Lancée simultanément à Genève et New York le 3 mars 1969, la Monaco fut comme un ouragan dans l’univers de l’horlogerie.
L’aspect provocateur de la montre, avec sa trotteuse rouge vif, son cadran bleu métallique, son verre bombé et son grand boîtier taillé à angles droits, rompait totalement avec les codes esthétiques de l’horlogerie traditionnelle de l’époque.
Tout aussi novatrice, sa technologie offrait une parfaite étanchéité, une grande première pour une montre carrée.
Mais la révolution reposait essentiellement dans le cœur de la montre : le célèbre Chronomatic Calibre 11, le premier mouvement automatique de chronographe à microrotor, si précis qu’il reste encore aujourd’hui à la pointe des instruments chronométriques professionnels.
Pour Le Mans, l’acteur américain Steve McQueen s’inspira de son ami Jo Siffert, le célèbre pilote suisse qui, en 1969, devint le premier coureur automobile à être sponsorisé par une marque de montre, Heuer. La Monaco Heuer venait de sortir et impressionna tellement McQueen qu’il insista pour la porter dans le film. La Monaco devint alors le chronographe préféré de l’univers de la course automobile et de la mode – encore une première mondiale.
Sa géométrie si particulière initia la vogue des montres « à forme ». Instantanément identifiable, souvent copiée mais jamais égalée, la « McQueen Monaco » (modèle 1133B) est l’une des montres les plus convoitées sur le marché international des pièces d’occasion. La demande est bien supérieure à l’offre : il n’en resterait plus que quelques-unes, toutes dans les mains de collectionneurs avertis…
Depuis lors, le cadran carré de la Monaco n’a cessé d’incarner l’esthétique novatrice de TAG Heuer. Rééditée en 1998 en série limitée à 5 000 exemplaires, elle fut entièrement redessinée en 2003, et dotée d’un bracelet d’acier à sept rangs de maillons carrés, rappelant l’audacieuse géométrie du boîtier. La montre est devenue un must chez les amateurs de course automobile et les collectionneurs, mais, contre toute attente, a également percé à Hollywood et dans le monde de la haute couture en s’imposant comme un incontournable accessoire de mode.
L’aspect provocateur de la montre, avec sa trotteuse rouge vif, son cadran bleu métallique, son verre bombé et son grand boîtier taillé à angles droits, rompait totalement avec les codes esthétiques de l’horlogerie traditionnelle de l’époque.
Tout aussi novatrice, sa technologie offrait une parfaite étanchéité, une grande première pour une montre carrée.
Mais la révolution reposait essentiellement dans le cœur de la montre : le célèbre Chronomatic Calibre 11, le premier mouvement automatique de chronographe à microrotor, si précis qu’il reste encore aujourd’hui à la pointe des instruments chronométriques professionnels.
Pour Le Mans, l’acteur américain Steve McQueen s’inspira de son ami Jo Siffert, le célèbre pilote suisse qui, en 1969, devint le premier coureur automobile à être sponsorisé par une marque de montre, Heuer. La Monaco Heuer venait de sortir et impressionna tellement McQueen qu’il insista pour la porter dans le film. La Monaco devint alors le chronographe préféré de l’univers de la course automobile et de la mode – encore une première mondiale.
Sa géométrie si particulière initia la vogue des montres « à forme ». Instantanément identifiable, souvent copiée mais jamais égalée, la « McQueen Monaco » (modèle 1133B) est l’une des montres les plus convoitées sur le marché international des pièces d’occasion. La demande est bien supérieure à l’offre : il n’en resterait plus que quelques-unes, toutes dans les mains de collectionneurs avertis…
Depuis lors, le cadran carré de la Monaco n’a cessé d’incarner l’esthétique novatrice de TAG Heuer. Rééditée en 1998 en série limitée à 5 000 exemplaires, elle fut entièrement redessinée en 2003, et dotée d’un bracelet d’acier à sept rangs de maillons carrés, rappelant l’audacieuse géométrie du boîtier. La montre est devenue un must chez les amateurs de course automobile et les collectionneurs, mais, contre toute attente, a également percé à Hollywood et dans le monde de la haute couture en s’imposant comme un incontournable accessoire de mode.
