Les montres Rolex sont probablement parmi les garde-temps les plus solides, les plus fiables et les plus résistants qui soient au monde. En voici une nouvelle preuve…
En effet, cette année, la marque genevoise a participé à une aventure hors du commun : la mission Deepsea Under the Pole. Une expédition qui a mis –une fois encore- ses montres à rude épreuve !
Depuis ses tous débuts, Rolex participe a des exploits extrêmes : on connait tous les différentes légendes qui sont intimement liées à la marque à la couronne… La traversée de la Manche en 1927 par l’Anglaise Mercedes Gleizte, la conquête de l’Himalaya en 1953 avec Sir Hillary et son Explorer (prototype), etc.
En 2010, Rolex s’est embarquée dans la mission Deepsea Under The Pole, une expédition polaire sous-marine qui s’est déroulée sur la banquise Arctique à proximité du pôle Nord Géographique, entre le 26 mars et le 10 mai 2010. Elle avait pour objectif de réaliser un témoignage-reportage photographique et cinématographique totalement inédit sur l’univers sous-marin de la banquise, de la manière la plus représentative et exhaustive possible.
En parallèle de ce travail d’exploration ont été menés deux programmes scientifiques : le premier s’intéressait à l’épaisseur de neige sur la glace, paramètre crucial pour estimer le volume de glace et le second à la physiologie humaine à travers des études sur le sommeil et l’évolution de la température interne des membres de l’équipe.
Après trois années de préparation (Rolex a été le tout premier sponsor à dire oui à l’aventure) et plusieurs phases d’entraînement en Finlande et dans les Alpes, huit équipiers et un Husky menés par Ghislain Bardout se sont fait déposer à la sortie de la nuit polaire à 65 km du pôle après avoir transité par l’extrême nord du Canada. Pendant 45 jours, ils ont progressé à ski en tirant des traîneaux et réalisé 51 plongées dans neuf sites différents.
En effet, cette année, la marque genevoise a participé à une aventure hors du commun : la mission Deepsea Under the Pole. Une expédition qui a mis –une fois encore- ses montres à rude épreuve !
Depuis ses tous débuts, Rolex participe a des exploits extrêmes : on connait tous les différentes légendes qui sont intimement liées à la marque à la couronne… La traversée de la Manche en 1927 par l’Anglaise Mercedes Gleizte, la conquête de l’Himalaya en 1953 avec Sir Hillary et son Explorer (prototype), etc.
En 2010, Rolex s’est embarquée dans la mission Deepsea Under The Pole, une expédition polaire sous-marine qui s’est déroulée sur la banquise Arctique à proximité du pôle Nord Géographique, entre le 26 mars et le 10 mai 2010. Elle avait pour objectif de réaliser un témoignage-reportage photographique et cinématographique totalement inédit sur l’univers sous-marin de la banquise, de la manière la plus représentative et exhaustive possible.
En parallèle de ce travail d’exploration ont été menés deux programmes scientifiques : le premier s’intéressait à l’épaisseur de neige sur la glace, paramètre crucial pour estimer le volume de glace et le second à la physiologie humaine à travers des études sur le sommeil et l’évolution de la température interne des membres de l’équipe.
Après trois années de préparation (Rolex a été le tout premier sponsor à dire oui à l’aventure) et plusieurs phases d’entraînement en Finlande et dans les Alpes, huit équipiers et un Husky menés par Ghislain Bardout se sont fait déposer à la sortie de la nuit polaire à 65 km du pôle après avoir transité par l’extrême nord du Canada. Pendant 45 jours, ils ont progressé à ski en tirant des traîneaux et réalisé 51 plongées dans neuf sites différents.
Lors de ces plongées dans une eau en dessous de zéro degré (l’eau salée ne gèle qu’à partir de -1.8C), les cinq explorateurs portaient tous des Rolex Sea-Dweller Deepsea.
La montre extrême de chez Rolex, le garde-temps de tous les superlatifs présenté à l’occasion de la Foire de Bâle 2008 : un boitier en acier 904L de 43 mm de diamètre, un verre saphir plus épais que sur les autres Oyster, une étanchéité jusqu’à 3.900 mètres, une lunette en céramique (Cérachrome), son Ringlock System, sa valve à hélium, son spiral Parachrom, etc. Il s’agit aussi de la seule Rolex a être équipée d’un fond en alliage de titane, ce qui, de fait, l’a rend absolument unique dans l’univers de la marque genevoise.
