Les premières montres de plongée (Blancpain et Rolex) arrivent sur le marché au milieu des années 50. Ces modèles ouvrent alors grand la porte de la production de garde-temps sportifs. Au début des années 60, la marque française ZRC (spécialisée dans la fabrication de bracelets-montres) se lance sur ce jeune marché ultra-porteur avec son modèle Grands Fonds 300. Elle sera la 5ème montre au monde à franchir le cap des 300 mètres de profondeur. Un exploit pour l’époque. Elle équipera de nombreux plongeurs civils et militaires (démineurs de l’armée française) mais également l’équipage de la fameuse Calypso du Commandant Cousteau ! On estime sa production à env. 8.000 pièces, c’est dire si cette montre est devenue un véritable collector.
Ce donc ce modèle que Georges et Charles Brunet, les deux frères aux commandes de la société ZRC relancent cette année. Au programme de cette version « Marine Nationale » Swiss Made : des aiguilles surdimensionnées et larges index Superluminova, la fameuse couronne à 6h, un mouvement ETA 2824, une lunette crantée unidirectionnelle, un remontoir à pas inversé et un bracelet « diver » ajustable automatiquement.
Afin d’entrer fièrement dans le 21ème siècle son diamètre passe de 36 à 40,5 mm (plus contemporain sans être trop grand) et se voit doté d’un verre saphir bombé antireflet. L’ajout de chanfreins sur l’ensemble boitier-bracelet la rend très agréable au porter. Derrière ce look résolument vintage se cache cependant une montre technique…
Par exemple, les plongeurs démineurs de la Marine Nationale se plaignaient de la cristallisation du sel dans les espaces entre la lunette et le boitier, bloquant ainsi sa rotation. Pour cette réédition, ZRC a mis au point et breveté une solution fonctionnelle. L’ECS (easy clean systeme) est né. Système unique de nettoyage de l’intérieur de la lunette par une circulation d’eau claire permettant la dilution et l’évacuation du sel de mer.
Autre point important : la mise à l’eau sans avoir revissé la couronne en position initiale est impossible. Non revissée, elle empêche en effet la remise en place du bracelet (CPS : crown protection system). Une méthode efficace pour éviter les oublis à l’origine de désagréments techniques.
Enfin, cette plongeuse est dotée d’un bracelet ajustable automatique lui permettant d’être portée par-dessus la combinaison de plongée. Ce système de ressort « noyé dans la masse » s’adapte automatiquement au diamètre du poignet et permet un confort de porter inégalable. Aucun réglage, les deux mailles de part et d’autre du boitier s’étendent pour s’adapter au nouveau diamètre ! A noter qu’il existe également une version sur bracelet cuir particulièrement attirante. Côté tarif, comptez de 2.490 à 3.390 euros pour la Marine Nationale.
Ce donc ce modèle que Georges et Charles Brunet, les deux frères aux commandes de la société ZRC relancent cette année. Au programme de cette version « Marine Nationale » Swiss Made : des aiguilles surdimensionnées et larges index Superluminova, la fameuse couronne à 6h, un mouvement ETA 2824, une lunette crantée unidirectionnelle, un remontoir à pas inversé et un bracelet « diver » ajustable automatiquement.
Afin d’entrer fièrement dans le 21ème siècle son diamètre passe de 36 à 40,5 mm (plus contemporain sans être trop grand) et se voit doté d’un verre saphir bombé antireflet. L’ajout de chanfreins sur l’ensemble boitier-bracelet la rend très agréable au porter. Derrière ce look résolument vintage se cache cependant une montre technique…
Par exemple, les plongeurs démineurs de la Marine Nationale se plaignaient de la cristallisation du sel dans les espaces entre la lunette et le boitier, bloquant ainsi sa rotation. Pour cette réédition, ZRC a mis au point et breveté une solution fonctionnelle. L’ECS (easy clean systeme) est né. Système unique de nettoyage de l’intérieur de la lunette par une circulation d’eau claire permettant la dilution et l’évacuation du sel de mer.
Autre point important : la mise à l’eau sans avoir revissé la couronne en position initiale est impossible. Non revissée, elle empêche en effet la remise en place du bracelet (CPS : crown protection system). Une méthode efficace pour éviter les oublis à l’origine de désagréments techniques.
Enfin, cette plongeuse est dotée d’un bracelet ajustable automatique lui permettant d’être portée par-dessus la combinaison de plongée. Ce système de ressort « noyé dans la masse » s’adapte automatiquement au diamètre du poignet et permet un confort de porter inégalable. Aucun réglage, les deux mailles de part et d’autre du boitier s’étendent pour s’adapter au nouveau diamètre ! A noter qu’il existe également une version sur bracelet cuir particulièrement attirante. Côté tarif, comptez de 2.490 à 3.390 euros pour la Marine Nationale.