Hans Wilsdorf
Hans Wilsdorf, fondateur de Rolex, a marqué la société du sceau de l’excellence et de la cohérence. Il a créé la société et veillé à assurer son avenir grâce à une vision et un esprit d’entreprise novateurs.
Né en Bavière en 1881, il s’initie au monde horloger en Suisse au début du 20ème siècle. A cette époque, alors que la montre de gousset se porte dans toutes les poches, le jeune homme se met à rêver d’une montre-bracelet et entrevoit l’immense potentiel qu’elle offre. Dès lors, il consacre toute son énergie à la concrétisation de ce rêve.
En 1905, il fonde à Londres une société spécialisée dans la distribution de pièces d’horlogerie en Grande-Bretagne et dans les pays de l’Empire britannique. En 1908, il invente le nom Rolex, aisément prononçable dans toutes les langues européennes et suffisamment court pour être inscrit en toutes lettres sur le cadran d’une montre. Dans le même temps, il cherche à maîtriser deux notions fondamentales pour le développement de la montre-bracelet : la précision chronométrique et l’étanchéité.
Cette quête sera à l’origine d’une véritable révolution dans l’histoire contemporaine de l’horlogerie. Sous l’impulsion de Hans Wilsdorf, en 1926, Rolex créera l’Oyster, première montre étanche, puis, en 1931, la première montre automatique équipée d’un rotor Perpetual. Depuis lors, Rolex collectionne les prouesses techniques et se positionne parmi les marques de montres suisses de renommée internationale.
Dans les années 1950, l’entreprise développe le concept de montre professionnelle, qui lui ouvre de nouveaux horizons. Lorsqu’il s’éteint en juillet 1960, à l’âge de 79 ans, Hans Wilsdorf laisse derrière lui une société aux racines solides, produisant des montres universelles et intemporelles.
Né en Bavière en 1881, il s’initie au monde horloger en Suisse au début du 20ème siècle. A cette époque, alors que la montre de gousset se porte dans toutes les poches, le jeune homme se met à rêver d’une montre-bracelet et entrevoit l’immense potentiel qu’elle offre. Dès lors, il consacre toute son énergie à la concrétisation de ce rêve.
En 1905, il fonde à Londres une société spécialisée dans la distribution de pièces d’horlogerie en Grande-Bretagne et dans les pays de l’Empire britannique. En 1908, il invente le nom Rolex, aisément prononçable dans toutes les langues européennes et suffisamment court pour être inscrit en toutes lettres sur le cadran d’une montre. Dans le même temps, il cherche à maîtriser deux notions fondamentales pour le développement de la montre-bracelet : la précision chronométrique et l’étanchéité.
Cette quête sera à l’origine d’une véritable révolution dans l’histoire contemporaine de l’horlogerie. Sous l’impulsion de Hans Wilsdorf, en 1926, Rolex créera l’Oyster, première montre étanche, puis, en 1931, la première montre automatique équipée d’un rotor Perpetual. Depuis lors, Rolex collectionne les prouesses techniques et se positionne parmi les marques de montres suisses de renommée internationale.
Dans les années 1950, l’entreprise développe le concept de montre professionnelle, qui lui ouvre de nouveaux horizons. Lorsqu’il s’éteint en juillet 1960, à l’âge de 79 ans, Hans Wilsdorf laisse derrière lui une société aux racines solides, produisant des montres universelles et intemporelles.
André J. Heiniger
André J. Heiniger est l’homme de l’expansion de Rolex à travers le monde. Bénéficiant d’une grande expérience de terrain, ce véritable stratège commercial va accélérer le développement des affaires, renforcer l’implantation de la société sur tous les continents, d’Amérique en Asie, d’Europe en Océanie, la transformant en une marque universelle, l’une des marques horlogères les plus prestigieuses du monde.
Entré au service de Rolex en 1948 à l’âge de 28 ans, André J. Heiniger consacre ses premières années à développer les marchés et les filiales à l’étranger, notamment en Amérique du Sud. En 1954, Hans Wilsdorf le nomme Directeur Commercial à Genève. En 1963, trois ans après la mort du fondateur, il prend les rênes de la société. A une époque où l’industrie horlogère connaît de profondes mutations, il mise sur l’innovation technologique tout en sauvegardant les valeurs traditionnelles de l’entreprise. Dans les années 1970, Rolex participe activement au développement du premier mouvement à quartz suisse.
