Quand on parle régulateur en horlogerie dans l’entrée de gamme, on pense immédiatement à Louis Erard et Alpina.
Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision.
Une quête qui débuta en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision.
Une quête qui débuta en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Depuis, la plupart des marques horlogères proposent leur régulateur… Pour autant, il faut savoir que cette complication fut remise véritablement au goût du jour et popularisée il y a une quinzaine d’années avec l’Alpina Extrem Régulateur (voir photo en bas d'article ; la toute première version de 2005, nettement plus consensuelle que l'Extrem ne fit pas battre les coeurs) qui relança ce concept auprès des amateurs de montres.
Ce modèle fit un véritable « carton » sur le marché à l’époque (acier, acier PVD noir ou PVD or rose), notamment en France où la marque gagna en popularité grâce à ce garde-temps qui se vendit comme « des petits pains » et qui était « sold out » chez pratiquement tous les détaillants de France (chez Colette par exemple) et de Navarre. Il y eut même une version tourbillon en or gris et quelques modèles féminins.
Aujourd’hui donc, Alpina introduit à nouveau le régulateur au sein de son catalogue. Enfin, diront les amateurs…
Si ce régulateur nouvelle génération de 45 mm est l’héritier de l’Avalanche Extrem, il s’avère tout de même bien différent, plus consensuel et moins sportif. Le fait est que le boîtier a été profondément modifié passant du « coussin » au rond.
Ce modèle fit un véritable « carton » sur le marché à l’époque (acier, acier PVD noir ou PVD or rose), notamment en France où la marque gagna en popularité grâce à ce garde-temps qui se vendit comme « des petits pains » et qui était « sold out » chez pratiquement tous les détaillants de France (chez Colette par exemple) et de Navarre. Il y eut même une version tourbillon en or gris et quelques modèles féminins.
Aujourd’hui donc, Alpina introduit à nouveau le régulateur au sein de son catalogue. Enfin, diront les amateurs…
Si ce régulateur nouvelle génération de 45 mm est l’héritier de l’Avalanche Extrem, il s’avère tout de même bien différent, plus consensuel et moins sportif. Le fait est que le boîtier a été profondément modifié passant du « coussin » au rond.
Le cadran arbore désormais une décoration côtes de Genève. il était "quadrillé" sur l'Extrem. Les index bâtons ont été remplacés par des index à section triangulaire, comme un écho au logo Alpina. Ils sont recouverts de matière luminescente sur toute leur longueur, pour améliorer leur lisibilité.
La configuration de ce régulateur est similaire à celle de 2006 avec l’aiguille des minutes, le compteur des heures à 10h et la petite seconde à 6h. Toutes sont luminescentes.
Pour ce grand retour, l’Alpiner Regulator Automatic comporte quatre références : deux cadrans bleus, deux cadrans noirs, portés respectivement sur un bracelet en veau brun ou noir, ou en acier. Une série limitée parée d’un cadran bleu avec aiguilles rouges (clairement la plus belle) sur un bracelet en veau noir, surpiqué de rouge comme ses aiguilles est proposée à seulement 883 pièces.
Côté mouvement, chaque pièce est animée du calibre automatique AL-650, doté de 38h de réserve de marche et cadencé à 28'800 alt./h -versus un calibre Unitas à remontage manuel pour la version originelle.
Un modèle chic, sportif et horloger à la fois qui devrait séduire (espérons-le, car le régulateur est toujours difficile à vendre) les amoureux de belles montres. Nettement plus belle sur bracelet cuir. Et toujours d’un excellent rapport qualité-prix. A découvrir chez Emile Léon à Paris.
La configuration de ce régulateur est similaire à celle de 2006 avec l’aiguille des minutes, le compteur des heures à 10h et la petite seconde à 6h. Toutes sont luminescentes.
Pour ce grand retour, l’Alpiner Regulator Automatic comporte quatre références : deux cadrans bleus, deux cadrans noirs, portés respectivement sur un bracelet en veau brun ou noir, ou en acier. Une série limitée parée d’un cadran bleu avec aiguilles rouges (clairement la plus belle) sur un bracelet en veau noir, surpiqué de rouge comme ses aiguilles est proposée à seulement 883 pièces.
Côté mouvement, chaque pièce est animée du calibre automatique AL-650, doté de 38h de réserve de marche et cadencé à 28'800 alt./h -versus un calibre Unitas à remontage manuel pour la version originelle.
Un modèle chic, sportif et horloger à la fois qui devrait séduire (espérons-le, car le régulateur est toujours difficile à vendre) les amoureux de belles montres. Nettement plus belle sur bracelet cuir. Et toujours d’un excellent rapport qualité-prix. A découvrir chez Emile Léon à Paris.
