Créée en 1979 par Yves G. Piaget, la montre Piaget Polo est très vite devenue, une star, grâce à son design, son élégance et sa marraine de l'époque, Ursula Andress. Depuis, elle a traversé toutes les modes.
En or blanc ou en or jaune, elle se porte à toute heure. Et c’est l’une des raisons de son incroyable succès. « Toute la philosophie de la Piaget Polo tient en une phrase : c’est un bracelet-montre et non une montre-bracelet... » déclarait à l’époque Yves G. Piaget. Et d’ajouter : « vous savez, la Polo c’est un peu mon bébé et je suis toujours un peu ému à l’idée d’en parler ».
Ému et fier à la fois. Tout le monde n’a pas eu la chance de donner naissance, il y a trente ans, à l’une des stars de la haute horlogerie. De nombreuses coupures de presse et photos de l’époque peuvent en témoigner. Andy Warhol, le pape du Pop Art et Brooke Shields. Sammy Davis Junior. John Forsythe et Pamela Sue Martin, deux des héros de la série américaine « Dynastie ». Tous ont porté à leur poignet le mythique bracelet en or.
« C’est la première de nos montres qui ait été créée en fonction de la demande et non pas « imposée » comme cela se faisait autrefois, se souvient Yves G. Piaget. En 1979, elle répondait à un désir très fort du marché américain. Nos détaillants souhaitaient une montre luxe et sport. Sur le plan technologique, nous venions de sortir le Piaget 7P, un mouvement électronique à quartz, à affichage analogique, avec cadran et aiguilles classiques. Avec ses 3,1 millimètres d’épaisseur, c’était le plus plat du monde et une rareté, fabriquée en série très limitée. À la même époque, nos dessinateurs ont eu l'idée de créer des cadrans totalement intégrés dans un bracelet en or massif alternant or satiné, pour les maillons plats, et or poli, pour les godrons. Depuis, l’A.D.N de cette montre n’a pas changé, même s’il s’est adapté aux époques. Une montre Polo est toujours immédiatement reconnaissable. Chaque fois que l’on voyait le nom Piaget, on pensait à la Polo et chaque fois que l’on voyait le mot Polo on pensait à Piaget… »
En or blanc ou en or jaune, elle se porte à toute heure. Et c’est l’une des raisons de son incroyable succès. « Toute la philosophie de la Piaget Polo tient en une phrase : c’est un bracelet-montre et non une montre-bracelet... » déclarait à l’époque Yves G. Piaget. Et d’ajouter : « vous savez, la Polo c’est un peu mon bébé et je suis toujours un peu ému à l’idée d’en parler ».
Ému et fier à la fois. Tout le monde n’a pas eu la chance de donner naissance, il y a trente ans, à l’une des stars de la haute horlogerie. De nombreuses coupures de presse et photos de l’époque peuvent en témoigner. Andy Warhol, le pape du Pop Art et Brooke Shields. Sammy Davis Junior. John Forsythe et Pamela Sue Martin, deux des héros de la série américaine « Dynastie ». Tous ont porté à leur poignet le mythique bracelet en or.
« C’est la première de nos montres qui ait été créée en fonction de la demande et non pas « imposée » comme cela se faisait autrefois, se souvient Yves G. Piaget. En 1979, elle répondait à un désir très fort du marché américain. Nos détaillants souhaitaient une montre luxe et sport. Sur le plan technologique, nous venions de sortir le Piaget 7P, un mouvement électronique à quartz, à affichage analogique, avec cadran et aiguilles classiques. Avec ses 3,1 millimètres d’épaisseur, c’était le plus plat du monde et une rareté, fabriquée en série très limitée. À la même époque, nos dessinateurs ont eu l'idée de créer des cadrans totalement intégrés dans un bracelet en or massif alternant or satiné, pour les maillons plats, et or poli, pour les godrons. Depuis, l’A.D.N de cette montre n’a pas changé, même s’il s’est adapté aux époques. Une montre Polo est toujours immédiatement reconnaissable. Chaque fois que l’on voyait le nom Piaget, on pensait à la Polo et chaque fois que l’on voyait le mot Polo on pensait à Piaget… »
En 1979, à la Côte-aux-Fées, le petit village du Jura où la famille Piaget fabrique ses mouvements depuis plus d’un siècle, le lancement de ce nouveau modèle est une révolution qui se résume en une question : faut-il le baptiser ?