Questions et réponses de Jack Heuer, président honoraire de TAG Heuer
Quelle est la source d’inspiration de la Monaco ?
Elle est étroitement associée au lancement de produit le plus important de ma vie : le premier chronographe automatique, inauguré le 3 mars 1969.
Dans l’optique de cette annonce événementielle, nous avions décidé de ne pas sortir un modèle unique, mais une gamme complète destinée à satisfaire tous nos segments de marché. Nous avions besoin d’un modèle Carrera, et aussi de l’Autavia, un peu plus lourde avec sa lunette pivotante, pour notre public automobile et aviation. Mais nous nous rendîmes compte qu’il nous fallait aussi renouveler complètement le design de nos chronographes.
Dans les années 60, tous nos chronographes étaient étanches. Jusqu’à cette époque, nos montres étaient rondes, les boîtiers carrés ou tonneau ne pouvant être étanches.
C’est alors qu’un fabricant de boîtiers, Piquerez, nous montra son nouveau système d’étanchéité pour boîtes carrées – celui doté des quatre encoches qui se fixent à l’arrière de la boîte, et qui, par la tension, devient étanche. C’était une technique tout à fait nouvelle, brevetée et novatrice, et nous négociâmes avec Piquerez pour obtenir l’exclusivité de toutes les applications sur chronographes. Nous savions que le design serait avant-gardiste, mais après tout, il ne s’agissait pas seulement du premier chronographe automatique, mais de l’une des toutes premières montres carrées étanches.
Comment Steve McQueen en vint à porter une Monaco ?
Les montres Heuer étaient portées par Jo Siffert, un pilote suisse des 24h du Mans et de Formule 1, qui devient notre premier ambassadeur officiel. Pour les scènes de conduite dans la Porsche 917, McQueen voulait rester aussi fidèle que possible à l’univers des courses automobiles, et insista pour que le service des accessoires du film lui procure la tenue complète de Jo Siffert, qui comprenait bien sûr un chronographe Heuer. La place privilégiée de la Monaco sur le poignet de l’acteur contribua à créer sa légende, mais c’est le design si particulier du chronographe et le côté résolument novateur du boîtier – aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur – qui la fit sortir du lot.
Pourquoi s’appelle-t-elle Monaco ?
Ce nouveau modèle étant résolument avant-gardiste, nous devions lui trouver un nom qui séduirait un public chic et haut-de-gamme, un public habitué aux endroits comme Monte-Carlo qui, à l’époque des années Grace Kelly, étaient très en vogue. Toutefois, nous avions déjà mis au point la montre Monte Carlo (le célèbre chronomètre « tableau de bord »), avec son cadran de 12 heures, et nous décidâmes donc de créer la Monaco, qui attirerait un public prestigieux.
Personnellement, qu’appréciez-vous dans la Monaco ?
Au lancement de la Monaco, nous étions très inquiets du fait de son design particulièrement audacieux ! Mais comme elle faisait partie d’un trio, la plupart de nos clients détaillants achetaient les trois modèles, ce qui lui fit tout de suite une bonne publicité. Elle fut achetée par des architectes et des acteurs, et bien sûr, le fait qu’elle ait été portée par Steve McQueen dans le film Le Mans lui conféra une image à la fois rebelle et prestigieuse. En d’autres mots, nous touchâmes le public que nous escomptions ! Personnellement, j’aime son design original et racé – design qui coïncide parfaitement avec notre philosophie d’entreprise, qui est de s’écarter des sentiers battus.
Vous avez créé la Monaco il y a près de 40 ans et l’avez réhabilitée plus tard dans la collection TAG Heuer. Il s’agit aujourd’hui d’une des séries les plus appréciées. Quel est votre sentiment à ce sujet ?
Les chronographes sont des montres traditionnellement rondes. Le fait d’avoir utilisé un format totalement nouveau, mais toujours adapté aux fonctions du chronographe, est tout à fait conforme à la devise : « TAG Heuer, l’avant-garde suisse depuis 1860 ». Je suis assez fier que nous ayons eu le courage, il y a si longtemps, de lancer une montre aussi révolutionnaire. Elle connaît énormément de succès auprès du public d’aujourd’hui et sa forme et son design sont toujours du goût de notre clientèle. Le modèle résolument géométrique de la Monaco a aidé à préparer le grand retour des montres de forme originale.
