Affirmer sa personnalité, casser les codes, tel est le concept autour duquel s’articule la nouvelle campagne publicitaire de Tudor. Comme le souligne le communiqué, cette dernière « s’inscrit dans une démarche radicalement nouvelle de communication pour une marque de montres. Elle invente une histoire et un style propre à Tudor, loin de l’appel à des mécaniques d’identification à des icônes et des univers déjà reconnus ».
C’est une vision tournée vers la création et le futur qui s’offre à nous grâce à l’action de l’artiste contemporain new-yorkais Ron Ferri (voir encadré ci-dessous). En retravaillant des photographies de mannequins à l’aide d’une encre noire de sa facture, le peintre a créé avec la marque horlogère une forme d’expression inédite : la rencontre surprenante entre l’art et la communication commerciale.
De fait, des traits de peinture noire réinterprètent à chaque fois l’image, la transformant en une œuvre singulière. « La campagne s’adresse à un public capable d’exprimer son originalité et de faire des choix radicaux. Elle vise une cible qui aime se démarquer en adoptant une montre qui fusionne technologie haut de gamme et désir de style. Le langage de l’artiste magnifie cette nouvelle identité, qui joue sur toutes les facettes d’une personnalité créative et audacieuse » poursuit le communiqué.
La grande nouveauté de cette campagne est aussi qu’elle s’inscrit dans une forme inédite de rapport entre une marque et son public. Loin des diktats, les oeuvres permettent à tout un chacun de se projeter dans les personnages illustrés afin d’y créer sa propre histoire. Un style et un ton qui se retrouveront dans tous les modes d’expression de Tudor : depuis l’intégration complète de la publicité, aux formats médias innovants jusqu’aux points de vente.
C’est une vision tournée vers la création et le futur qui s’offre à nous grâce à l’action de l’artiste contemporain new-yorkais Ron Ferri (voir encadré ci-dessous). En retravaillant des photographies de mannequins à l’aide d’une encre noire de sa facture, le peintre a créé avec la marque horlogère une forme d’expression inédite : la rencontre surprenante entre l’art et la communication commerciale.
De fait, des traits de peinture noire réinterprètent à chaque fois l’image, la transformant en une œuvre singulière. « La campagne s’adresse à un public capable d’exprimer son originalité et de faire des choix radicaux. Elle vise une cible qui aime se démarquer en adoptant une montre qui fusionne technologie haut de gamme et désir de style. Le langage de l’artiste magnifie cette nouvelle identité, qui joue sur toutes les facettes d’une personnalité créative et audacieuse » poursuit le communiqué.
La grande nouveauté de cette campagne est aussi qu’elle s’inscrit dans une forme inédite de rapport entre une marque et son public. Loin des diktats, les oeuvres permettent à tout un chacun de se projeter dans les personnages illustrés afin d’y créer sa propre histoire. Un style et un ton qui se retrouveront dans tous les modes d’expression de Tudor : depuis l’intégration complète de la publicité, aux formats médias innovants jusqu’aux points de vente.
Tudor, petit rappel historique…
La marque Tudor est créée en Suisse en 1926. Elle bénéficie dès le départ des deux grandes inventions de Rolex, à savoir le boîtier étanche Oyster et le rotor Perpetual qui confère à la montre un remontage automatique. Le concept de l’Oyster donnera naissance, dans les années 1950, aux Tudor Oyster Prince et Princess, très prisées notamment sur le marché chinois pour leur fiabilité et leur solidité. Dans les années 1990, Tudor développe des modèles qui, tout en continuant à bénéficier de la technologie, du savoir-faire et de la qualité de la maison mère, affirment leur propre personnalité.
La marque Tudor appartient au groupe Rolex et bénéficie de son réseau de distribution et de son service après-vente. Elle est distribuée en Suisse, à Hong Kong, en Chine, en Italie, en France, en Allemagne, en Espagne, en Australie, à Singapour, en Inde, au Mexique, au Brésil, au Venezuela, au Canada, aux Caraïbes, aux Philippines, à Taïwan, au Benelux et en Grèce.
