La première Omega Speedmaster a été produite en 1957. L’esthétique du cadran était inspirée des tableaux de bord des voitures italiennes de l’époque, dont la lecture était facilitée par les contrastes noirs et blancs. La Speedmaster, qui tire son nom de son échelle tachymétrique apparaissant sur la lunette (une première mondiale), était équipée du mouvement mécanique Omega 321, aussi connu sous l’appellation Lémania 2310.
La première Omega Speedmaster à avoir été dans l’espace est sortie d’usine le 15 novembre 1961. L’astronaute américain d’origine suisse Walter Schirra avait acheté cette montre à titre personnel et l’avait portée le 3 octobre 1962 lors du programme Mercury, durant la mission Sigma 7 pendant laquelle Schirra accomplit six orbites autour de la Terre.
Au début des années 1960, la NASA recherchait un chronographe-bracelet qui soit apte à résister aux conditions rencontrées dans l’espace. Environ dix modèles de chronographes provenant de différentes compagnies horlogères furent ainsi achetés à Houston –à l’insu des marques concernées– chez l’horloger-bijoutier Corrigan’s.
En 1964, après l’élimination de plusieurs chronographes, la NASA demanda à chacune des six marques restantes de lui procurer une douzaine de montres pour une dernière série de onze tests particulièrement exigeants. Ces tests incluaient l’exposition des garde-temps à des températures extrêmes, au vide, à des humidités intenses, à la corrosion, aux chocs, aux accélérations, à la pression, aux vibrations et au bruit.
L’Omega Speedmaster fut la seule montre qui ait survécu à l’ensemble des tests de la NASA et fut ainsi homologuée comme étant « Flight qualified by NASA for all Manned Space Missions » (qualifiée par la NASA pour toutes les missions spatiales habitées) et fit ainsi partie de l’équipement de Virgil “Gus” Grissom et de John Young, l’équipage Gemini 3, pour ce qui fut la première mission habitée du programme Gemini.
La première Omega Speedmaster à avoir été dans l’espace est sortie d’usine le 15 novembre 1961. L’astronaute américain d’origine suisse Walter Schirra avait acheté cette montre à titre personnel et l’avait portée le 3 octobre 1962 lors du programme Mercury, durant la mission Sigma 7 pendant laquelle Schirra accomplit six orbites autour de la Terre.
Au début des années 1960, la NASA recherchait un chronographe-bracelet qui soit apte à résister aux conditions rencontrées dans l’espace. Environ dix modèles de chronographes provenant de différentes compagnies horlogères furent ainsi achetés à Houston –à l’insu des marques concernées– chez l’horloger-bijoutier Corrigan’s.
En 1964, après l’élimination de plusieurs chronographes, la NASA demanda à chacune des six marques restantes de lui procurer une douzaine de montres pour une dernière série de onze tests particulièrement exigeants. Ces tests incluaient l’exposition des garde-temps à des températures extrêmes, au vide, à des humidités intenses, à la corrosion, aux chocs, aux accélérations, à la pression, aux vibrations et au bruit.
L’Omega Speedmaster fut la seule montre qui ait survécu à l’ensemble des tests de la NASA et fut ainsi homologuée comme étant « Flight qualified by NASA for all Manned Space Missions » (qualifiée par la NASA pour toutes les missions spatiales habitées) et fit ainsi partie de l’équipement de Virgil “Gus” Grissom et de John Young, l’équipage Gemini 3, pour ce qui fut la première mission habitée du programme Gemini.
La date du 23 mars 1965 marque le vol inaugural de l’Omega Speedmaster Professional en tant que chronographe officiel de la NASA lors de la mission Gemini 3.
Le 3 juin 1965, lors de la mission Gemini 4, Edward White porta son Omega Speedmaster Professional lors de la première sortie extravéhiculaire américaine dans l’espace. Le terme “Professional” a été ajouté en 1965 sur le cadran des Speedmaster, en référence aux professionnels de la NASA dont la Speedmaster est devenue la montre attitrée.
En 1968 le calibre 321 est remplacé par un mouvement à plus haute fréquence : le calibre 861. C’est le seul changement significatif apporté à la Speedmaster depuis ses débuts. Le calibre 861, renommé par la suite 1861, est toujours utilisé aujourd’hui.
