Lors qu’AP a présenté sa Royal Oak Frosted Gold l’année dernière, de nombreux hommes se disaient qu’eux aussi porteraient bien une montre de ce style… D’ailleurs François-Henry Benhamias en portait déjà une en or rose dans un diamètre de 41 mm. Ce qui avait mis la puce à l’oreille des nombreux journalistes présents lors de cette présentation presse.
Un an plus tard, la manufacture du Brassus vient effectivement de présenter un modèle pour homme, non pas en or rose, mais en or blanc. Produite en 200 exemplaires, cette montre est dotée d'un bracelet et d'une boîte en or blanc, d'une glace et d'un fond saphir avec traitement antireflet, d'un cadran bleu à motif « Grande Tapisserie » ainsi que d'aiguilles Royal Oak à revêtement luminescent.
Un an plus tard, la manufacture du Brassus vient effectivement de présenter un modèle pour homme, non pas en or rose, mais en or blanc. Produite en 200 exemplaires, cette montre est dotée d'un bracelet et d'une boîte en or blanc, d'une glace et d'un fond saphir avec traitement antireflet, d'un cadran bleu à motif « Grande Tapisserie » ainsi que d'aiguilles Royal Oak à revêtement luminescent.
Elle se pare dans cette version, tout comme son pendant féminin, d'une texture scintillante, obtenue grâce à une technique traditionnelle florentine, développée pour sublimer les métaux précieux, notamment les bijoux de petite taille.
Dans la pratique, le procédé consiste à marteler l’or à l’aide d’un outil muni d’une pointe en diamant, ce qui permet de créer de petites marques sur la surface du métal et d’obtenir un scintillement similaire à celui des pierres précieuses ou à de la poussière de diamants.
Pour les artisans d’Audemars Piguet, le défi fut d’adapter cette technique de finition à l’ensemble de la boîte et du bracelet de la Royal Oak, sans altérer les caractéristiques classiques de son design iconique. Il a également fallu repenser l’ordre d’exécution des autres finitions (polissage et satinage) en raison de l’arrangement des maillons du bracelet de la Royal Oak par ordre décroissant.
Dans la pratique, le procédé consiste à marteler l’or à l’aide d’un outil muni d’une pointe en diamant, ce qui permet de créer de petites marques sur la surface du métal et d’obtenir un scintillement similaire à celui des pierres précieuses ou à de la poussière de diamants.
Pour les artisans d’Audemars Piguet, le défi fut d’adapter cette technique de finition à l’ensemble de la boîte et du bracelet de la Royal Oak, sans altérer les caractéristiques classiques de son design iconique. Il a également fallu repenser l’ordre d’exécution des autres finitions (polissage et satinage) en raison de l’arrangement des maillons du bracelet de la Royal Oak par ordre décroissant.