La marque Tudor appartient au groupe Rolex et bénéficie de son réseau de distribution et de son service après-vente. Elle est distribuée en Suisse, à Hong Kong, en Chine, en Italie, en France, en Allemagne, en Espagne, en Australie, à Singapour, en Inde, au Mexique, au Brésil, au Venezuela, au Canada, aux Caraïbes, aux Philippines, à Taïwan, au Benelux et en Grèce.
Deux montres emblématiques de ce renouveau
Tudor Icaunot (en bas à gauche)
La collection Sport Tudor s’enrichit d’un nouveau modèle qui s’adresse à un public épris de design, d’action et de performance. Avec la Tudor Iconaut, calculez une vitesse moyenne grâce à la fonction chronographe; ou lisez l’heure dans deux fuseaux horaires avec la lunette graduée et l’aiguille 24 heures. Son boîtier de 43 mm, étanche à 150 mètres, lui assure la robustesse. Son mouvement mécanique à remontage automatique (base 7750) de grande précision est le garant de sa fiabilité.
Tudor Lady chrono (en bas à droite)
Parce que la vitesse n’est pas l’apanage des hommes, la collection Classic Tudor innove en mettant au poignet des femmes un chronographe –particulièrement réussi- tout entier dédié à leur plaisir et à leurs envies d’évasion. Tout en couleur, la Tudor Lady Chrono ne cède rien à la performance ni à la fiabilité. Avec son boîtier de 41 mm serti de 101 diamants, elle est présentée sur bracelet cuir ou caoutchouc décliné en plusieurs couleurs aux tonalités subtilement choisies. Les cadrans offrent une gamme de coloris assortis aux bracelets. Le boîtier, étanche à 150 mètres, protège un mouvement mécanique à remontage automatique de grande précision.
La collection Sport Tudor s’enrichit d’un nouveau modèle qui s’adresse à un public épris de design, d’action et de performance. Avec la Tudor Iconaut, calculez une vitesse moyenne grâce à la fonction chronographe; ou lisez l’heure dans deux fuseaux horaires avec la lunette graduée et l’aiguille 24 heures. Son boîtier de 43 mm, étanche à 150 mètres, lui assure la robustesse. Son mouvement mécanique à remontage automatique (base 7750) de grande précision est le garant de sa fiabilité.
Tudor Lady chrono (en bas à droite)
Parce que la vitesse n’est pas l’apanage des hommes, la collection Classic Tudor innove en mettant au poignet des femmes un chronographe –particulièrement réussi- tout entier dédié à leur plaisir et à leurs envies d’évasion. Tout en couleur, la Tudor Lady Chrono ne cède rien à la performance ni à la fiabilité. Avec son boîtier de 41 mm serti de 101 diamants, elle est présentée sur bracelet cuir ou caoutchouc décliné en plusieurs couleurs aux tonalités subtilement choisies. Les cadrans offrent une gamme de coloris assortis aux bracelets. Le boîtier, étanche à 150 mètres, protège un mouvement mécanique à remontage automatique de grande précision.
Ron Ferri : des années lumière d’avance…
Ron Ferri est maître dans l’art de rendre l’ordinaire extraordinaire et visible l’invisible.
Sa perception visuelle du quotidien lui confère une place à part. Pionnier dans l’utilisation de tubes de néon dans les années 1970, son travail fait des émules parmi les artistes inspirés par son travail visionnaire, très en avance sur son temps. Tant sur le plan créatif que conceptuel.
Ferri habite un appartement spacieux de l’Upper East Side à Manhattan, dans une demeure construite par Lilly Bliss au début du XXe siècle. Son studio est situé dans ce qui était autrefois le salon de musique de Lilly Bliss, grande mécène et cofondatrice du Museum of Modern Art (MoMA) de New York.
Invariablement minimaliste, Ferri définit ses trois « périodes » artistiques en quelques mots :
Néon. Sumo et papier. Néon, sa première période, lui a valu la reconnaissance dont il jouit aujourd’hui. Certaines de ses oeuvres utilisaient l’acier et le plexiglas, d’autres combinaient le néon avec la toile, avec l’eau et le sable, ou avec les bois précieux.
