Alan Roura, 29 ans, c’est 27 années sur l’eau, dont déjà 9 en compétition (il participe à la Mini Transat à 20 ans seulement), deux tours du monde en solitaire et des milliers de milles nautiques au compteur.
La mer, c’est sa liberté ! Plus jeune finisher du Vendée Globe en 2016 et actuel détenteur du record de l’Atlantique Nord à la voile en solitaire, le navigateur suisse, qui a posé ses bottes et son ciré en Bretagne depuis 2012, a plus que jamais l’étrave pointée vers son prochain défi : devenir le premier étranger vainqueur du Vendée Globe.
À bord de l’Imoca 60 Hublot, il participera dans cet optique à l’ensemble des courses du calendrier des trois saisons à venir, avec notamment 4 transatlantiques au programme, avant de repartir pour un tour du monde en 2024. Une aventure humaine unique et un défi sportif au sommet dans lesquels il embarque la marque horlogère suisse, à bord d’un bateau à la technologie ultime, foiler futuriste de dernière génération au cockpit entièrement fermé.
Le Vendée Globe est la course à la voile la plus extrême. Tour du monde en solitaire, sans escales, sans assistance, ce véritable mythe du sport nautique, le Graal dont rêvent les marins, se tient tous les quatre ans depuis 1989.
Un tour du monde d’Ouest en Est par les trois caps (Bonne Espérance, Leeuwin et Horn), à travers quatre océans et les régions les plus hostiles du globe, et près de 25 000 milles nautiques. Trois ans de préparation pour trois mois seul en mer, affrontant les quarantièmes rugissants et les cinquantièmes hurlants, pour une histoire qu’Alan Roura va écrire avec Hublot à son bord.
Alan Roura est né sur l’eau ou presque. Les clapotis le bercent depuis ses 2 ans, âge auquel il emménage sur le bateau familial au port noir de Genève, sur le lac Léman, où à 6 ans il tire ses premiers bords en Optimist. Sur les mers et océans ensuite, de ses 8 à 19 ans, à la découverte du monde avec ses parents.
C’est à 15 ans qu’il s’initie à la régate, en Mini 6,50 et à 18 qu’il devient le plus jeune skipper à obtenir le brevet international de yachtmaster. À moins de 30 ans, il fêtera cette année ses dix ans de carrière, avec déjà plusieurs centaines de milliers de milles nautiques au compteur.
Comme tout navigateur, Alan a affronté les tempêtes et les avaries techniques. Il a démâté, il a pris l’eau, il s’est blessé, il a été contraint à l’abandon... Son parcours est semé d’embûches et de doutes, mais surtout de ténacité, de détermination, de succès et de rêves.
La mer, c’est sa liberté ! Plus jeune finisher du Vendée Globe en 2016 et actuel détenteur du record de l’Atlantique Nord à la voile en solitaire, le navigateur suisse, qui a posé ses bottes et son ciré en Bretagne depuis 2012, a plus que jamais l’étrave pointée vers son prochain défi : devenir le premier étranger vainqueur du Vendée Globe.
À bord de l’Imoca 60 Hublot, il participera dans cet optique à l’ensemble des courses du calendrier des trois saisons à venir, avec notamment 4 transatlantiques au programme, avant de repartir pour un tour du monde en 2024. Une aventure humaine unique et un défi sportif au sommet dans lesquels il embarque la marque horlogère suisse, à bord d’un bateau à la technologie ultime, foiler futuriste de dernière génération au cockpit entièrement fermé.
Le Vendée Globe est la course à la voile la plus extrême. Tour du monde en solitaire, sans escales, sans assistance, ce véritable mythe du sport nautique, le Graal dont rêvent les marins, se tient tous les quatre ans depuis 1989.
Un tour du monde d’Ouest en Est par les trois caps (Bonne Espérance, Leeuwin et Horn), à travers quatre océans et les régions les plus hostiles du globe, et près de 25 000 milles nautiques. Trois ans de préparation pour trois mois seul en mer, affrontant les quarantièmes rugissants et les cinquantièmes hurlants, pour une histoire qu’Alan Roura va écrire avec Hublot à son bord.
Alan Roura est né sur l’eau ou presque. Les clapotis le bercent depuis ses 2 ans, âge auquel il emménage sur le bateau familial au port noir de Genève, sur le lac Léman, où à 6 ans il tire ses premiers bords en Optimist. Sur les mers et océans ensuite, de ses 8 à 19 ans, à la découverte du monde avec ses parents.
C’est à 15 ans qu’il s’initie à la régate, en Mini 6,50 et à 18 qu’il devient le plus jeune skipper à obtenir le brevet international de yachtmaster. À moins de 30 ans, il fêtera cette année ses dix ans de carrière, avec déjà plusieurs centaines de milliers de milles nautiques au compteur.
Comme tout navigateur, Alan a affronté les tempêtes et les avaries techniques. Il a démâté, il a pris l’eau, il s’est blessé, il a été contraint à l’abandon... Son parcours est semé d’embûches et de doutes, mais surtout de ténacité, de détermination, de succès et de rêves.