L’idée est contraire, non seulement à la tradition de la marque, mais aussi à la légendaire discrétion de la famille Piaget.
Créée en 1874 par Georges Edouard Piaget, la manufacture a attendu 1943 avant de commercialiser des montres sous son propre nom. Valentin, le directeur technique et le plus jeune des deux frères qui dirigent la Maison en 1979, est opposé à cette innovation. Son frère Gérald pourrait se laisser convaincre à condition que le nom lui plaise.
« Depuis mon enfance, j’ai toujours été fasciné par les chevaux. Dans notre ferme familiale de la Côte aux Fées, raconte Yves G. Piaget, nous n’avions pourtant qu’un cheval de trait, mais c’était déjà mon animal préféré. Nous avons commencé à tourner autour de l’univers du polo. Ce nom avait une sonorité prestigieuse car il concernait une élite. Nous étions exactement dans la cible : luxe et sport. En plus, sur le plan technique, le polo nous ressemblait. C’est un sport de précision qui demande de l’anticipation, la maîtrise du temps et de l’élégance, sur le terrain et dans les tribunes. Cet univers très sophistiqué était celui de notre clientèle ».
Inventé à Persépolis, à la cour de Darius 1er, aux alentours de 500 avant Jésus-Christ, le polo est le sport le plus prestigieux du monde. Tous les souverains Perses, et peut-être même Alexandre le Grand, tout comme Attila, Gengis Khan et Tamerlan, l’ont pratiqué. Au XVIe siècle, Akbar, le plus grand des empereurs Moghols l’introduit en Inde où il devient le sport favori des maharajahs. C’est là que les Anglais le découvrent au XIXe siècle. Aujourd’hui, il fait partie des traditions de la famille royale britannique. Le prince Philippe, époux de la reine Elisabeth II, fut un joueur acharné, tout comme son fils, l’actuel prince de Galles, dont les deux fils, les princes William et Harry ont pris la relève.
« L’identité de cette montre est devenue si forte que nous avions des demandes de clients pour des Polos qui ne savaient même pas que c’était une montre Piaget… » remarque encore Yves G. Piaget. « Après de longs débats, la nouvelle montre est baptisée, très discrètement, uniquement pour la publicité, sans que le nom Polo ne figure sur les montres elles-mêmes ».
L’idée est contraire, non seulement à la tradition de la marque, mais aussi à la légendaire discrétion de la famille Piaget.
Créée en 1874 par Georges Edouard Piaget, la manufacture a attendu 1943 avant de commercialiser des montres sous son propre nom. Valentin, le directeur technique et le plus jeune des deux frères qui dirigent la Maison en 1979, est opposé à cette innovation. Son frère Gérald pourrait se laisser convaincre à condition que le nom lui plaise.
« Depuis mon enfance, j’ai toujours été fasciné par les chevaux. Dans notre ferme familiale de la Côte aux Fées, raconte Yves G. Piaget, nous n’avions pourtant qu’un cheval de trait, mais c’était déjà mon animal préféré. Nous avons commencé à tourner autour de l’univers du polo. Ce nom avait une sonorité prestigieuse car il concernait une élite. Nous étions exactement dans la cible : luxe et sport. En plus, sur le plan technique, le polo nous ressemblait. C’est un sport de précision qui demande de l’anticipation, la maîtrise du temps et de l’élégance, sur le terrain et dans les tribunes. Cet univers très sophistiqué était celui de notre clientèle ».
Inventé à Persépolis, à la cour de Darius 1er, aux alentours de 500 avant Jésus-Christ, le polo est le sport le plus prestigieux du monde. Tous les souverains Perses, et peut-être même Alexandre le Grand, tout comme Attila, Gengis Khan et Tamerlan, l’ont pratiqué. Au XVIe siècle, Akbar, le plus grand des empereurs Moghols l’introduit en Inde où il devient le sport favori des maharajahs. C’est là que les Anglais le découvrent au XIXe siècle. Aujourd’hui, il fait partie des traditions de la famille royale britannique. Le prince Philippe, époux de la reine Elisabeth II, fut un joueur acharné, tout comme son fils, l’actuel prince de Galles, dont les deux fils, les princes William et Harry ont pris la relève.