Mais André J. Heiniger est convaincu que le succès de Rolex réside dans l’Oyster et il maintient le cap de la montre mécanique. Cette décision fera de lui l’un des grands visionnaires de l’horlogerie contemporaine et permettra à Rolex de sauver des pans entiers de l’industrie horlogère suisse.
Les années 1960-1970 vont par ailleurs donner naissance à des partenariats entre Rolex, des institutions et des sportifs d’exception ainsi que des artistes de renommée internationale. Ces liens vont ainsi contribuer à l’émergence du sponsoring sportif et culturel dans le monde du luxe.
En 1976, afin de célébrer les 50 ans de l’Oyster, André J. Heiniger crée les Prix Rolex à l’esprit d’entreprise. Ces prix ont pour vocation d’apporter une aide financière aux femmes et aux hommes qui cherchent des voies nouvelles susceptibles d’accroître les connaissances et d’améliorer le bien-être de l’humanité. André J. Heiniger se retire de la direction de l’entreprise et devient Président du Conseil d’administration en 1992, puis président d’honneur en 1997. Il décède en janvier 2000.
Entré au service de Rolex en 1948 à l’âge de 28 ans, André J. Heiniger consacre ses premières années à développer les marchés et les filiales à l’étranger, notamment en Amérique du Sud. En 1954, Hans Wilsdorf le nomme Directeur Commercial à Genève. En 1963, trois ans après la mort du fondateur, il prend les rênes de la société. A une époque où l’industrie horlogère connaît de profondes mutations, il mise sur l’innovation technologique tout en sauvegardant les valeurs traditionnelles de l’entreprise. Dans les années 1970, Rolex participe activement au développement du premier mouvement à quartz suisse.
Mais André J. Heiniger est convaincu que le succès de Rolex réside dans l’Oyster et il maintient le cap de la montre mécanique. Cette décision fera de lui l’un des grands visionnaires de l’horlogerie contemporaine et permettra à Rolex de sauver des pans entiers de l’industrie horlogère suisse.
Les années 1960-1970 vont par ailleurs donner naissance à des partenariats entre Rolex, des institutions et des sportifs d’exception ainsi que des artistes de renommée internationale. Ces liens vont ainsi contribuer à l’émergence du sponsoring sportif et culturel dans le monde du luxe.
En 1976, afin de célébrer les 50 ans de l’Oyster, André J. Heiniger crée les Prix Rolex à l’esprit d’entreprise. Ces prix ont pour vocation d’apporter une aide financière aux femmes et aux hommes qui cherchent des voies nouvelles susceptibles d’accroître les connaissances et d’améliorer le bien-être de l’humanité. André J. Heiniger se retire de la direction de l’entreprise et devient Président du Conseil d’administration en 1992, puis président d’honneur en 1997. Il décède en janvier 2000.
Patrick Heiniger
En 1992, six ans après avoir intégré Rolex en qualité de Directeur Commercial, Patrick Heiniger est nommé Directeur Général de la société. Né en Argentine en 1950, diplômé en droit, Patrick Heiniger est admis au barreau de Genève en 1977 et fonde sa propre étude, spécialisée dans le droit international et la propriété intellectuelle.
Fidèle héritier de l’esprit d’entreprise qui a fait de Rolex une marque d’exception, il marie la tradition avec les
exigences d’un monde en constante évolution et n’hésite pas à bousculer les habitudes, faisant entrer la société de plain-pied dans le troisième millénaire.
Au milieu des années 1990, sous son impulsion, Rolex opère un choix stratégique fondamental et opte pour l’intégration verticale des moyens de production. Cette mesure est destinée à assurer la maîtrise de la fabrication des éléments essentiels qui composent les montres de la marque et garantir ainsi son autonomie. La société décide de regrouper toutes ses activités situées dans le canton de Genève sur trois sites industriels.
Le choix de l’industrialisation vise à renforcer la qualité du produit dans le plus grand respect de la tradition horlogère. Ce programme de verticalisation de très grande ampleur débouche sur la construction de nouvelles unités de production résolument à la pointe du progrès technologique. Autonome, disposant d’une liberté sans précédent en matière de conception et de fabrication de ses montres, Rolex peut ainsi pousser plus loin son souci d’excellence et d’innovation.
