Le fondateur de la marque horlogère suisse Armin Strom, rêvait d’une montre de type « squelette » entièrement manufacturée. Eh bien son rêve est devenu réalité avec le modèle One Week Skeleton.
Ce garde-temps de très belle facture (avec aiguilles décentrées), reprend les traits qui ont fait les lettres de noblesses et la renommée du maître horloger de Burgdorf. C’est ainsi que les ressorts de barillets sont visibles au travers des roues de remontage. L’aiguille de petite seconde bleuie et les découpes de pont rentrent en résonance avec les créations passées.
« Une pièce qui s’affirmera comme une évidence pour les collectionneurs en quête de l’esprit manufacture » a déclaré à cette occasion Serge Michel, propriétaire de la marque.
Rappelons que la maison Armin Strom a été créée par Armin Strom, il y quarante ans. En tant que maître horloger dans l’art du squelettage, son style unique en matière de design lui a permis d’imaginer des produits à l’aspect squeletté, qui mettent en valeur le mouvement –dont les finitions sont réalisées à la main– d’une montre « trop belle pour rester cachée derrière un cadran et un fond de boîtier en métal ».
Ce style horloger reste aujourd’hui l’un des piliers de la philosophie de la société.
Ce garde-temps de très belle facture (avec aiguilles décentrées), reprend les traits qui ont fait les lettres de noblesses et la renommée du maître horloger de Burgdorf. C’est ainsi que les ressorts de barillets sont visibles au travers des roues de remontage. L’aiguille de petite seconde bleuie et les découpes de pont rentrent en résonance avec les créations passées.
« Une pièce qui s’affirmera comme une évidence pour les collectionneurs en quête de l’esprit manufacture » a déclaré à cette occasion Serge Michel, propriétaire de la marque.
Rappelons que la maison Armin Strom a été créée par Armin Strom, il y quarante ans. En tant que maître horloger dans l’art du squelettage, son style unique en matière de design lui a permis d’imaginer des produits à l’aspect squeletté, qui mettent en valeur le mouvement –dont les finitions sont réalisées à la main– d’une montre « trop belle pour rester cachée derrière un cadran et un fond de boîtier en métal ».
Ce style horloger reste aujourd’hui l’un des piliers de la philosophie de la société.