Le 19 avril 1968, après avoir parcouru 1.320 kilomètres sur la calotte polaire en 44 jours, quatre hommes relèvent leur position à l’aide d’un sextant et d’une Speedmaster : Ils sont à 90° de latitude nord, à l’exact Pôle Nord géographique.
Cette expédition, dirigée par l’américain Ralph S Plaisted, fut la première à avoir atteint le Pôle Nord géographique de manière prouvée (du 7 mars au 19 avril, en très exactement 43 jours, 2 heures et 30 minutes).
Les membres de l’expédition Plaisted contrôlaient quotidiennement par radio leurs Speedmaster qui n’ont jamais varié de plus d’une seconde par jour. L’un des membres de l’expédition témoigne :
« Je n’aurais pas pu souhaiter une montre plus précise que mon Omega Speedmaster. Les températures variaient de -52° à l’extérieur à -26° dans la cuisine de notre base. Ainsi que vous le savez, toute navigation est impossible sans un chronomètre précis, surtout lorsque vous ne disposez que d’une montre et d’un sextant ! »
Le 3 juin 1965, lors de la mission Gemini 4, Edward White porta son Omega Speedmaster Professional lors de la première sortie extravéhiculaire américaine dans l’espace. Le terme “Professional” a été ajouté en 1965 sur le cadran des Speedmaster, en référence aux professionnels de la NASA dont la Speedmaster est devenue la montre attitrée.
En 1968 le calibre 321 est remplacé par un mouvement à plus haute fréquence : le calibre 861. C’est le seul changement significatif apporté à la Speedmaster depuis ses débuts. Le calibre 861, renommé par la suite 1861, est toujours utilisé aujourd’hui.
Le 19 avril 1968, après avoir parcouru 1.320 kilomètres sur la calotte polaire en 44 jours, quatre hommes relèvent leur position à l’aide d’un sextant et d’une Speedmaster : Ils sont à 90° de latitude nord, à l’exact Pôle Nord géographique.
Cette expédition, dirigée par l’américain Ralph S Plaisted, fut la première à avoir atteint le Pôle Nord géographique de manière prouvée (du 7 mars au 19 avril, en très exactement 43 jours, 2 heures et 30 minutes).
Les membres de l’expédition Plaisted contrôlaient quotidiennement par radio leurs Speedmaster qui n’ont jamais varié de plus d’une seconde par jour. L’un des membres de l’expédition témoigne :
« Je n’aurais pas pu souhaiter une montre plus précise que mon Omega Speedmaster. Les températures variaient de -52° à l’extérieur à -26° dans la cuisine de notre base. Ainsi que vous le savez, toute navigation est impossible sans un chronomètre précis, surtout lorsque vous ne disposez que d’une montre et d’un sextant ! »
Le 21 juillet 1969, l’Omega Speedmaster Professional au poignet de Buzz Aldrin fut la première à avoir été portée sur la lune. Par mesure de sécurité, Neil Armstrong avait en effet laissé sa Speedmaster dans le module lunaire en remplacement du compteur électronique de bord qui était tombé en panne.
Les Omega Speedmaster Professional portées sur la lune sont les modèles 105.003, 105.012 et 145.012. Toutes ces montres sont équipées du calibre Omega 321 et ont été produites avant 1968.
Plusieurs marques ont tenté à diverses reprises de faire certifier leurs chronographes par la NASA.
A chaque fois, l’Omega Speedmaster Professional a surpassé tous ses concurrents, et à chaque fois la NASA a confirmé sa décision initiale, conservant l’Omega Speedmaster Professional pour l’ensemble de ses missions habitées. Sélectionnée pour la première fois par la NASA en 1965, la Speedmaster fut à nouveau choisie en 1972 puis en 1978 pour les missions de la navette spatiale.
« Houston, nous avons un problème ». Durant la mission Apollo 13 (avril 1970), une explosion avait endommagé la principale source d’énergie, obligeant les astronautes à éteindre tous les instruments électriques à l’exception de la radio, ceci afin de conserver l’énergie nécessaire aux manœuvres permettant leur retour sur terre.