Outre la qualité du produit, du réseau de distribution et du service après-vente, Patrick Heiniger s’est fixé pour mission de renforcer la défense de la marque à travers le monde. Sous sa direction, la société s’est ouverte à de nouvelles méthodes de communication destinées à la promotion de la marque et de son image.
En 2002, poursuivant la tradition philanthropique de Rolex, Patrick Heiniger a créé le Programme de mentorat artistique « Mentor et Protégé », conçu pour aider de jeunes artistes prometteurs à réaliser leur plein potentiel sous l’oeil d’un maître renommé dans leur discipline. Patrick Heiniger se retire de la direction de l’entreprise en décembre 2008.
Fidèle héritier de l’esprit d’entreprise qui a fait de Rolex une marque d’exception, il marie la tradition avec les
exigences d’un monde en constante évolution et n’hésite pas à bousculer les habitudes, faisant entrer la société de plain-pied dans le troisième millénaire.
Au milieu des années 1990, sous son impulsion, Rolex opère un choix stratégique fondamental et opte pour l’intégration verticale des moyens de production. Cette mesure est destinée à assurer la maîtrise de la fabrication des éléments essentiels qui composent les montres de la marque et garantir ainsi son autonomie. La société décide de regrouper toutes ses activités situées dans le canton de Genève sur trois sites industriels.
Le choix de l’industrialisation vise à renforcer la qualité du produit dans le plus grand respect de la tradition horlogère. Ce programme de verticalisation de très grande ampleur débouche sur la construction de nouvelles unités de production résolument à la pointe du progrès technologique. Autonome, disposant d’une liberté sans précédent en matière de conception et de fabrication de ses montres, Rolex peut ainsi pousser plus loin son souci d’excellence et d’innovation.
Outre la qualité du produit, du réseau de distribution et du service après-vente, Patrick Heiniger s’est fixé pour mission de renforcer la défense de la marque à travers le monde. Sous sa direction, la société s’est ouverte à de nouvelles méthodes de communication destinées à la promotion de la marque et de son image.
En 2002, poursuivant la tradition philanthropique de Rolex, Patrick Heiniger a créé le Programme de mentorat artistique « Mentor et Protégé », conçu pour aider de jeunes artistes prometteurs à réaliser leur plein potentiel sous l’oeil d’un maître renommé dans leur discipline. Patrick Heiniger se retire de la direction de l’entreprise en décembre 2008.
Bruno Meier
En 2009, quatre ans après avoir intégré la société en tant que Directeur des Finances, Bruno Meier est nommé Directeur Général de Rolex.
Né à Lucerne, Suisse, en 1950, Bruno Meier y réalise une partie de ses études de commerce et y débute une carrière qui va lui permettre d’acquérir, à travers les années, une solide expérience et ses lettres de noblesse dans les domaines financier et bancaire. Après un séjour marqué dans des grandes institutions bancaires, notamment à la Chase Manhattan Bank à Genève, il rejoint, en 1986, J.P. Morgan & Co., où il occupe les fonctions de Directeur Général adjoint et membre du comité exécutif à Genève, puis de Directeur Général à New York. Ce parcours se poursuit à la Banque Paribas, de 1992 à 1997, puis à la Republic National Bank of New York.
En janvier 2000, il intègre la Deutsche Bank en tant que Directeur Général de la filiale suisse et Directeur opérationnel de la Gestion de la fortune privée au niveau mondial. En février 2005, Bruno Meier rejoint Rolex, mettant ainsi ses talents de financier au service d’une entreprise qui partage les valeurs longuement éprouvées d’un autre secteur d’activités helvétique. Quatre ans durant, il va marier l’héritage d’une expérience institutionnelle avec une culture d’entreprise profondément enracinée dans la qualité, la notion de service et l’ouverture sur le monde.
En se voyant confier la Direction Générale de Rolex, Bruno Meier reprend les rênes d’un groupe qui a opéré, depuis le milieu des années 1990, une profonde mutation en matière d’intégration verticale. La société repose aujourd’hui sur une structure humaine, industrielle et commerciale sans précédent.