Elle est étroitement associée au lancement de produit le plus important de ma vie : le premier chronographe automatique, inauguré le 3 mars 1969.
Dans l’optique de cette annonce événementielle, nous avions décidé de ne pas sortir un modèle unique, mais une gamme complète destinée à satisfaire tous nos segments de marché. Nous avions besoin d’un modèle Carrera, et aussi de l’Autavia, un peu plus lourde avec sa lunette pivotante, pour notre public automobile et aviation. Mais nous nous rendîmes compte qu’il nous fallait aussi renouveler complètement le design de nos chronographes.
Dans les années 60, tous nos chronographes étaient étanches. Jusqu’à cette époque, nos montres étaient rondes, les boîtiers carrés ou tonneau ne pouvant être étanches.
C’est alors qu’un fabricant de boîtiers, Piquerez, nous montra son nouveau système d’étanchéité pour boîtes carrées – celui doté des quatre encoches qui se fixent à l’arrière de la boîte, et qui, par la tension, devient étanche. C’était une technique tout à fait nouvelle, brevetée et novatrice, et nous négociâmes avec Piquerez pour obtenir l’exclusivité de toutes les applications sur chronographes. Nous savions que le design serait avant-gardiste, mais après tout, il ne s’agissait pas seulement du premier chronographe automatique, mais de l’une des toutes premières montres carrées étanches.
Comment Steve McQueen en vint à porter une Monaco ?
Les montres Heuer étaient portées par Jo Siffert, un pilote suisse des 24h du Mans et de Formule 1, qui devient notre premier ambassadeur officiel. Pour les scènes de conduite dans la Porsche 917, McQueen voulait rester aussi fidèle que possible à l’univers des courses automobiles, et insista pour que le service des accessoires du film lui procure la tenue complète de Jo Siffert, qui comprenait bien sûr un chronographe Heuer. La place privilégiée de la Monaco sur le poignet de l’acteur contribua à créer sa légende, mais c’est le design si particulier du chronographe et le côté résolument novateur du boîtier – aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur – qui la fit sortir du lot.
Pourquoi s’appelle-t-elle Monaco ?
Ce nouveau modèle étant résolument avant-gardiste, nous devions lui trouver un nom qui séduirait un public chic et haut-de-gamme, un public habitué aux endroits comme Monte-Carlo qui, à l’époque des années Grace Kelly, étaient très en vogue. Toutefois, nous avions déjà mis au point la montre Monte Carlo (le célèbre chronomètre « tableau de bord »), avec son cadran de 12 heures, et nous décidâmes donc de créer la Monaco, qui attirerait un public prestigieux.
Personnellement, qu’appréciez-vous dans la Monaco ?
Au lancement de la Monaco, nous étions très inquiets du fait de son design particulièrement audacieux ! Mais comme elle faisait partie d’un trio, la plupart de nos clients détaillants achetaient les trois modèles, ce qui lui fit tout de suite une bonne publicité. Elle fut achetée par des architectes et des acteurs, et bien sûr, le fait qu’elle ait été portée par Steve McQueen dans le film Le Mans lui conféra une image à la fois rebelle et prestigieuse. En d’autres mots, nous touchâmes le public que nous escomptions ! Personnellement, j’aime son design original et racé – design qui coïncide parfaitement avec notre philosophie d’entreprise, qui est de s’écarter des sentiers battus.
Vous avez créé la Monaco il y a près de 40 ans et l’avez réhabilitée plus tard dans la collection TAG Heuer. Il s’agit aujourd’hui d’une des séries les plus appréciées. Quel est votre sentiment à ce sujet ?
