflue l’utilisation de vis toujours gênantes pour le regard.
Raffinement des finitions et légitimité historique : le célèbre maître horloger Kari Voutilainen garantit la précision historique du style et de la décoration du mouvement de la Legacy Machine N° 1. Sur cette construction reposant sur un balancier au design aussi peu conventionnel, cette mission était loin d'être facile.
Un motif soleil délicat ornant la platine du mouvement (côté cadran) attire le regard sous certains angles sans pour autant détourner l’attention des deux cadrans blancs, du balancier flottant ou de la réserve de marche verticale. Cependant, c’est dans le style et la décoration des ponts et des planches, visibles à travers l’ouverture à l’arrière du mouvement que Kari Voutilainen a démontré une grande fidélité historique, tant dans la courbe élégante des ponts que dans l'espace, traditionnellement grand, entre les ponts mais aussi entre les ponts et le boîtier.
Sur le fond du mouvement, des pierres de grandes dimensions, serties dans des chatons en or biseautés, offrent un contraste saisissant avec les côtes de Genève traversant des ponts aux courbes sensuelles. S’ils évoquent les grands rubis qui ornaient autrefois les mouvements de haute qualité destinés aux montres de poche, les paliers en rubis ont une utilité pratique: ils réduisent l’usure et accroissent la longévité, en abritant des pignons plus grands et une quantité d’huile plus importante.
« Presque toutes les complications que nous connaissons aujourd'hui ont été imaginées durant cette période, mais aussi développées à l’aide d’un crayon et d’une feuille de papier, sans logiciels sophistiqués souligne-t-il. Les composants étaient fabriqués avec un très haut degré de précision sur des machines sans électricité, puis finement décorés, assemblés et réglés avec une qualité que nous peinons aujourd'hui à égaler. Les dimensions de ces montres de poche, généreuses si on les compare aux montres-bracelets modernes, favorisaient la création de mouvements à l’architecture aérienne, avec des ponts et des platines aux formes magnifiques ».
Le moteur : c'est Jean-François Mojon -et son équipe de Chronode, au Locle, en Suisse- qui a développé l’ingénieux mouvement tridimensionnel de la LM1 spécialement pour MB&F, à partir d’esquisses de Maximilian Büsser et du design d’Eric Giroud.
Le balancier annulaire et le spiral constituent le cœur même de toute montre mécanique car ils assurent la précision de la mesure du temps. Maximilian Büsser a toujours été fasciné par les balanciers aux oscillations longues et lentes des anciennes montres de poche -18'000 alternances par heure comparées aux 28'800 des montres d'aujourd'hui et même 36.000 pour le fameux El Primero de Zenith.
Etonnante est la manière dont il a radicalement réinterprété la tradition : habituellement dissimulé à l'arrière du mouvement, le balancier a ici été déplacé, pas seulement à l'avant, mais flottant au-dessus du mouvement, et même au-dessus des cadrans.
Si la position de l’organe réglant de la Legacy Machine N° 1 peut être considérée comme avant-gardiste, le respect de la tradition s’exprime dans l’imposant diamètre (14 mm) de ce balancier doté de vis de régulation, mis au point pour MB&F, ainsi que dans le spiral muni d’une courbe terminale Breguet et d’une fixation mobile au piton.
Autre particularité du mouvement de la LM1 : le réglage totalement indépendant des deux zones horaires (d’où les deux couronnes). La très grande majorité des mécanismes à deux zones horaires ne permettent qu’un ajustement « limité » des heures et de rares modèles proposent un réglage à la demi-heure. La Legacy Machine N° 1, elle, autorise le réglage séparé des heures et des minutes, sur chaque cadran, selon le bon vouloir de l’utilisateur (Parmigiani offre également une montre avec cette fonction).
Première mondiale : l'indicateur de réserve de marche vertical de la LM1 est commandé par un différentiel ultraplat doté de roulements à billes en céramique qui rend possible une complication plus mince et un mécanisme plus robuste et plus résistant.
Cadran et indications : la mesure du temps des deux cadrans est contrôlée par le même organe réglant (balancier et échappement), de sorte qu’une fois ajustées, les deux indications temporelles sont parfaitement synchronisées.
Pour compléter la tridimensionnalité du balancier flottant dans l'espace, les deux cadrans blancs avec leurs aiguilles en or bleu brillant « flottent » eux aussi au-dessus du mouvement. Ils brillent d'un éclat translucide doux, obtenu selon la technique dite de la laque tendue, consistant à appliquer et à chauffer de multiples couches afin de s’étendre sur toute la surface. Pour garantir la pureté esthétique des cadrans et de leurs chiffres romains traditionnels, un système sophistiqué de fixation inférieure rend superflue l’utilisation de vis toujours gênantes pour le regard.
