Cette opération de mécénat exceptionnelle allie deux entités profondément attachées aux arts et à la découverte de nouveaux talents et de nouvelles créations.
D’une part, l’Opéra National de Paris -sous la direction de Monsieur Gerard Mortier- à la fois précurseur et gardien d’un patrimoine artistique extraordinaire et, d’autre part, Vacheron Constantin -sous l'impulsion de son directeur général monsieur Juan-Carlos Torres- entreprise à vocation artistique par ses créations, doté d’un patrimoine horloger exceptionnel de plus de 250 ans.
Comme le souligne M. Torres, « Vacheron Constantin a choisi l’Opéra National de Paris, car il représente pour nous, l’alter ego de notre marque. Nos deux entités ont traversé presque 300 ans d’histoire sans interruption ». Et puis il est vrai que l’opéra et l’horlogerie sont des univers proches, les deux sont des métiers d’art et les deux sont des mécaniques de précision. « Ce n’est pas un simple partenariat. C’est vrai, qu’il y a une part économique, mais il y a également une part culturelle. Le rapprochement entre Vacheron Constantin et l’Opéra National de Paris est naturel » conclut M. Torres.
D'une dimension impressionnante, 7 m de long, 2,50 m de haut, et un poids d’environ 2 tonnes, cette horloge est le symbole de la technique et du savoir-faire exceptionnel de Vacheron Constantin. Pour ceux qui n’ont pas la chance de fréquenter l’Opéra Bastille, n’ayez aucune crainte, l’horloge, située au rez-de-chaussée, est visible de l’extérieur.
D’une part, l’Opéra National de Paris -sous la direction de Monsieur Gerard Mortier- à la fois précurseur et gardien d’un patrimoine artistique extraordinaire et, d’autre part, Vacheron Constantin -sous l'impulsion de son directeur général monsieur Juan-Carlos Torres- entreprise à vocation artistique par ses créations, doté d’un patrimoine horloger exceptionnel de plus de 250 ans.
Comme le souligne M. Torres, « Vacheron Constantin a choisi l’Opéra National de Paris, car il représente pour nous, l’alter ego de notre marque. Nos deux entités ont traversé presque 300 ans d’histoire sans interruption ». Et puis il est vrai que l’opéra et l’horlogerie sont des univers proches, les deux sont des métiers d’art et les deux sont des mécaniques de précision. « Ce n’est pas un simple partenariat. C’est vrai, qu’il y a une part économique, mais il y a également une part culturelle. Le rapprochement entre Vacheron Constantin et l’Opéra National de Paris est naturel » conclut M. Torres.
D'une dimension impressionnante, 7 m de long, 2,50 m de haut, et un poids d’environ 2 tonnes, cette horloge est le symbole de la technique et du savoir-faire exceptionnel de Vacheron Constantin. Pour ceux qui n’ont pas la chance de fréquenter l’Opéra Bastille, n’ayez aucune crainte, l’horloge, située au rez-de-chaussée, est visible de l’extérieur.
Conçue par l’artiste-peintre conceptuel Ivan Moscatelli, cette horloge « Laudator Temporis » composée de 56 vitraux colorés soufflés bouche, a été réalisée par le maître-verrier Werner Weyhe de Lausanne. Elle représente de manière très colorée une carte du monde composée d’horloges affichant l’heure dans les principales villes de la planète : Paris, New York, Los Angeles, Moscou, Pekin, Rio de Janeiro...
Pour l'installation de cette oeuvre à l'entrée de l’Opéra Bastille, il aura fallu durant cinq jours, pas moins de cinq spécialistes venus tout spécialement de Suisse pour reconstituer de manière très minutieuse, le puzzle de cette horloge arrivée de Genève (en « pièces détachées » pour les besoins du transport)... Et pour ne pas perturber les répétitions des spectacles, son installation s’est faite de nuit, de 1h à 10h30 du matin.
Cette opération est à l’image de l’engagement de Vacheron Constantin dans le domaine culturel et son souhait de devenir mécène à part entière de l’Opéra National de Paris. A cette occasion, Vacheron Constantin soutient en particulier « Tosca » de Puccini dont la première a eu lieu le 24 octobre 2007 précisément le jour de l'inauguration de l'horloge.
Pour l'installation de cette oeuvre à l'entrée de l’Opéra Bastille, il aura fallu durant cinq jours, pas moins de cinq spécialistes venus tout spécialement de Suisse pour reconstituer de manière très minutieuse, le puzzle de cette horloge arrivée de Genève (en « pièces détachées » pour les besoins du transport)... Et pour ne pas perturber les répétitions des spectacles, son installation s’est faite de nuit, de 1h à 10h30 du matin.
Cette opération est à l’image de l’engagement de Vacheron Constantin dans le domaine culturel et son souhait de devenir mécène à part entière de l’Opéra National de Paris. A cette occasion, Vacheron Constantin soutient en particulier « Tosca » de Puccini dont la première a eu lieu le 24 octobre 2007 précisément le jour de l'inauguration de l'horloge.