Ainsi, le chronométrage de la mise à feu et de l’arrêt des fusées secondaires après 14 secondes permettant la correction de la trajectoire du vaisseau et son retour sur terre reposait uniquement sur la précision des Omega Speedmaster Professional. En reconnaissance du rôle crucial joué par la Speedmaster Professional dans le sauvetage de l’équipage d’Apollo 13, la NASA honora Omega du très convoité Snoopy Award.
La première Speedmaster automatique est lancée en 1971. Une publicité de l’époque annonçait : « Après six alunissages, il n’y avait qu’une chose que l’on pouvait enseigner à la Speedmaster. Se remonter d’elle-même ».
Le dernier homme à avoir marché sur la lune fut le capitaine Eugene Cernan lors de la mission Apollo 17, du 7 au 19 décembre 1972. A son poignet, une Omega Speedmaster Professional sortie d’usine le 6 décembre 1965. Cernan avait déjà porté cette Speedmaster équipée du calibre 321 durant la mission Gemini 9 (du 3 au 6 juin 1966), pendant laquelle il fut le premier à effectuer une orbite complète autour de la Terre lors d’une sortie dans l’espace, ainsi que lors de la mission Apollo 10 (du 18 au 26 mai 1969). Cernan emporta sa Speedmaster pour ce qui furent les derniers pas de l’homme sur la lune, le 14 décembre 1972.
En 1973, l’Omega Speedmaster 125 est lancée à l’occasion du 125e anniversaire de la compagnie. Ce fut le premier chronomètre automatique officiellement certifié au monde à être produit en série.
Les Omega Speedmaster Professional portées sur la lune sont les modèles 105.003, 105.012 et 145.012. Toutes ces montres sont équipées du calibre Omega 321 et ont été produites avant 1968.
Plusieurs marques ont tenté à diverses reprises de faire certifier leurs chronographes par la NASA.
A chaque fois, l’Omega Speedmaster Professional a surpassé tous ses concurrents, et à chaque fois la NASA a confirmé sa décision initiale, conservant l’Omega Speedmaster Professional pour l’ensemble de ses missions habitées. Sélectionnée pour la première fois par la NASA en 1965, la Speedmaster fut à nouveau choisie en 1972 puis en 1978 pour les missions de la navette spatiale.
« Houston, nous avons un problème ». Durant la mission Apollo 13 (avril 1970), une explosion avait endommagé la principale source d’énergie, obligeant les astronautes à éteindre tous les instruments électriques à l’exception de la radio, ceci afin de conserver l’énergie nécessaire aux manœuvres permettant leur retour sur terre.
Ainsi, le chronométrage de la mise à feu et de l’arrêt des fusées secondaires après 14 secondes permettant la correction de la trajectoire du vaisseau et son retour sur terre reposait uniquement sur la précision des Omega Speedmaster Professional. En reconnaissance du rôle crucial joué par la Speedmaster Professional dans le sauvetage de l’équipage d’Apollo 13, la NASA honora Omega du très convoité Snoopy Award.
La première Speedmaster automatique est lancée en 1971. Une publicité de l’époque annonçait : « Après six alunissages, il n’y avait qu’une chose que l’on pouvait enseigner à la Speedmaster. Se remonter d’elle-même ».
Le dernier homme à avoir marché sur la lune fut le capitaine Eugene Cernan lors de la mission Apollo 17, du 7 au 19 décembre 1972. A son poignet, une Omega Speedmaster Professional sortie d’usine le 6 décembre 1965. Cernan avait déjà porté cette Speedmaster équipée du calibre 321 durant la mission Gemini 9 (du 3 au 6 juin 1966), pendant laquelle il fut le premier à effectuer une orbite complète autour de la Terre lors d’une sortie dans l’espace, ainsi que lors de la mission Apollo 10 (du 18 au 26 mai 1969). Cernan emporta sa Speedmaster pour ce qui furent les derniers pas de l’homme sur la lune, le 14 décembre 1972.
En 1973, l’Omega Speedmaster 125 est lancée à l’occasion du 125e anniversaire de la compagnie. Ce fut le premier chronomètre automatique officiellement certifié au monde à être produit en série.
Après le dernier alunissage, le programme spatial américain continua avec les missions Skylab (1973-74). La mission Skylab SL-4 qui décolla le 16 novembre 1973 connut un problème au niveau de l’horloge de la caméra cartographique.