Raffinement des finitions et légitimité historique : le célèbre maître horloger Kari Voutilainen garantit la précision historique du style et de la décoration du mouvement de la Legacy Machine N° 1. Sur cette construction reposant sur un balancier au design aussi peu conventionnel, cette mission était loin d'être facile.
Un motif soleil délicat ornant la platine du mouvement (côté cadran) attire le regard sous certains angles sans pour autant détourner l’attention des deux cadrans blancs, du balancier flottant ou de la réserve de marche verticale. Cependant, c’est dans le style et la décoration des ponts et des planches, visibles à travers l’ouverture à l’arrière du mouvement que Kari Voutilainen a démontré une grande fidélité historique, tant dans la courbe élégante des ponts que dans l'espace, traditionnellement grand, entre les ponts mais aussi entre les ponts et le boîtier.
Sur le fond du mouvement, des pierres de grandes dimensions, serties dans des chatons en or biseautés, offrent un contraste saisissant avec les côtes de Genève traversant des ponts aux courbes sensuelles. S’ils évoquent les grands rubis qui ornaient autrefois les mouvements de haute qualité destinés aux montres de poche, les paliers en rubis ont une utilité pratique: ils réduisent l’usure et accroissent la longévité, en abritant des pignons plus grands et une quantité d’huile plus importante.
Spécificités techniques de la MB&F Legacy Machine N° 1
Mouvement horloger tridimensionnel, entièrement développé pour MB&F par Chronode et réalisé par Jean-François Mojon et Kari Voutilainen
Remontage manuel avec barillet simple
Balancier : diamètre 14 mm, créé spécialement, avec les quatre vis de réglage traditionnelles, flottant sur le mouvement et les cadrans
Spiral : avec courbe terminale Breguet, dans une fixation mobile au piton selon la tradition
Fréquence du balancier : 18'000 a/h, 2,5 Hz
Nombre de composants : 279
Nombre de rubis : 23
Chatons : en or avec moulures polies
Réserve de marche : 45 heures
Décoration entièrement réalisée à la main dans le style du XIXème siècle, biseaux internes des angles soulignant la facture manuelle des chanfreins, côtes de Genève, gravures réalisées à la main.
Fonctions : heures et minutes, deux zones horaires totalement indépendantes, affichées sur deux cadrans; réserve de marche par indicateur vertical unique au monde.
Couronne gauche à 8h pour le réglage de l’heure sur le cadran gauche, couronne droite à 4h pour le réglage de l’heure sur le cadran droit et le remontage.
Boîtier : disponible en or rose 18 carats ou or gris 18 carats
Diamètre de 44 mm, hauteur de 16 mm
Nombre de composants : 65
Verres saphir : dôme en verre saphir sur le sommet avec traitement antireflet des deux côtés ; verre saphir sur le fond avec traitement antireflet d’un seul côté.
Bracelet en alligator noir ou brun cousu à la main avec boucle ardillon en or de la même couleur que le boîtier.
Remontage manuel avec barillet simple
Balancier : diamètre 14 mm, créé spécialement, avec les quatre vis de réglage traditionnelles, flottant sur le mouvement et les cadrans
Spiral : avec courbe terminale Breguet, dans une fixation mobile au piton selon la tradition
Fréquence du balancier : 18'000 a/h, 2,5 Hz
Nombre de composants : 279
Nombre de rubis : 23
Chatons : en or avec moulures polies
Réserve de marche : 45 heures
Décoration entièrement réalisée à la main dans le style du XIXème siècle, biseaux internes des angles soulignant la facture manuelle des chanfreins, côtes de Genève, gravures réalisées à la main.
Fonctions : heures et minutes, deux zones horaires totalement indépendantes, affichées sur deux cadrans; réserve de marche par indicateur vertical unique au monde.
Couronne gauche à 8h pour le réglage de l’heure sur le cadran gauche, couronne droite à 4h pour le réglage de l’heure sur le cadran droit et le remontage.
Boîtier : disponible en or rose 18 carats ou or gris 18 carats
Diamètre de 44 mm, hauteur de 16 mm
Nombre de composants : 65
Verres saphir : dôme en verre saphir sur le sommet avec traitement antireflet des deux côtés ; verre saphir sur le fond avec traitement antireflet d’un seul côté.
Bracelet en alligator noir ou brun cousu à la main avec boucle ardillon en or de la même couleur que le boîtier.