Rappelons que la marque fut créée en 1910 à La Chaux-de-Fonds. A l’époque, avec son nom anglais qui faisait référence à l’aéronautique, elle avait déjà la volonté de s’exporter et d’incarner l’aviation, un univers en plein développement.
Dans ce contexte, ce montre d’aviateur s’avère tout à fait légitime au sein de la collection Renaissance d’Aérowatch. Il s’agit d’un garde-temps doté d’un boitier de 43 mm (il aurait même pu être un chouia plus grand) en acier satiné afin d’éviter les reflets dans le cockpit, associé à un cadran noir mat de type « flieger » très lisible.
Dans ce contexte, ce montre d’aviateur s’avère tout à fait légitime au sein de la collection Renaissance d’Aérowatch. Il s’agit d’un garde-temps doté d’un boitier de 43 mm (il aurait même pu être un chouia plus grand) en acier satiné afin d’éviter les reflets dans le cockpit, associé à un cadran noir mat de type « flieger » très lisible.
A noter les grandes aiguilles, les chiffres caractéristiques, la petite seconde à 6h et l’index en triangle à midi (Superluminova blanc) qui se retrouvent sur ce genre de modèles. Le tout protégé par un verre saphir bombé.
Ce garde-temps étanche à 50 mètres est résolument masculin ; il embarque le calibre mécanique à remontage manuel Unitas 6498-1 (18.000 alt-h) -un « tracteur » comme on dit dans le jargon horloger pour désigner un mouvement fiable et solide. L’ensemble se porte sur un bracelet en cuir de veau marron « vintage » avec boucle déployante. Compter 960 euros.
Ce garde-temps étanche à 50 mètres est résolument masculin ; il embarque le calibre mécanique à remontage manuel Unitas 6498-1 (18.000 alt-h) -un « tracteur » comme on dit dans le jargon horloger pour désigner un mouvement fiable et solide. L’ensemble se porte sur un bracelet en cuir de veau marron « vintage » avec boucle déployante. Compter 960 euros.