« L’identité de cette montre est devenue si forte que nous avions des demandes de clients pour des Polos qui ne savaient même pas que c’était une montre Piaget… » remarque encore Yves G. Piaget. « Après de longs débats, la nouvelle montre est baptisée, très discrètement, uniquement pour la publicité, sans que le nom Polo ne figure sur les montres elles-mêmes ».
Conscient d’avoir entre les mains un énorme succès potentiel, Yves G. Piaget est bien décidé à aller un peu plus loin dans l’innovation en le faisant savoir au monde entier.
Depuis son entrée dans la maison au début des années 60, le fils de monsieur Gérald s’est fait l’ambassadeur de la marque auprès des grands de ce monde.
« J’ai mis un pied dans le monde du show business en 1964 lorsque j’ai rencontré Maurice Chevalier. C’était une très grande figure pour des gens de la génération de mon père et de mon oncle. En 1965, c’est moi qui ai présenté la chanteuse Mireille Mathieu lors de ses débuts en Suisse sur la scène du Palace de Gstaad. Plus tard, j’ai même emmené Petula Clark à la cour d’Iran. On m’a « marié « plusieurs fois à cette époque, avec Gina Lollobrigida. Et même avec la princesse Soraya. Je ne l’avais pourtant rencontré que deux fois » confie Yves G. Piaget
À Palm Beach en 1980, lors de la coupe du Monde de polo, la montre Polo de Piaget fait son entrée dans la Jet Set. À cette époque, la presse « people » n’existe pas et personne n’a encore eu l’idée d’associer des stars au monde du luxe. S’enchainent alors les soirées chez Régine à New York, les dîners de gala aux Breakers, le plus bel hôtel de Palm Beach. Et surtout, la visite impromptue des écuries en compagnie d’une des plus belles femmes du monde : Ursula Andress. Et la plus célèbre des « James Bond Girls » accepta d’être la marraine de la nouvelle montre.
« C’était une amie de longue date et une fille épatante se souvient Yves G. Piaget. Toute la matinée, elle s’est laissé prendre en photos avec les chevaux. C’est elle qui a remis la coupe. Les images ont fait le tour du monde ». Sur chacune d’entre elles, impossible de ne pas remarquer au poignet de la star, cette montre en or. La Piaget Polo entre alors dans la légende.
Cette même année 1980, un nouveau mouvement électronique à quartz, le calibre 8P, fait son apparition chez Piaget et dans la Piaget Polo. D’une épaisseur d’1,95 millimètres, il était particulièrement ingénieux. Le succès est à la hauteur des espérances d'Yves G. Piaget et du travail fourni par les artisans de la manufacture. D’ailleurs, au début des années 1980, la Piaget Polo représente près d’un tiers des ventes de montres de la marque. L’engouement de ses fans ne s’est pas démenti depuis. Sans jamais céder aux caprices de la mode, la Piaget Polo s’est adaptée aux époques qu’elle a traversées.
Depuis son entrée dans la maison au début des années 60, le fils de monsieur Gérald s’est fait l’ambassadeur de la marque auprès des grands de ce monde.
« J’ai mis un pied dans le monde du show business en 1964 lorsque j’ai rencontré Maurice Chevalier. C’était une très grande figure pour des gens de la génération de mon père et de mon oncle. En 1965, c’est moi qui ai présenté la chanteuse Mireille Mathieu lors de ses débuts en Suisse sur la scène du Palace de Gstaad. Plus tard, j’ai même emmené Petula Clark à la cour d’Iran. On m’a « marié « plusieurs fois à cette époque, avec Gina Lollobrigida. Et même avec la princesse Soraya. Je ne l’avais pourtant rencontré que deux fois » confie Yves G. Piaget
À Palm Beach en 1980, lors de la coupe du Monde de polo, la montre Polo de Piaget fait son entrée dans la Jet Set. À cette époque, la presse « people » n’existe pas et personne n’a encore eu l’idée d’associer des stars au monde du luxe. S’enchainent alors les soirées chez Régine à New York, les dîners de gala aux Breakers, le plus bel hôtel de Palm Beach. Et surtout, la visite impromptue des écuries en compagnie d’une des plus belles femmes du monde : Ursula Andress. Et la plus célèbre des « James Bond Girls » accepta d’être la marraine de la nouvelle montre.
« C’était une amie de longue date et une fille épatante se souvient Yves G. Piaget. Toute la matinée, elle s’est laissé prendre en photos avec les chevaux. C’est elle qui a remis la coupe. Les images ont fait le tour du monde ». Sur chacune d’entre elles, impossible de ne pas remarquer au poignet de la star, cette montre en or. La Piaget Polo entre alors dans la légende.