La NASA demanda alors à Omega de développer, produire et envoyer une nouvelle horloge –en moins de deux semaines. Le département de recherche et développement d’Omega fabriqua dans les temps et selon les directives précises de la NASA un chronomètre électronique spécial (à diapason) aux dimensions requises, lequel remplaça parfaitement l’horloge défectueuse dès fin novembre.
Lors du fameux rendez-vous orbital Apollo-Soyouz du 17 juillet 1975, les astronautes américains Tom Stafford, Donald Slayton et Vance Brand (Apollo) et leurs homologues russes Alexei Leonov et Valery Kubasov (Soyouz) portaient tous des Omega Speedmaster Professional. Les cosmonautes russes en portaient même deux : l’une indiquant l’heure GMT, l’autre l’heure de Houston ou de Baïkonour.
Depuis 1975 en effet, la Speedmaster est également la montre sélectionnée par l’agence spatiale russe NPO Energia pour toutes les sorties dans l’espace de ses cosmonautes. La Speedmaster est actuellement utilisée à bord de la Station Spatiale Internationale ISS (anciennement MIR).
La NASA demanda alors à Omega de développer, produire et envoyer une nouvelle horloge –en moins de deux semaines. Le département de recherche et développement d’Omega fabriqua dans les temps et selon les directives précises de la NASA un chronomètre électronique spécial (à diapason) aux dimensions requises, lequel remplaça parfaitement l’horloge défectueuse dès fin novembre.
Lors du fameux rendez-vous orbital Apollo-Soyouz du 17 juillet 1975, les astronautes américains Tom Stafford, Donald Slayton et Vance Brand (Apollo) et leurs homologues russes Alexei Leonov et Valery Kubasov (Soyouz) portaient tous des Omega Speedmaster Professional. Les cosmonautes russes en portaient même deux : l’une indiquant l’heure GMT, l’autre l’heure de Houston ou de Baïkonour.
Depuis 1975 en effet, la Speedmaster est également la montre sélectionnée par l’agence spatiale russe NPO Energia pour toutes les sorties dans l’espace de ses cosmonautes. La Speedmaster est actuellement utilisée à bord de la Station Spatiale Internationale ISS (anciennement MIR).
En 1988 est lancée la Speedmaster Automatic « Reduced » dont les dimensions sont légèrement inférieures à celles de l’originale (diamètre réduit de 42 à 39 mm).
L’alpiniste italien Reinhold Messner, le premier à avoir conquis les quatorze “huit milles” (les quatorze montagnes qui culminent à plus de 8000 mètres) et le premier à avoir escaladé l’Everest en solitaire et sans oxygène, portait en 1989 une Speedmaster lors de sa traversée à ski de l’Antarctique par le Pôle Sud géographique.
La première édition de l’Omega Speedmaster Professional “MIR” fut lancée en 1990-91 sous forme d’une série spéciale numérotée, limitée à dix modèles en acier. Ces dix montres ont chacune effectué 1600 orbites autour de la terre durant les 90 jours passés à bord de la station spatiale russe MIR (de décembre 1990 à mars 1991).
Une seconde édition spéciale, composée de 35 pièces numérotées ayant orbité autour de notre planète durant 365 jours à bord de la station MIR (de juillet 1993 à juillet 1994), fut lancée pour célébrer le rendez-vous spatial américano-russe Atlantis-MIR du 29 juin au 3 juillet 1995.
In 1991, Omega lance la Speedmaster Automatic “Reduced-Date” équipée du calibre 1155 dont les totalisateurs sont positionnés à 6, 9 et 12 heures. L’Omega Speedmaster Automatic Day-Date, équipée du calibre 1150 avec date, jour de la semaine, mois et indicateur 24 heures, est lancée en 1993.
L’alpiniste italien Reinhold Messner, le premier à avoir conquis les quatorze “huit milles” (les quatorze montagnes qui culminent à plus de 8000 mètres) et le premier à avoir escaladé l’Everest en solitaire et sans oxygène, portait en 1989 une Speedmaster lors de sa traversée à ski de l’Antarctique par le Pôle Sud géographique.