Les chronographes sont des montres traditionnellement rondes. Le fait d’avoir utilisé un format totalement nouveau, mais toujours adapté aux fonctions du chronographe, est tout à fait conforme à la devise : « TAG Heuer, l’avant-garde suisse depuis 1860 ». Je suis assez fier que nous ayons eu le courage, il y a si longtemps, de lancer une montre aussi révolutionnaire. Elle connaît énormément de succès auprès du public d’aujourd’hui et sa forme et son design sont toujours du goût de notre clientèle. Le modèle résolument géométrique de la Monaco a aidé à préparer le grand retour des montres de forme originale.
Questions et réponses de Jean-Christophe Babin, président et directeur-général de TAG Heuer
Quelle est la spécificité de la Monaco ?
La gamme Monaco comporte de nombreuses particularités. Inventée en 1969, la Monaco est une icône de TAG Heuer : le premier chronographe à boîtier carré et étanche, équipé d’un Chronomatic Calibre 11, le premier mouvement automatique avec microrotor. Cela n’a aujourd’hui plus rien d’exceptionnel, mais à l’époque, le fait d’inclure un mouvement automatique dans un boîtier carré était totalement révolutionnaire.
Quel type de public ciblez-vous avec cette montre ?
A l’origine, les collectionneurs et amateurs de montres, ainsi que les célébrités. Ce modèle s’adresse aux puristes et à tous ceux qui aiment les designs forts et novateurs. La Monaco est une montre carrée contemporaine devenue une image emblématique de la mode et de l’univers d’Hollywood. Elle a aujourd’hui autant d’allure sur le poignet des ambassadeurs de la marque TAG Heuer que sur celui de Steve McQueen en 1969.
Pourquoi, à votre avis, la Monaco reste-t-elle si novatrice et esthétique ?
Tout d’abord, la Monaco possède une forme unique, qui rompt avec la tradition de l’horlogerie. Ensuite, je pense que si la gamme Monaco fonctionne si bien, c’est que les gens connaissent nos origines : la course automobile et le chronométrage sportif. Ils savent que notre ADN est unique, et c’est ce qui fait toute la force de la Monaco. Elle incarne en effet l’esprit novateur de TAG Heuer et nous force à aller toujours plus loin. Seule dans son domaine, la Monaco reste l’unique et véritable symbole carré de l’univers du sport et du glamour. Aujourd’hui, elle n’a nullement perdu de son originalité et représente toujours l’esprit d’avant-garde qui motive TAG Heuer. La Monaco a été imitée, copiée, mais, très franchement, jamais égalée !
Qu’appréciez-vous personnellement dans la Monaco ?
La Monaco est classique et contemporaine, sport et chic. Elle incarne parfaitement l’esprit et les valeurs de TAG Heuer. Elle est, à mon avis, devenue l’un des chronographes les plus beaux et fonctionnels jamais conçus. C’est la montre TAG Heuer classique par excellence.
Pourriez-vous nous parler de l’évolution de la Monaco ?
Depuis sa sortie, le boîtier carré mythique de la Monaco a toujours reflété l’esthétique novatrice de TAG Heuer. Le design de la première réédition en 1998 utilisait la réplique exacte du boîtier d’origine. Depuis lors, le boîtier n’a cessé d’être amélioré : par exemple, il est dorénavant muni d’un verre saphir et certaines de ses arêtes vives ont été adoucies. En effectuant les réglages de précision du boîtier, nous avons pu procéder à d’importantes améliorations par rapport à l’original : la forme a été considérablement réduite en taille et en volume, donnant encore plus d’élégance à la boîte. En 2003, le chronographe a été à nouveau reconçu : cette fois-ci, il est équipé d’un bracelet acier fait de sept rangs de maillons carrés et biseautés, rappelant l’audacieuse esthétique du boîtier. En 2005, l’édition limitée de la Monaco Vintage est sortie pour célébrer le 75e anniversaire de Steve McQueen. Avec ses cadrans bleu et noir, elle a fait fureur. Les réinterprétations qui ont suivi, comme la Monaco V4, étaient encore plus révolutionnaires. Et la Monaco nous réserve encore quelques jolies surprises. RDV à Bale 2009, en avril prochain !
Pouvez-vous expliquer la raison pour laquelle vous avez choisi la gamme Monaco pour la V4 ? Comment la Monaco V4 influencera-t-elle la marque TAG Heuer dans les années à venir ?