Comme le souligne Ghislain Bardout, chef de l’expédition et cameraman : « tout était compliqué. La moindre préparation prenait un temps fou et à la plus infime négligence, on pouvait basculer dans l’échec ou dans le drame »…
Et de préciser à www.montres-de-luxe.com : « La montre Rolex Deepsea a équipé l'expédition Deepsea Under The Pole by Rolex (…). Les cinq plongeurs de l'équipe en ont utilisé chacun une lors des 51 plongées effectuées sous la banquise. Malgré les conditions d'utilisation extrêmement sévères, elles se sont révélées infaillibles. C'est même le seul instrument de plongée qui soit resté fonctionnel pendant toute l'expédition. Cette montre de plongée est à la fois simple et sophistiquée, extrêmement robuste et fiable : un très bel outil d'aventure ».
Le film On marché sous le pôle sera diffusé dans l‘émission Thalassa du 7 janvier 2011.
La montre extrême de chez Rolex, le garde-temps de tous les superlatifs présenté à l’occasion de la Foire de Bâle 2008 : un boitier en acier 904L de 43 mm de diamètre, un verre saphir plus épais que sur les autres Oyster, une étanchéité jusqu’à 3.900 mètres, une lunette en céramique (Cérachrome), son Ringlock System, sa valve à hélium, son spiral Parachrom, etc. Il s’agit aussi de la seule Rolex a être équipée d’un fond en alliage de titane, ce qui, de fait, l’a rend absolument unique dans l’univers de la marque genevoise.
Comme le souligne Ghislain Bardout, chef de l’expédition et cameraman : « tout était compliqué. La moindre préparation prenait un temps fou et à la plus infime négligence, on pouvait basculer dans l’échec ou dans le drame »…
Et de préciser à www.montres-de-luxe.com : « La montre Rolex Deepsea a équipé l'expédition Deepsea Under The Pole by Rolex (…). Les cinq plongeurs de l'équipe en ont utilisé chacun une lors des 51 plongées effectuées sous la banquise. Malgré les conditions d'utilisation extrêmement sévères, elles se sont révélées infaillibles. C'est même le seul instrument de plongée qui soit resté fonctionnel pendant toute l'expédition. Cette montre de plongée est à la fois simple et sophistiquée, extrêmement robuste et fiable : un très bel outil d'aventure ».
Le film On marché sous le pôle sera diffusé dans l‘émission Thalassa du 7 janvier 2011.
L’océan Glacial Arctique
L’océan Arctique domine le monde, avec le pôle Nord en son coeur. Il est bordé par le Canada, l’Alaska, la Russie, la Norvège et le Groenland (Danemark). Parcouru de plaines et de montagnes abyssales, sa profondeur à la verticale du pôle Nord est de 4261 m. C’est le plus petit des 5 océans de la planète.
La banquise : un univers en voie de disparition
La banquise qui recouvre une grande partie de l’océan Arctique été comme hiver varie en étendue et en épaisseur selon les lieux et la saison. Elle se forme lorsque la température de l'eau de mer descend en dessous de -1,8°C. D’une épaisseur moyenne de 2 m, elle est faite de glace pluri-annuelle ou glace pérenne et de glace mono-annuelle ou glace de l’année. Mais elle peut faire 4 m d’épaisseur, ou plus encore au niveau des zones de rencontre entre plaques appelées crêtes de compression, qui peuvent atteindre 10 m de haut et plonger à 30 m sous la surface.
L’océan Arctique domine le monde, avec le pôle Nord en son coeur. Il est bordé par le Canada, l’Alaska, la Russie, la Norvège et le Groenland (Danemark). Parcouru de plaines et de montagnes abyssales, sa profondeur à la verticale du pôle Nord est de 4261 m. C’est le plus petit des 5 océans de la planète.
La banquise : un univers en voie de disparition
La banquise qui recouvre une grande partie de l’océan Arctique été comme hiver varie en étendue et en épaisseur selon les lieux et la saison. Elle se forme lorsque la température de l'eau de mer descend en dessous de -1,8°C. D’une épaisseur moyenne de 2 m, elle est faite de glace pluri-annuelle ou glace pérenne et de glace mono-annuelle ou glace de l’année. Mais elle peut faire 4 m d’épaisseur, ou plus encore au niveau des zones de rencontre entre plaques appelées crêtes de compression, qui peuvent atteindre 10 m de haut et plonger à 30 m sous la surface.
Il ne faut pas confondre la banquise qui est un océan gelé, avec les calottes polaires du Groenland et de l’Antarctique qui sont constituées de glace d’eau douce, ou avec les icebergs, qui sont des morceaux des glaciers qui se sont détachés à leur arrivée sur la côte. Toutefois, comme eux, la banquise flotte à la surface de l’océan, car la densité de la glace est plus faible que celle de l’eau liquide.