Cette même année 1980, un nouveau mouvement électronique à quartz, le calibre 8P, fait son apparition chez Piaget et dans la Piaget Polo. D’une épaisseur d’1,95 millimètres, il était particulièrement ingénieux. Le succès est à la hauteur des espérances d'Yves G. Piaget et du travail fourni par les artisans de la manufacture. D’ailleurs, au début des années 1980, la Piaget Polo représente près d’un tiers des ventes de montres de la marque. L’engouement de ses fans ne s’est pas démenti depuis. Sans jamais céder aux caprices de la mode, la Piaget Polo s’est adaptée aux époques qu’elle a traversées.
En 2001, elle a fait peau neuve. Elle adopte un cadran plus graphique, un volume généreux et un galbe qui en garantit l’ergonomie. Un relooking qui confirme le statut d’icône de la ligne Piaget Polo et sa pertinence en modèle grande taille. Courtney Cox, la star de Friend's, et son mari, David Arquette, succombent à leur tour. Tout comme plus tard Ben Affleck , Puff Daddy, Rihanna ou Alicia Keys.
En trente ans, la montre Piaget Polo n’a rien changé à son caractère affirmé. Même alternance des surfaces mates et polies, même éclat rythmé des godrons, même intégration savamment étudiée du bracelet, du boîtier et de la lunette. En trente ans, elle a démontré la force de son design. Elle compte notamment, un chronographe interprété de manière originale, dans l’esprit de la maison.
Cette pièce, outre les fonctions chronographe et flyback est équipée du mouvement 880P qui permet d’afficher les fonctions heure, minute, petite seconde à 6h, date à 12h et second fuseau horaire sur 24 heures à 9h. Doté de deux barillets et d’un grand balancier à vis, ce mouvement mécanique de 5.6 mm d’épaisseur à remontage automatique offre 50 heures de réserve de marche en mode chronographe enclenché. Disposant d’un embrayage vertical, il a tout d’un mouvement chronographe de haute horlogerie.
Aujourd’hui, le chrono de la Piaget Polo FortyFive donne le départ d’une nouvelle ère, exprimant toute sa modernité avec un boîtier de 45 mm sculpté dans le titane et prolongé d’un bracelet en caoutchouc. Le bracelet s'élargit ou se rétrécit en deux pressions sur les côtés pour augmenter le confort en fonction des variations de températures. Les godrons sont là, en acier poli. Ils jouent l'alternance avec le titane satiné. Le mouvement mécanique à remontage automatique créé dans la manufacture de la Côte aux Fées est digne de la tradition Piaget. La seule variante, c'est le cadran. C'est de lui que la Piaget Polo FortyFive tient son nom. Il est un peu plus large qu'autrefois et mesure 45 millimètres. Pour Philippe Léopold-Metzger, patron de Piaget, « cela correspond au goût de notre époque. Et puis, c'est à peu près le temps de durée d'un match de polo »…
Sport dans lequel, Piaget a fait une entrée remarquée en 2008 dans la compétition la plus exigeante du polo international, la Triple Couronne. L’équipe « Pilàra-Piaget », qui joue sous les couleurs de Piaget est composée des meilleurs joueurs mondiaux, Marcos Heguy, Santiago Chavanne, et les frères Sebastian et Agustin Merlos. La marque a d’ailleurs choisi son capitaine, Marcos Heguy, comme ambassadeur de ligne Piaget Polo.
En trente ans, la montre Piaget Polo n’a rien changé à son caractère affirmé. Même alternance des surfaces mates et polies, même éclat rythmé des godrons, même intégration savamment étudiée du bracelet, du boîtier et de la lunette. En trente ans, elle a démontré la force de son design. Elle compte notamment, un chronographe interprété de manière originale, dans l’esprit de la maison.
Cette pièce, outre les fonctions chronographe et flyback est équipée du mouvement 880P qui permet d’afficher les fonctions heure, minute, petite seconde à 6h, date à 12h et second fuseau horaire sur 24 heures à 9h. Doté de deux barillets et d’un grand balancier à vis, ce mouvement mécanique de 5.6 mm d’épaisseur à remontage automatique offre 50 heures de réserve de marche en mode chronographe enclenché. Disposant d’un embrayage vertical, il a tout d’un mouvement chronographe de haute horlogerie.