Il semblait tout à fait logique de s’inspirer du passé résolument novateur de la Monaco pour incarner le désir de TAG Heuer de toujours repousser les limites de l’horlogerie traditionnelle. J’adore la Monaco V4, tout comme le fait qu’elle soit mythique. La Monaco est une montre légendaire, une montre que nous n’avons pas osé retoucher pendant des années. Elle témoigne de l’esthétique et des instincts pionniers de notre marque, qui continue de générer des idées révolutionnaires et de les transformer en produits que nous aimons. Avec la montre Monaco V4, TAG Heuer cherche à repenser, reconcevoir et réinventer le mouvement mécanique. C’est un parfait exemple de l’engagement de TAG Heuer pour l’innovation. Quant à l’avenir de la marque, voici ma devise : Prenons le meilleur du passé, ajoutons-y le meilleur du présent et voyons où cela nous mène !
La gamme Monaco comporte de nombreuses particularités. Inventée en 1969, la Monaco est une icône de TAG Heuer : le premier chronographe à boîtier carré et étanche, équipé d’un Chronomatic Calibre 11, le premier mouvement automatique avec microrotor. Cela n’a aujourd’hui plus rien d’exceptionnel, mais à l’époque, le fait d’inclure un mouvement automatique dans un boîtier carré était totalement révolutionnaire.
Quel type de public ciblez-vous avec cette montre ?
A l’origine, les collectionneurs et amateurs de montres, ainsi que les célébrités. Ce modèle s’adresse aux puristes et à tous ceux qui aiment les designs forts et novateurs. La Monaco est une montre carrée contemporaine devenue une image emblématique de la mode et de l’univers d’Hollywood. Elle a aujourd’hui autant d’allure sur le poignet des ambassadeurs de la marque TAG Heuer que sur celui de Steve McQueen en 1969.
Pourquoi, à votre avis, la Monaco reste-t-elle si novatrice et esthétique ?
Tout d’abord, la Monaco possède une forme unique, qui rompt avec la tradition de l’horlogerie. Ensuite, je pense que si la gamme Monaco fonctionne si bien, c’est que les gens connaissent nos origines : la course automobile et le chronométrage sportif. Ils savent que notre ADN est unique, et c’est ce qui fait toute la force de la Monaco. Elle incarne en effet l’esprit novateur de TAG Heuer et nous force à aller toujours plus loin. Seule dans son domaine, la Monaco reste l’unique et véritable symbole carré de l’univers du sport et du glamour. Aujourd’hui, elle n’a nullement perdu de son originalité et représente toujours l’esprit d’avant-garde qui motive TAG Heuer. La Monaco a été imitée, copiée, mais, très franchement, jamais égalée !
Qu’appréciez-vous personnellement dans la Monaco ?
La Monaco est classique et contemporaine, sport et chic. Elle incarne parfaitement l’esprit et les valeurs de TAG Heuer. Elle est, à mon avis, devenue l’un des chronographes les plus beaux et fonctionnels jamais conçus. C’est la montre TAG Heuer classique par excellence.
Pourriez-vous nous parler de l’évolution de la Monaco ?
Depuis sa sortie, le boîtier carré mythique de la Monaco a toujours reflété l’esthétique novatrice de TAG Heuer. Le design de la première réédition en 1998 utilisait la réplique exacte du boîtier d’origine. Depuis lors, le boîtier n’a cessé d’être amélioré : par exemple, il est dorénavant muni d’un verre saphir et certaines de ses arêtes vives ont été adoucies. En effectuant les réglages de précision du boîtier, nous avons pu procéder à d’importantes améliorations par rapport à l’original : la forme a été considérablement réduite en taille et en volume, donnant encore plus d’élégance à la boîte. En 2003, le chronographe a été à nouveau reconçu : cette fois-ci, il est équipé d’un bracelet acier fait de sept rangs de maillons carrés et biseautés, rappelant l’audacieuse esthétique du boîtier. En 2005, l’édition limitée de la Monaco Vintage est sortie pour célébrer le 75e anniversaire de Steve McQueen. Avec ses cadrans bleu et noir, elle a fait fureur. Les réinterprétations qui ont suivi, comme la Monaco V4, étaient encore plus révolutionnaires. Et la Monaco nous réserve encore quelques jolies surprises. RDV à Bale 2009, en avril prochain !
