Ce supporter anglais n’imaginait sûrement pas récupérer son chronographe Breitling un jour. Et pourtant, miracle !
En effet, dix semaines après les attaques de supporters au stade de France (on remarque que la presse préfère le terme « d’incidents ») lors de la finale de la Ligue des Champions, l’un d’entre eux peut enfin repasser sa Breitling au poignet ; un chrono Chronomat en or et acier.
Pour rappel, cette montre avait été volée le soir de la final dans le chaos qui régnait alors aux alentours du Stade de France. Elle figurait parmi la liste d’objets non identifiés jetés par l’une des racailles au moment de son interpellation par les policiers.
« Dans une des procédures du soir de la finale, un certain nombre d’objets manifestement volés avaient été saisis. Les investigations de la cellule ont permis d’identifier le propriétaire anglais d’une montre de luxe », a relaté sur Twitter le procureur de la République de Bobigny, Eric Mathais.
Et de préciser : « Des échanges ont eu lieu avec lui (ndlr : le supporter) et il a pu, à l’occasion d’un voyage en France, venir récupérer sa montre au tribunal de Bobigny mardi ». Le procureur s’est naturellement félicité de ce premier résultat concret.
Reste à savoir combien de supporters vont retrouver leurs biens dans les semaines à venir ? Sans compter, bien évidemment l’image déplorable de la France et de Paris a deux ans des Jeux Olympiques et des agressions qui continuent par ailleurs à toucher les touristes et les porteurs de montres de luxe dans la capitale mais également dans les villes balnéaires…
L'enquête pour "vols", "vols aggravés" et "violences aggravées" menée par le commissariat de Saint-Denis est toujours en cours et mobilise douze policiers. Dans ce dossier, quelque 240 plaintes ont été reçues.
En effet, dix semaines après les attaques de supporters au stade de France (on remarque que la presse préfère le terme « d’incidents ») lors de la finale de la Ligue des Champions, l’un d’entre eux peut enfin repasser sa Breitling au poignet ; un chrono Chronomat en or et acier.
Pour rappel, cette montre avait été volée le soir de la final dans le chaos qui régnait alors aux alentours du Stade de France. Elle figurait parmi la liste d’objets non identifiés jetés par l’une des racailles au moment de son interpellation par les policiers.
« Dans une des procédures du soir de la finale, un certain nombre d’objets manifestement volés avaient été saisis. Les investigations de la cellule ont permis d’identifier le propriétaire anglais d’une montre de luxe », a relaté sur Twitter le procureur de la République de Bobigny, Eric Mathais.
Et de préciser : « Des échanges ont eu lieu avec lui (ndlr : le supporter) et il a pu, à l’occasion d’un voyage en France, venir récupérer sa montre au tribunal de Bobigny mardi ». Le procureur s’est naturellement félicité de ce premier résultat concret.
Reste à savoir combien de supporters vont retrouver leurs biens dans les semaines à venir ? Sans compter, bien évidemment l’image déplorable de la France et de Paris a deux ans des Jeux Olympiques et des agressions qui continuent par ailleurs à toucher les touristes et les porteurs de montres de luxe dans la capitale mais également dans les villes balnéaires…
L'enquête pour "vols", "vols aggravés" et "violences aggravées" menée par le commissariat de Saint-Denis est toujours en cours et mobilise douze policiers. Dans ce dossier, quelque 240 plaintes ont été reçues.