Aujourd’hui, le chrono de la Piaget Polo FortyFive donne le départ d’une nouvelle ère, exprimant toute sa modernité avec un boîtier de 45 mm sculpté dans le titane et prolongé d’un bracelet en caoutchouc. Le bracelet s'élargit ou se rétrécit en deux pressions sur les côtés pour augmenter le confort en fonction des variations de températures. Les godrons sont là, en acier poli. Ils jouent l'alternance avec le titane satiné. Le mouvement mécanique à remontage automatique créé dans la manufacture de la Côte aux Fées est digne de la tradition Piaget. La seule variante, c'est le cadran. C'est de lui que la Piaget Polo FortyFive tient son nom. Il est un peu plus large qu'autrefois et mesure 45 millimètres. Pour Philippe Léopold-Metzger, patron de Piaget, « cela correspond au goût de notre époque. Et puis, c'est à peu près le temps de durée d'un match de polo »…
Sport dans lequel, Piaget a fait une entrée remarquée en 2008 dans la compétition la plus exigeante du polo international, la Triple Couronne. L’équipe « Pilàra-Piaget », qui joue sous les couleurs de Piaget est composée des meilleurs joueurs mondiaux, Marcos Heguy, Santiago Chavanne, et les frères Sebastian et Agustin Merlos. La marque a d’ailleurs choisi son capitaine, Marcos Heguy, comme ambassadeur de ligne Piaget Polo.
La Piaget Polo et le polo en dix dates
-500 avant J.C : Première traces du jeu de Polo en Perse à la cour de Darius 1er
-1000 : L’empereur chinois, T’sai Tsu, fait décapiter tous les joueurs d’un match de polo au cours duquel l’un de ses parents a trouvé la mort.
-1500 : Création à Ispahan en Perse du plus grand terrain de polo jamais construit : 460 mètres de long sur 100 mètres de large.
-1600 : Akbar, empereur Moghol introduit le polo en Inde.
-1850 : Les Anglais découvrent le polo en Inde. Le jeu est baptisé à cette époque du nom tibétain de la racine « pulu » qui sert à fabriquer les balles.
-1859 : Fondation à Calcutta du « Calchar Polo Club » le premier club de polo du Monde.
-1979 : Création par Piaget de la Polo
-1980 : Lancement à Palm Beach de la Piaget Polo lors de la coupe du monde, en présence d’Ursula Andress
-2001 : Lancement de nouvelle Piaget Polo
-2007 : Lancement du Piaget Polo Tourbillon Relatif
-2007 : Lancement du chronographe Piaget Polo équipé du mouvement 880P
-2008 : Création de l’équipe de polo Pilara-Piaget
-2008 : Marcos Heguy ambassadeur de la ligne Piaget Polo
-2009 : Célébration des 30 ans de la collection Piaget Polo : lancement au SIHH de séries anniversaires
-2009 : Lancement de la Piaget Polo FortyFive
-1000 : L’empereur chinois, T’sai Tsu, fait décapiter tous les joueurs d’un match de polo au cours duquel l’un de ses parents a trouvé la mort.
-1500 : Création à Ispahan en Perse du plus grand terrain de polo jamais construit : 460 mètres de long sur 100 mètres de large.
-1600 : Akbar, empereur Moghol introduit le polo en Inde.
-1850 : Les Anglais découvrent le polo en Inde. Le jeu est baptisé à cette époque du nom tibétain de la racine « pulu » qui sert à fabriquer les balles.
-1859 : Fondation à Calcutta du « Calchar Polo Club » le premier club de polo du Monde.
-1979 : Création par Piaget de la Polo
-1980 : Lancement à Palm Beach de la Piaget Polo lors de la coupe du monde, en présence d’Ursula Andress
-2001 : Lancement de nouvelle Piaget Polo
-2007 : Lancement du Piaget Polo Tourbillon Relatif
-2007 : Lancement du chronographe Piaget Polo équipé du mouvement 880P
-2008 : Création de l’équipe de polo Pilara-Piaget
-2008 : Marcos Heguy ambassadeur de la ligne Piaget Polo
-2009 : Célébration des 30 ans de la collection Piaget Polo : lancement au SIHH de séries anniversaires
-2009 : Lancement de la Piaget Polo FortyFive