« Plus jeune, je n’avais aucune confiance en moi et souffrais de surcroît d’une hypersensibilité aux bruits. C’est à sept ans, lorsque mes parents m’ont emmené dans les calanques autour de Marseille
que, équipé d’un masque et d’un tuba, j’ai ouvert les yeux sous l’eau pour la toute première fois" concède Arnaud Jerald.
"Ce qui me faisait peur alors n’était pas de manquer d’air, mais de découvrir soudain autant de liberté ! Je me suis senti fort. Sous l’eau, c’était comme si je pouvais voler, en totale apesanteur... C’est à ce moment précis que j’ai décidé de devenir apnéiste professionnel ! ».
Une décision qui a évidemment été payante. À 25 ans, Arnaud Jerald détient déjà non pas un, mais
deux records mondiaux d’apnée, grâce à sa dernière descente à 112 mètres de profondeur en Grèce en
2020. Rappelons qu’au-delà de 100 mètres, chaque centimètre de notre corps est soumis à 11 kilos de pression.
que, équipé d’un masque et d’un tuba, j’ai ouvert les yeux sous l’eau pour la toute première fois" concède Arnaud Jerald.
"Ce qui me faisait peur alors n’était pas de manquer d’air, mais de découvrir soudain autant de liberté ! Je me suis senti fort. Sous l’eau, c’était comme si je pouvais voler, en totale apesanteur... C’est à ce moment précis que j’ai décidé de devenir apnéiste professionnel ! ».
Une décision qui a évidemment été payante. À 25 ans, Arnaud Jerald détient déjà non pas un, mais
deux records mondiaux d’apnée, grâce à sa dernière descente à 112 mètres de profondeur en Grèce en
2020. Rappelons qu’au-delà de 100 mètres, chaque centimètre de notre corps est soumis à 11 kilos de pression.
L’endurance physique est vitale. L’impressionnante faculté d’Arnaud de moduler sa capacité pulmonaire grâce à d’incroyables contorsions abdominales ne constitue cependant qu’un aspect du processus de plongée.
« On doit repousser ses propres limites corporelles, mais l’apnée est à 80% une question de mental »
affirme Arnaud Jerald. Ce qui pourrait passer pour paradoxal aux yeux des autres lui semble aller
de soi. Au point zéro, seul le contrôle suprême autorise le lâcher prise, l’abandon total et permet de
maîtriser l’adrénaline. « Face aux éléments, la peur nous rend humbles. Nous devons accepter et gérer les risques. »
Naturellement, Arnaud est fier d’avoir battu deux records mondiaux sans jamais compromettre sa sécurité. Et ses impressionnants exploits sur le plan physique ne doivent pas faire oublier son regard esthétique, dont témoignent ses photographies et films magnifiques.
« On doit repousser ses propres limites corporelles, mais l’apnée est à 80% une question de mental »
affirme Arnaud Jerald. Ce qui pourrait passer pour paradoxal aux yeux des autres lui semble aller
de soi. Au point zéro, seul le contrôle suprême autorise le lâcher prise, l’abandon total et permet de
maîtriser l’adrénaline. « Face aux éléments, la peur nous rend humbles. Nous devons accepter et gérer les risques. »
Naturellement, Arnaud est fier d’avoir battu deux records mondiaux sans jamais compromettre sa sécurité. Et ses impressionnants exploits sur le plan physique ne doivent pas faire oublier son regard esthétique, dont témoignent ses photographies et films magnifiques.
« Je cherche à illustrer par des images ce que je vis en plongée. Tout ce qui m’environne sous l’eau se décline dans de mouvantes nuances de bleu. C’est pour moi le seul endroit sur Terre où l’on peut ressentir une telle sensation d’infini ».
Plusieurs marques s’étaient déjà manifestées auprès d’Arnaud, mais il a préféré contacter de lui-même
Richard Mille. « Dès que j’ai vu la RM 032, j’ai su qu’elle serait la montre idéale pour moi et j’ai décidé de solliciter la marque ».
Loin de lui l’idée de ne la porter qu’une fois remonté à la surface – ce n’est pas le style du jeune homme. « Je vis le temps différemment et sous l’eau, une minute semble durer une journée entière. Ma montre est pour moi un véritable outil sur lequel je dois pouvoir compter tout au long de l’immersion ».
Plusieurs marques s’étaient déjà manifestées auprès d’Arnaud, mais il a préféré contacter de lui-même
Richard Mille. « Dès que j’ai vu la RM 032, j’ai su qu’elle serait la montre idéale pour moi et j’ai décidé de solliciter la marque ».
Loin de lui l’idée de ne la porter qu’une fois remonté à la surface – ce n’est pas le style du jeune homme. « Je vis le temps différemment et sous l’eau, une minute semble durer une journée entière. Ma montre est pour moi un véritable outil sur lequel je dois pouvoir compter tout au long de l’immersion ».
Conçue pour la plongée en eaux profondes, la montre RM 032 est un chronographe flyback automatique doté d’un indicateur de marche situé à 3h. Le calibre RMAC2 est protégé par un grand boîtier mesurant 50 x 17,80 mm, étanche à 300 mètres (30 atmosphères). La lunette tournante unidirectionnelle conforme à la norme ISO 6425 qui l’équipe permet d’écarter toute erreur de calcul pendant la plongée.
« Lors d’une descente en apnée, on emporte très peu de chose : un pince-nez et des palmes, c’est tout. Désormais, ma montre m’accompagnera également dans mes aventures. En matière d’exploit sportif, c’est le nombre de mètres qui compte, mais en ce qui concerne ma sécurité, c’est ma montre qui est essentielle. C’est pour cela que la RM 032 est pour moi un outil indispensable. En tant qu’apnéiste, elle n’est pas là pour faire joli, je la porte car j’ai confiance en elle ».
« Lors d’une descente en apnée, on emporte très peu de chose : un pince-nez et des palmes, c’est tout. Désormais, ma montre m’accompagnera également dans mes aventures. En matière d’exploit sportif, c’est le nombre de mètres qui compte, mais en ce qui concerne ma sécurité, c’est ma montre qui est essentielle. C’est pour cela que la RM 032 est pour moi un outil indispensable. En tant qu’apnéiste, elle n’est pas là pour faire joli, je la porte car j’ai confiance en elle ».