Avant d’aller plus loin, rappelons qu’Audemars Piguet lança sa première « Philosophique » à remontage manuel en 1982. Ce modèle invitait alors, les amateurs de montres à interroger la notion de temps qui passe. Il renvoyait aux prémices des instruments de mesure du temps qui, jusqu’à la fin du XVIIIe , étaient équipés d’une seule aiguille afin de faciliter la transmission d’énergie.
Ce nouveau modèle dans la collection actuelle à remontage manuel est équipé d’un mouvement automatique, calibre 3140 (50h de réserve de marche). Doté d’un mécanisme breveté, il scande les battements de l’aiguille et décrit une trajectoire elliptique autour du cadran.
La roue des heures entraîne un disque transparent sur le cadran auquel est fixée l’aiguille, ce qui lui permet de suivre une trajectoire parfaite malgré la forme elliptique de la boîte. Intéressant. Le fond transparent révèle la masse oscillante dont les platines colorées font écho au cadran micro-martelé à la main dans des teintes de brun ou de bleu. La mono-aiguille est polie et microbillée.
Ce nouveau modèle dans la collection actuelle à remontage manuel est équipé d’un mouvement automatique, calibre 3140 (50h de réserve de marche). Doté d’un mécanisme breveté, il scande les battements de l’aiguille et décrit une trajectoire elliptique autour du cadran.
La roue des heures entraîne un disque transparent sur le cadran auquel est fixée l’aiguille, ce qui lui permet de suivre une trajectoire parfaite malgré la forme elliptique de la boîte. Intéressant. Le fond transparent révèle la masse oscillante dont les platines colorées font écho au cadran micro-martelé à la main dans des teintes de brun ou de bleu. La mono-aiguille est polie et microbillée.
La boîte en or rose ou gris alterne satinage et Frosted Gold (39,5 x 35,4 mm), technique empruntée à la créatrice de bijoux florentine Carolina Bucci. L’effet « poussière de diamant » qui en résulte, fruit d’un procédé méticuleux de micro-martelage, contraste avec les chanfreins polis à la main qui agrémentent la boîte et les cornes.
La Millenary Frosted Gold Aventurine, dont le bleu profond du cadran et du compteur des secondes rappelle un ciel étoilé. Le verre aventuriné est né au XVIIe siècle dans une fabrique de verre sur l’île de Murano, lors d’un heureux accident (« all’avventura »). Des limailles de cuivre tombées dans le verre en fusion créèrent alors une constellation de particules étincelantes.
Aujourd’hui, ce verre est fabriqué grâce à l’introduction de cuivre oxydé et de cobalt, ce qui lui confère sa couleur bleu nuit. Ces particules célestes sont incrustées dans la boîte en or rose 18 carats et rehaussées de la finition Frosted Gold sur les côtés de la boîte, la lunette, le rehaut et les cornes.
Depuis 2015, la Millenary se décline exclusivement au féminin avec des modèles décalés et multidimensionnels habillés d’une variété de matériaux et de finitions : chanfreins polis, satinage et Frosted Gold.
La Millenary Frosted Gold Aventurine, dont le bleu profond du cadran et du compteur des secondes rappelle un ciel étoilé. Le verre aventuriné est né au XVIIe siècle dans une fabrique de verre sur l’île de Murano, lors d’un heureux accident (« all’avventura »). Des limailles de cuivre tombées dans le verre en fusion créèrent alors une constellation de particules étincelantes.
Aujourd’hui, ce verre est fabriqué grâce à l’introduction de cuivre oxydé et de cobalt, ce qui lui confère sa couleur bleu nuit. Ces particules célestes sont incrustées dans la boîte en or rose 18 carats et rehaussées de la finition Frosted Gold sur les côtés de la boîte, la lunette, le rehaut et les cornes.
Depuis 2015, la Millenary se décline exclusivement au féminin avec des modèles décalés et multidimensionnels habillés d’une variété de matériaux et de finitions : chanfreins polis, satinage et Frosted Gold.