Pouvez-vous expliquer la raison pour laquelle vous avez choisi la gamme Monaco pour la V4 ? Comment la Monaco V4 influencera-t-elle la marque TAG Heuer dans les années à venir ?
Il semblait tout à fait logique de s’inspirer du passé résolument novateur de la Monaco pour incarner le désir de TAG Heuer de toujours repousser les limites de l’horlogerie traditionnelle. J’adore la Monaco V4, tout comme le fait qu’elle soit mythique. La Monaco est une montre légendaire, une montre que nous n’avons pas osé retoucher pendant des années. Elle témoigne de l’esthétique et des instincts pionniers de notre marque, qui continue de générer des idées révolutionnaires et de les transformer en produits que nous aimons. Avec la montre Monaco V4, TAG Heuer cherche à repenser, reconcevoir et réinventer le mouvement mécanique. C’est un parfait exemple de l’engagement de TAG Heuer pour l’innovation. Quant à l’avenir de la marque, voici ma devise : Prenons le meilleur du passé, ajoutons-y le meilleur du présent et voyons où cela nous mène !
Les réinterprétations de la Monaco
La Monaco Sixty Nine
Star de Baselworld 2003, la Concept Watch Monaco Sixty Nine de TAG Heuer fut présentée comme la première montre mécanique suisse dotée d’un chronographe au 1/1 000e. Cette montre à cadran mécanique/numérique réversible, unique en son genre, est une pièce audacieuse qui combine tradition et innovation d’une façon tout à fait inédite. D’un côté, le format culte et intransigeant de la montre préférée de Steve McQueen ; de l’autre, la haute technologie numérique du Microtimer, premier chronographe suisse offrant une précision au 1/1 000e de seconde. Deux montres TAG Heuer – une pour la précision, l’autre pour l’esprit vintage – réunies en une seule.
La Monaco V4
Présentée à Baselworld 2004, la Monaco V4 constitue une véritable révolution technologique. Elle abrite un mouvement mécanique intégré de pointe, inséré à l’envers dans un boîtier carré s’inspirant de la Monaco classique. Le nom V4 procède des quatre barillets du mouvement, montés en V, tels les cylindres d’un moteur de Formule 1 suralimenté. Le nom rend également hommage à l’univers dont la montre s’est inspirée : bien que bénéficiant des derniers concepts de la technologie industrielle, sa véritable muse, à l’instar de la toute première Monaco, est le monde des sports mécaniques en général et des voitures de course en particulier.
La Monaco Grande Date
Celle-ci vient compléter la gamme des montres culte, avec un boîtier en acier poli de 37 mm, un mouvement TAG Heuer Grande Date, deux écrans noir et bleu/argent avec un petit compteur secondaire à 6h et des aiguilles losange à pointes superluminova, le tout sous un verre en saphir bombé. Avec son bracelet alligator et ses lignes architecturales épurées rappelant le boîtier de la Monaco V4, cette montre allie élégance et modernité.
Tous les attributs de la Monaco sont réunis, mais adoucis par le charme du cuir blanc, ou du python brun ou noir. Les vingt-six diamants du boîtier font ressortir les angles droits de la lunette, et le cadran s’orne lui aussi de treize diamants. La montre a autant de caractère que l’originale, mais ses harmonies de ton, de matière et de texture renforcent incontestablement sa force émotionnelle.
La Monaco Classic Chronograph
Pour célébrer le 40e anniversaire de la Monaco, TAG Heuer a l’honneur de présenter une nouvelle collection de Classic Chronograph dotées du mouvement automatique « Calibre 12 ». S’inspirant directement du design original, ces chronographes s’ornent d’un verre en saphir et d’un boîtier qui laisse voir les rouages du mouvement.
