Pour sa 3ème participation à cette course mythique autour du monde en solitaire et en monocoque, le skipper de Banque Populaire VIII, a réalisé une formidable performance sportive en s’imposant et en imposant un nouveau temps de référence : 74 jours 03 heures 35 mn et 46 s (soit 3 jours 22h et 41 mn de moins que François Gabart en 2013).
Sa vitesse moyenne sur le parcours théorique de 24.500 milles s’est élevée à 13,77 nœuds (en gros 25 km/h). Mais Armel a en réalité parcouru 27.455 milles sur l’eau à la vitesse moyenne de 15,43 nœuds. Deux fois deuxième sur l’Everest des mers (2008 et 2012), le Breton de 39 ans, natif de Saint-Pol-de-Léon, a enfin décroché le Graal !
Armel Le Cléac’h réalise enfin son rêve en remportant une victoire dans ce tour du monde en solitaire, après en avoir été le dauphin de Michel Desjoyeaux en 2008-2009, puis celui de François Gabart en 2012-2013. En mai 2016, c'est déjà avec sa Ralf Tech WRX qu'Armel Le Cléac'h avait remporté The Transat (la Transat Anglaise) dans la catégorie IMOCA, à la barre de son monocoque à foils Banque Populaire VIII. « C'est un outil exceptionnel et c'est une montre qui porte chance ! » avait-il dit à l’époque.
Pour cette course, le marin breton portait une Ralf Tech WRX Hybrid Pirate Shadow.
Sa vitesse moyenne sur le parcours théorique de 24.500 milles s’est élevée à 13,77 nœuds (en gros 25 km/h). Mais Armel a en réalité parcouru 27.455 milles sur l’eau à la vitesse moyenne de 15,43 nœuds. Deux fois deuxième sur l’Everest des mers (2008 et 2012), le Breton de 39 ans, natif de Saint-Pol-de-Léon, a enfin décroché le Graal !
Armel Le Cléac’h réalise enfin son rêve en remportant une victoire dans ce tour du monde en solitaire, après en avoir été le dauphin de Michel Desjoyeaux en 2008-2009, puis celui de François Gabart en 2012-2013. En mai 2016, c'est déjà avec sa Ralf Tech WRX qu'Armel Le Cléac'h avait remporté The Transat (la Transat Anglaise) dans la catégorie IMOCA, à la barre de son monocoque à foils Banque Populaire VIII. « C'est un outil exceptionnel et c'est une montre qui porte chance ! » avait-il dit à l’époque.
Pour cette course, le marin breton portait une Ralf Tech WRX Hybrid Pirate Shadow.