Pourquoi la banquise fond-elle si vite ?
La banquise risque fortement de disparaître définitivement en été d’ici 8 à 15 ans à cause du réchauffement climatique dont elle est une des premières victimes. Bien sûr, elle se reformera l’hiver avec la nuit polaire, mais elle ne sera plus jamais la même : son épaisseur restera celle d’une glace mono-annuelle, on ne la verra plus que de nuit ou par faible lumière, les reliefs que l’on peut y observer seront amoindris…
La banquise est entrée dans un processus de fonte accélérée depuis quelques années. Ce phénomène est dû à la diminution des étendues blanches qui réfléchissaient jadis davantage les rayons du soleil (albédo). En effet, le noir des zones d’eau libre absorbe 75% du rayonnement contre 15% pour une surface enneigée, d’où un réchauffement accru par proximité. Le réchauffement des eaux océaniques et des courants aériens et l’accélération de la dérive de la banquise participe également grandement à la fonte.
Pourquoi la banquise fond-elle si vite ?
La banquise risque fortement de disparaître définitivement en été d’ici 8 à 15 ans à cause du réchauffement climatique dont elle est une des premières victimes. Bien sûr, elle se reformera l’hiver avec la nuit polaire, mais elle ne sera plus jamais la même : son épaisseur restera celle d’une glace mono-annuelle, on ne la verra plus que de nuit ou par faible lumière, les reliefs que l’on peut y observer seront amoindris…
La banquise est entrée dans un processus de fonte accélérée depuis quelques années. Ce phénomène est dû à la diminution des étendues blanches qui réfléchissaient jadis davantage les rayons du soleil (albédo). En effet, le noir des zones d’eau libre absorbe 75% du rayonnement contre 15% pour une surface enneigée, d’où un réchauffement accru par proximité. Le réchauffement des eaux océaniques et des courants aériens et l’accélération de la dérive de la banquise participe également grandement à la fonte.
L’expédition en chiffres
51 plongées entre 0 et 35 m, sur 9 sites
45 jours de banquise entre -1°C et -52°C
1 océan à -1,8°C
8 équipiers et 1 chien Husky
20 000 photos et 40 h de film
2 programmes scientifiques
Dépose à 89° 25’ N et récupération à 87° 52’ N en avions DC3 et Twin Otter
Expédition entre 65 km et 238 km du pôle Nord Géographique
150 km max de dérive Ouest-Est
145 kg de poids moyen des traineaux en début d’expédition
1 ravitaillement par parachutage
3 tonnes de fret
3 équipements de plongée
10 m : hauteur max des crêtes de compression
40 m : profondeur max des quilles de glace
Plusieurs gelures du 2nd degré
4 points de suture
45 jours de banquise entre -1°C et -52°C
1 océan à -1,8°C
8 équipiers et 1 chien Husky
20 000 photos et 40 h de film
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Dépose à 89° 25’ N et récupération à 87° 52’ N en avions DC3 et Twin Otter
Expédition entre 65 km et 238 km du pôle Nord Géographique
150 km max de dérive Ouest-Est
145 kg de poids moyen des traineaux en début d’expédition
1 ravitaillement par parachutage
3 tonnes de fret
3 équipements de plongée
10 m : hauteur max des crêtes de compression
40 m : profondeur max des quilles de glace
Plusieurs gelures du 2nd degré
4 points de suture
Ghislain Bardout – chef d’expédition, caméraman sous-marin
Français, 30 ans, ingénieur mécanicien spécialisé dans l’énergie, diplômé de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, BEES 1* plongée, scaphandrier classe II B et moniteur MF2** au Centre International de Plongée des Glénan, il côtoie depuis toujours la mer et la montagne.
Il a travaillé étroitement avec Jean-Louis Etienne pendant deux ans en tant que logisticien et responsable technique.
C’est dans ce cadre qu’en avril 2007 il a organisé une campagne de plongée au pôle Nord, faisant intervenir un robot sous-marin et six plongeurs.
Il a écrit et organisé Deepsea Under The Pole by Rolex et pendant l’expédition il était derrière la caméra sous-marine.
Il a travaillé étroitement avec Jean-Louis Etienne pendant deux ans en tant que logisticien et responsable technique.
C’est dans ce cadre qu’en avril 2007 il a organisé une campagne de plongée au pôle Nord, faisant intervenir un robot sous-marin et six plongeurs.
Il a écrit et organisé Deepsea Under The Pole by Rolex et pendant l’expédition il était derrière la caméra sous-marine.