La période Néon, qui a pris fin en 1983, a été suivie de la période Sumo. Lors d’un voyage au
Japon avec Hubert de Givenchy et Audrey Hepburn, Issey Miyake avait invité le trio à un combat de sumo, avant d’obtenir pour Ferri l’autorisation de résider avec eux pendant un mois. D’où son inspiration.
La phase actuelle de Ferri est ce qu’il appelle à juste titre la période Papier. Avec des couleurs sombres, principalement le noir, il peint des portraits en retravaillant surtout à la peinture et à l’encre des photographies provenant de toutes sortes de sources, y compris de brochures et de catalogues de vente par correspondance. Les portraits sont figuratifs, ce qui n’est pas sans rappeler son oeuvre, inspirée par la nature, évoquant des arbres. Le résultat est… « anything but obvious ».
Andy Warhol, qui était un de ses meilleurs amis, a manifestement eu un impact sur l’oeuvre de Ferri. Amateur de l’utilisation que fait Matisse de la couleur, Ferri a collaboré avec l’artiste sur textile Sheila Hicks. Néanmoins, il demeure convaincu de n’avoir pas vraiment subi d’« influence ». Il suit son instinct, comme il l’a toujours fait.
L’oeuvre de Ferri est exposée dans les collections du Museum of Modern Art (MoMA) et du
Whitney Museum of American Art, à New York, du Smithsonian American Art Museum et de la National Gallery of Art, à Washington, du Philadelphia Museum of Art, de l’Art Institute de Chicago et du Musée d’art moderne de Saint-Etienne, en France.
Sa perception visuelle du quotidien lui confère une place à part. Pionnier dans l’utilisation de tubes de néon dans les années 1970, son travail fait des émules parmi les artistes inspirés par son travail visionnaire, très en avance sur son temps. Tant sur le plan créatif que conceptuel.
Ferri habite un appartement spacieux de l’Upper East Side à Manhattan, dans une demeure construite par Lilly Bliss au début du XXe siècle. Son studio est situé dans ce qui était autrefois le salon de musique de Lilly Bliss, grande mécène et cofondatrice du Museum of Modern Art (MoMA) de New York.
Invariablement minimaliste, Ferri définit ses trois « périodes » artistiques en quelques mots :
Néon. Sumo et papier. Néon, sa première période, lui a valu la reconnaissance dont il jouit aujourd’hui. Certaines de ses oeuvres utilisaient l’acier et le plexiglas, d’autres combinaient le néon avec la toile, avec l’eau et le sable, ou avec les bois précieux.
La période Néon, qui a pris fin en 1983, a été suivie de la période Sumo. Lors d’un voyage au
Japon avec Hubert de Givenchy et Audrey Hepburn, Issey Miyake avait invité le trio à un combat de sumo, avant d’obtenir pour Ferri l’autorisation de résider avec eux pendant un mois. D’où son inspiration.
La phase actuelle de Ferri est ce qu’il appelle à juste titre la période Papier. Avec des couleurs sombres, principalement le noir, il peint des portraits en retravaillant surtout à la peinture et à l’encre des photographies provenant de toutes sortes de sources, y compris de brochures et de catalogues de vente par correspondance. Les portraits sont figuratifs, ce qui n’est pas sans rappeler son oeuvre, inspirée par la nature, évoquant des arbres. Le résultat est… « anything but obvious ».
Andy Warhol, qui était un de ses meilleurs amis, a manifestement eu un impact sur l’oeuvre de Ferri. Amateur de l’utilisation que fait Matisse de la couleur, Ferri a collaboré avec l’artiste sur textile Sheila Hicks. Néanmoins, il demeure convaincu de n’avoir pas vraiment subi d’« influence ». Il suit son instinct, comme il l’a toujours fait.
L’oeuvre de Ferri est exposée dans les collections du Museum of Modern Art (MoMA) et du
Whitney Museum of American Art, à New York, du Smithsonian American Art Museum et de la National Gallery of Art, à Washington, du Philadelphia Museum of Art, de l’Art Institute de Chicago et du Musée d’art moderne de Saint-Etienne, en France.