Parmi les autres caractéristiques figurent un bracelet en alligator bleu foncé et un élégant cadran argent et bleu à aiguilles rouges. La configuration très tendance du cadran s’accorde parfaitement avec l’héritage emblématique de la gamme.
La réédition originale de la TAG Heuer Monaco 1969
1969-2009 : A l’ occasion de cet anniversaire historique, TAG Heuer a réédité le mythique cadran bleu en série limitée à 1 000 pièces, signées au dos par Jack Heuer et gravées en l’honneur de son ambassadeur, Steve McQueen. Équipée du mouvement Calibre 11, elle se dote également de poussoirs situés à 2 et 4 heures, d’une couronne à 9 heures, de compteurs à 9 et 3 heures, d’un guichet date à 6 heures (avec entourage appliqué main) et d’index des heures horizontaux diamantés.
Star de Baselworld 2003, la Concept Watch Monaco Sixty Nine de TAG Heuer fut présentée comme la première montre mécanique suisse dotée d’un chronographe au 1/1 000e. Cette montre à cadran mécanique/numérique réversible, unique en son genre, est une pièce audacieuse qui combine tradition et innovation d’une façon tout à fait inédite. D’un côté, le format culte et intransigeant de la montre préférée de Steve McQueen ; de l’autre, la haute technologie numérique du Microtimer, premier chronographe suisse offrant une précision au 1/1 000e de seconde. Deux montres TAG Heuer – une pour la précision, l’autre pour l’esprit vintage – réunies en une seule.
La Monaco V4
Présentée à Baselworld 2004, la Monaco V4 constitue une véritable révolution technologique. Elle abrite un mouvement mécanique intégré de pointe, inséré à l’envers dans un boîtier carré s’inspirant de la Monaco classique. Le nom V4 procède des quatre barillets du mouvement, montés en V, tels les cylindres d’un moteur de Formule 1 suralimenté. Le nom rend également hommage à l’univers dont la montre s’est inspirée : bien que bénéficiant des derniers concepts de la technologie industrielle, sa véritable muse, à l’instar de la toute première Monaco, est le monde des sports mécaniques en général et des voitures de course en particulier.
La Monaco Grande Date
Celle-ci vient compléter la gamme des montres culte, avec un boîtier en acier poli de 37 mm, un mouvement TAG Heuer Grande Date, deux écrans noir et bleu/argent avec un petit compteur secondaire à 6h et des aiguilles losange à pointes superluminova, le tout sous un verre en saphir bombé. Avec son bracelet alligator et ses lignes architecturales épurées rappelant le boîtier de la Monaco V4, cette montre allie élégance et modernité.
Tous les attributs de la Monaco sont réunis, mais adoucis par le charme du cuir blanc, ou du python brun ou noir. Les vingt-six diamants du boîtier font ressortir les angles droits de la lunette, et le cadran s’orne lui aussi de treize diamants. La montre a autant de caractère que l’originale, mais ses harmonies de ton, de matière et de texture renforcent incontestablement sa force émotionnelle.
La Monaco Classic Chronograph
Pour célébrer le 40e anniversaire de la Monaco, TAG Heuer a l’honneur de présenter une nouvelle collection de Classic Chronograph dotées du mouvement automatique « Calibre 12 ». S’inspirant directement du design original, ces chronographes s’ornent d’un verre en saphir et d’un boîtier qui laisse voir les rouages du mouvement.
Parmi les autres caractéristiques figurent un bracelet en alligator bleu foncé et un élégant cadran argent et bleu à aiguilles rouges. La configuration très tendance du cadran s’accorde parfaitement avec l’héritage emblématique de la gamme.
La réédition originale de la TAG Heuer Monaco 1969
1969-2009 : A l’ occasion de cet anniversaire historique, TAG Heuer a réédité le mythique cadran bleu en série limitée à 1 000 pièces, signées au dos par Jack Heuer et gravées en l’honneur de son ambassadeur, Steve McQueen. Équipée du mouvement Calibre 11, elle se dote également de poussoirs situés à 2 et 4 heures, d’une couronne à 9 heures, de compteurs à 9 et 3 heures, d’un guichet date à 6 heures (avec entourage appliqué main) et d’index des heures horizontaux diamantés.