Le calibre « bumper » d’Alpina produit dans les années 50 était assez révolutionnaire ; mais il ne fera « date » que chez les collectionneurs de montres anciennes… Plus concrètement, ce mouvement automatique ne possédait pas de rotor mais une masse battant à 120° ! D’où son surnom de « bumper ».
De part et d’autre de sa course, un petit ressort avait pour fonction de renvoyer la masse en sens opposé et donc de remonter le mouvement. Une idée simple et efficace mais qui s’est progressivement effacée au profit du rotor à 360° que l’on connait aujourd’hui.
De nos jours, les calibres « bumper » ne sont connus que de quelques férus d’horlogerie. On le trouvait d’ailleurs dans une montre ronde et non de forme coussin comme c’est le cas dans cette nouvelle version.
De part et d’autre de sa course, un petit ressort avait pour fonction de renvoyer la masse en sens opposé et donc de remonter le mouvement. Une idée simple et efficace mais qui s’est progressivement effacée au profit du rotor à 360° que l’on connait aujourd’hui.
De nos jours, les calibres « bumper » ne sont connus que de quelques férus d’horlogerie. On le trouvait d’ailleurs dans une montre ronde et non de forme coussin comme c’est le cas dans cette nouvelle version.
Fin 2021, Alpina s’inspirait de ce remontage pour le moins atypique pour concevoir son sixième mouvement Manufacture : le AL-709 qui reprenait une partie des codes de son ainé. On remarque le rotor reproduit dans l’esprit de celui des années 50.
La masse oscillante de cette Startimer et celle du « bumper » initial sont parentes, partageant la même géométrie, la même inspiration à deux détails près : la version d’époque tournait à 120° quand celle d’aujourd’hui effectue une rotation de 330°.
Quant aux ressorts de forme traditionnelle, initialement utilisés, ils ont été remplacés par une lame afin de gagner en amplitude de rotation.
Ce calibre de forme (les amateurs apprécieront) se laisse admirer à travers le fond transparent du boitier. Sa réserve de marche, standard, est de 38h.
La masse oscillante de cette Startimer et celle du « bumper » initial sont parentes, partageant la même géométrie, la même inspiration à deux détails près : la version d’époque tournait à 120° quand celle d’aujourd’hui effectue une rotation de 330°.
Quant aux ressorts de forme traditionnelle, initialement utilisés, ils ont été remplacés par une lame afin de gagner en amplitude de rotation.
Ce calibre de forme (les amateurs apprécieront) se laisse admirer à travers le fond transparent du boitier. Sa réserve de marche, standard, est de 38h.
Aujourd’hui, Alpina propose deux nouvelles éditions limitées qui viennent célébrer cette curiosité horlogère. Elles viennent compléter les deux références de Startimer Pilot Heritage Manufacture actuellement en collection, avec deux propositions esthétiques très différentes.
On retrouve bien évidemment le boîtier de forme coussin (le seule chez Alpina) avec sa carrure de 42 mm étanche à 100 mètres.
La première version, dans une boîte en or jaune plaqué, affiche un cadran gris qui offre une belle lisibilité de ses chiffres arabes appliqués et de ses aiguilles. Le boîtier est entièrement poli, sauf sur sa surface supérieure afin de rappeler le motif texturé du cadran.
La seconde s’habille d’un cadran bleu marine très tendance, également brossé, associé à une boîte en acier reprenant la même alternance de surfaces polies et brossées. Le cadran relativement sombre est couplé à des aiguilles argentées afin de préserver la lisibilité. Dans les deux cas, on retrouve des index luminescents beige « vintage ». A découvrir chez Emile Leon à Paris.
On retrouve bien évidemment le boîtier de forme coussin (le seule chez Alpina) avec sa carrure de 42 mm étanche à 100 mètres.
La première version, dans une boîte en or jaune plaqué, affiche un cadran gris qui offre une belle lisibilité de ses chiffres arabes appliqués et de ses aiguilles. Le boîtier est entièrement poli, sauf sur sa surface supérieure afin de rappeler le motif texturé du cadran.
La seconde s’habille d’un cadran bleu marine très tendance, également brossé, associé à une boîte en acier reprenant la même alternance de surfaces polies et brossées. Le cadran relativement sombre est couplé à des aiguilles argentées afin de préserver la lisibilité. Dans les deux cas, on retrouve des index luminescents beige « vintage ». A découvrir chez Emile Leon à Paris.