La première édition de l’Omega Speedmaster Professional “MIR” fut lancée en 1990-91 sous forme d’une série spéciale numérotée, limitée à dix modèles en acier. Ces dix montres ont chacune effectué 1600 orbites autour de la terre durant les 90 jours passés à bord de la station spatiale russe MIR (de décembre 1990 à mars 1991).
Une seconde édition spéciale, composée de 35 pièces numérotées ayant orbité autour de notre planète durant 365 jours à bord de la station MIR (de juillet 1993 à juillet 1994), fut lancée pour célébrer le rendez-vous spatial américano-russe Atlantis-MIR du 29 juin au 3 juillet 1995.
In 1991, Omega lance la Speedmaster Automatic “Reduced-Date” équipée du calibre 1155 dont les totalisateurs sont positionnés à 6, 9 et 12 heures. L’Omega Speedmaster Automatic Day-Date, équipée du calibre 1150 avec date, jour de la semaine, mois et indicateur 24 heures, est lancée en 1993.
En 1998, Omega lance la Speedmaster X-33, développée en collaboration avec les astronautes de la NASA. Répondant à leurs besoins, cette montre a été conçue de manière à pouvoir être manipulée avec des gants, est équipée d’un réveil à haut niveau sonore (80 décibels) et d’un chronographe "MT" (pour "Mission Elapsed Time") à haute durée d’enregistrement, présente de larges indications offrant de forts contrastes pour une lecture parfaite et est munie d’un puissant éclairage du cadran.
L’Omega X-33 répond ainsi à toutes les spécifications établies durant plus de cinq années de tests en collaboration avec les astronautes américains et les spationautes européens. Qualifiées par la NASA pour ses cent prochaines missions habitées, les X-33 sont portées tant à bord de la navette spatiale américaine (depuis la mission STS-90) qu’à bord de la station russe MIR.
L’Omega Speedmaster Automatic Rattrapante Chronometer, un chronomètre certifié COSC et équipé du calibre 3600 à grenage circulaire et côtes de Genève, est commercialisé en 1999. L’Omega Speedmaster Automatic Chronometer “Broad Arrow”, une version améliorée du modèle Replica commercialisé en 1998 à l’occasion du 150e anniversaire de la compagnie, est lancée en 2001.
En 2005, Omega lance un modèle en acier inoxydable rendant hommage à Michael Schumacher. Cette Omega Speedmaster Automatic Chronometer constitue le premier modèle de la collection Michael Schumacher “The Legend”.
Lancement en 2006 de l’Omega Speedmaster Chronometer “Broad Arrow Co-Axial Rattrapante”, une version non limitée du modèle en édition limitée “Torino 2006”.
L’Omega X-33 répond ainsi à toutes les spécifications établies durant plus de cinq années de tests en collaboration avec les astronautes américains et les spationautes européens. Qualifiées par la NASA pour ses cent prochaines missions habitées, les X-33 sont portées tant à bord de la navette spatiale américaine (depuis la mission STS-90) qu’à bord de la station russe MIR.
L’Omega Speedmaster Automatic Rattrapante Chronometer, un chronomètre certifié COSC et équipé du calibre 3600 à grenage circulaire et côtes de Genève, est commercialisé en 1999. L’Omega Speedmaster Automatic Chronometer “Broad Arrow”, une version améliorée du modèle Replica commercialisé en 1998 à l’occasion du 150e anniversaire de la compagnie, est lancée en 2001.
En 2005, Omega lance un modèle en acier inoxydable rendant hommage à Michael Schumacher. Cette Omega Speedmaster Automatic Chronometer constitue le premier modèle de la collection Michael Schumacher “The Legend”.
Lancement en 2006 de l’Omega Speedmaster Chronometer “Broad Arrow Co-Axial Rattrapante”, une version non limitée du modèle en édition limitée “Torino 2006”.
Depuis la première Omega Speedmaster commercialisée en 1957, Omega a produit environ 1,8 million de Speedmaster, dotées de calibres manuels, automatiques, diapason ou quartz. Ce chiffre inclut les quelque 330'000 chronographes Omega Speedmaster Professional "Moon Watch".