Fort d’une expertise financière et bancaire considérable, Bruno Meier est armé pour affronter avec confiance les nombreux défis qui se profilent à l’aube de ce nouveau millénaire. Ses qualités de gestionnaire seront plus que jamais nécessaires pour maintenir le cap et renforcer une culture d’entreprise unique, tout en s’ouvrant à un monde en perpétuel changement.
Né à Lucerne, Suisse, en 1950, Bruno Meier y réalise une partie de ses études de commerce et y débute une carrière qui va lui permettre d’acquérir, à travers les années, une solide expérience et ses lettres de noblesse dans les domaines financier et bancaire. Après un séjour marqué dans des grandes institutions bancaires, notamment à la Chase Manhattan Bank à Genève, il rejoint, en 1986, J.P. Morgan & Co., où il occupe les fonctions de Directeur Général adjoint et membre du comité exécutif à Genève, puis de Directeur Général à New York. Ce parcours se poursuit à la Banque Paribas, de 1992 à 1997, puis à la Republic National Bank of New York.
En janvier 2000, il intègre la Deutsche Bank en tant que Directeur Général de la filiale suisse et Directeur opérationnel de la Gestion de la fortune privée au niveau mondial. En février 2005, Bruno Meier rejoint Rolex, mettant ainsi ses talents de financier au service d’une entreprise qui partage les valeurs longuement éprouvées d’un autre secteur d’activités helvétique. Quatre ans durant, il va marier l’héritage d’une expérience institutionnelle avec une culture d’entreprise profondément enracinée dans la qualité, la notion de service et l’ouverture sur le monde.
En se voyant confier la Direction Générale de Rolex, Bruno Meier reprend les rênes d’un groupe qui a opéré, depuis le milieu des années 1990, une profonde mutation en matière d’intégration verticale. La société repose aujourd’hui sur une structure humaine, industrielle et commerciale sans précédent.
Fort d’une expertise financière et bancaire considérable, Bruno Meier est armé pour affronter avec confiance les nombreux défis qui se profilent à l’aube de ce nouveau millénaire. Ses qualités de gestionnaire seront plus que jamais nécessaires pour maintenir le cap et renforcer une culture d’entreprise unique, tout en s’ouvrant à un monde en perpétuel changement.
Rolex et ses outils de production
Le Siège mondial de Rolex est situé à Genève
Il abrite l’ensemble des activités administratives de l’entreprise, celles liées à la recherche et développement, à l’assemblage final de la montre et à sa commercialisation, ainsi que le service après-vente.
Rolex compte trois autres sites, tous situés en Suisse
- Le site de Plan-les-Ouates, dans le canton de Genève, regroupe toutes les activités liées au développement, à la fabrication et à la gestion de la qualité du boîtier et du bracelet.
- Le site de Chêne-Bourg, dans le canton de Genève, regroupe toutes les activités liées au développement et à la fabrication du cadran et des produits de bijouterie-joaillerie.
- Le site de Bienne, dans le canton de Berne, regroupe toutes les activités liées au développement, à la fabrication et à l’assemblage vdes mouvements des montres Rolex.
Fruits du vaste programme de verticalisation entrepris au milieu des années 1990, les quatre sites Rolex sont l’expression d’une société désormais autonome, disposant d’un outil de production sans équivalent et d’une liberté absolue pour créer et produire de nouveaux modèles de montres.
Il abrite l’ensemble des activités administratives de l’entreprise, celles liées à la recherche et développement, à l’assemblage final de la montre et à sa commercialisation, ainsi que le service après-vente.
Rolex compte trois autres sites, tous situés en Suisse
- Le site de Plan-les-Ouates, dans le canton de Genève, regroupe toutes les activités liées au développement, à la fabrication et à la gestion de la qualité du boîtier et du bracelet.
- Le site de Chêne-Bourg, dans le canton de Genève, regroupe toutes les activités liées au développement et à la fabrication du cadran et des produits de bijouterie-joaillerie.
- Le site de Bienne, dans le canton de Berne, regroupe toutes les activités liées au développement, à la fabrication et à l’assemblage vdes mouvements des montres Rolex.
Fruits du vaste programme de verticalisation entrepris au milieu des années 1990, les quatre sites Rolex sont l’expression d’une société désormais autonome, disposant d’un outil de production sans équivalent et d’une liberté absolue pour créer et produire de nouveaux modèles de montres.