A ce jour (2007), environ 250 variantes de la Speedmaster ont été créées depuis le lancement du premier modèle en 1957, présentant un large choix de mouvements : manuels, automatiques, à diapason, avec phase de lune, à calendrier perpétuel, avec rattrapante, en version squelette, modèles quartz numériques ou quartz multifonctions hybrides (l’Omega Speedmaster Professional X-33 de 1998, également appelée la “Montre de Mars”) et déclinées dans de nombreuses variantes de boîtiers : en or, en acier, en titane, avec fond transparent ou encore en version joaillerie.
• Le 15 avril 2007, 300 lots de montres Omega ont été mis aux enchères par Antiquorum. Deux Speedmaster originales y ont notamment été adjugées pour des montants 30 fois supérieurs au prix de détail actuel et un rare ensemble “Speedmaster Missions Collection”, comprenant 22 Omega Speedmaster Professional et une réplique de la toute première Omega Speedmaster, a trouvé acquéreur pour la somme de CHF 368’900.- (soit € 227’716 ou $ 312’627). Produites en une édition limitée à seulement 40 unités, les montres composant la "Speedmaster Missions Collection" présentent chacune un emblème des plus illustres missions spatiales de la NASA (huit missions Gemini de 1965 à 1966, onze missions Apollo de 1968 à 1972 et trois missions Skylab de 1973 à 1974).
• Quarante-deux ans après son premier alunissage, la Speedmaster prendra part à une nouvelle aventure dans les airs, cette fois à bord d’un avion dont l’envergure est supérieure à celle de l’Airbus A380, mais dont le poids ne représente que le 0,4% de celui du gros porteur. Omega est en effet l’un des trois principaux sponsors de Solar Impulse, un projet audacieux dirigé par l’aérostier suisse Bertrand Piccard, dont le but est le développement et la construction d’un avion exclusivement propulsé à l’énergie solaire qui soit capable de faire le tour du monde sans escale.
Solar Impulse débutera ses vols d’essai en 2009 et tentera le tour du monde en 2011, avec le soleil pour unique source d’énergie. Omega met sa technologie et son savoir-faire à la disposition de ce projet et la Speedmaster sera au poignet des membres de l’équipage à chacun de leurs vols.
A ce jour (2007), environ 250 variantes de la Speedmaster ont été créées depuis le lancement du premier modèle en 1957, présentant un large choix de mouvements : manuels, automatiques, à diapason, avec phase de lune, à calendrier perpétuel, avec rattrapante, en version squelette, modèles quartz numériques ou quartz multifonctions hybrides (l’Omega Speedmaster Professional X-33 de 1998, également appelée la “Montre de Mars”) et déclinées dans de nombreuses variantes de boîtiers : en or, en acier, en titane, avec fond transparent ou encore en version joaillerie.
• Le 15 avril 2007, 300 lots de montres Omega ont été mis aux enchères par Antiquorum. Deux Speedmaster originales y ont notamment été adjugées pour des montants 30 fois supérieurs au prix de détail actuel et un rare ensemble “Speedmaster Missions Collection”, comprenant 22 Omega Speedmaster Professional et une réplique de la toute première Omega Speedmaster, a trouvé acquéreur pour la somme de CHF 368’900.- (soit € 227’716 ou $ 312’627). Produites en une édition limitée à seulement 40 unités, les montres composant la "Speedmaster Missions Collection" présentent chacune un emblème des plus illustres missions spatiales de la NASA (huit missions Gemini de 1965 à 1966, onze missions Apollo de 1968 à 1972 et trois missions Skylab de 1973 à 1974).
• Quarante-deux ans après son premier alunissage, la Speedmaster prendra part à une nouvelle aventure dans les airs, cette fois à bord d’un avion dont l’envergure est supérieure à celle de l’Airbus A380, mais dont le poids ne représente que le 0,4% de celui du gros porteur. Omega est en effet l’un des trois principaux sponsors de Solar Impulse, un projet audacieux dirigé par l’aérostier suisse Bertrand Piccard, dont le but est le développement et la construction d’un avion exclusivement propulsé à l’énergie solaire qui soit capable de faire le tour du monde sans escale.
Solar Impulse débutera ses vols d’essai en 2009 et tentera le tour du monde en 2011, avec le soleil pour unique source d’énergie. Omega met sa technologie et son savoir-faire à la disposition de ce projet et la Speedmaster sera au poignet des membres de l’équipage à chacun de leurs vols.