De nos jours, les montres massives sont nombreuses. Pratiquement toutes les marques proposent des modèles dépassant les 42 mm ! En revanche, en 1993, une montre de cette taille était une véritable révolution ! Un challenge ! Même pour la manufacture du Brassus, qui, comme en 1972 avec sa Royal Oak, révolutionna l’univers de la montre sportive avec l’arrivée de cette pièce étonnante à l’époque.
Aujourd’hui, une montre de cette taille n’a plus rien d’exceptionnel. En revanche, ce qui reste exceptionnel, c’est cette formidable longévité, ce succès qui en vingt ans ne s’est jamais démenti… Peu de montres peuvent se targuer d’un tel enthousiasme et d’une telle passion… Incontestablement, la Royal Oak Offshore en fait partie. Par contre, comme toutes les montres mythiques, il est toujours délicat de toucher au design d’un tel modèle sans prendre le risque de décevoir la clientèle de passionnés…
Audemars Piguet et son directeur de la création Octavio Garcia, se sont particulièrement bien tirés de cet exercice de style plutôt ardu. Ces six nouvelles références de ROOS sont particulièrement réussies (la bleu Navy et la Safari Vintage sont splendides de même que le modèle en or rose). Le lifting qu’elles ont subi est quasiment imperceptible et pourtant, certaines avancées sont majeures et font entrer ce modèle dans une nouvelle ère !
Si les tous premiers modèles de Royal Oak Offshore étaient en acier, en or ou en platine, les matériaux high-tech ne tardèrent pas à faire leur apparition, conformément à la célèbre approche avant-gardiste d’Audemars Piguet. Le titane apparut très tôt (allégeant notablement ce modèle massif dans sa version en acier) suivi, dans les années 2000, par le carbone forgé, la céramique, le cermet et le caoutchouc.
Aujourd’hui, une montre de cette taille n’a plus rien d’exceptionnel. En revanche, ce qui reste exceptionnel, c’est cette formidable longévité, ce succès qui en vingt ans ne s’est jamais démenti… Peu de montres peuvent se targuer d’un tel enthousiasme et d’une telle passion… Incontestablement, la Royal Oak Offshore en fait partie. Par contre, comme toutes les montres mythiques, il est toujours délicat de toucher au design d’un tel modèle sans prendre le risque de décevoir la clientèle de passionnés…
Audemars Piguet et son directeur de la création Octavio Garcia, se sont particulièrement bien tirés de cet exercice de style plutôt ardu. Ces six nouvelles références de ROOS sont particulièrement réussies (la bleu Navy et la Safari Vintage sont splendides de même que le modèle en or rose). Le lifting qu’elles ont subi est quasiment imperceptible et pourtant, certaines avancées sont majeures et font entrer ce modèle dans une nouvelle ère !
Si les tous premiers modèles de Royal Oak Offshore étaient en acier, en or ou en platine, les matériaux high-tech ne tardèrent pas à faire leur apparition, conformément à la célèbre approche avant-gardiste d’Audemars Piguet. Le titane apparut très tôt (allégeant notablement ce modèle massif dans sa version en acier) suivi, dans les années 2000, par le carbone forgé, la céramique, le cermet et le caoutchouc.
Toutefois sous une apparence extérieure révolutionnaire, la Royal Oak Offshore est demeurée mécaniquement traditionnelle, comme il se doit de la part d’une « Maison » qui accumule autant d’années de savoir-faire qu’Audemars Piguet.
Fabriquée dans la Vallée de Joux par une entreprise horlogère historique, la dernière à être détenue par les familles fondatrices, elle respecte tous les critères de la Haute Horlogerie. Un « must » pour une montre sportive ! Ses mouvements (automatiques) sont assemblés et décorés à la main, y compris ceux qui ne sont pas visibles à travers un fond saphir.
Parmi les nombreuses éditions limitées de la Royal Oak Offshore, près de la moitié évoque l’univers du sport, de l’automobile (avec les séries limitées Tour Auto) en particulier, les autres faisant l’objet de commémorations nationales ou de séries spéciales boutiques (Ginza, Madrid, New York, etc).
La collection Chronographes Royal Oak Offshore 26470 de 2014 conserve la taille « démesurée » de 42 mm de diamètre (qui tombe cependant très bien sur la plupart des poignets) adoptée en 1993 pour succéder aux modèles 26170 qui subissent quelques modifications pour la première fois de leur existence. L’évolution de ces montres révolutionnaires est incarnée par des pièces, en acier ou en or rose, qui se caractérisent par une esthétique sculpturale plus technique comme on peut le voir essentiellement dans le design des couronne, protège-couronne et poussoirs. Sur la couronne et les poussoirs redimensionnés pour plus de modernité, la céramique noire remplace le caoutchouc (premier changement notable).
Fabriquée dans la Vallée de Joux par une entreprise horlogère historique, la dernière à être détenue par les familles fondatrices, elle respecte tous les critères de la Haute Horlogerie. Un « must » pour une montre sportive ! Ses mouvements (automatiques) sont assemblés et décorés à la main, y compris ceux qui ne sont pas visibles à travers un fond saphir.
Parmi les nombreuses éditions limitées de la Royal Oak Offshore, près de la moitié évoque l’univers du sport, de l’automobile (avec les séries limitées Tour Auto) en particulier, les autres faisant l’objet de commémorations nationales ou de séries spéciales boutiques (Ginza, Madrid, New York, etc).
La collection Chronographes Royal Oak Offshore 26470 de 2014 conserve la taille « démesurée » de 42 mm de diamètre (qui tombe cependant très bien sur la plupart des poignets) adoptée en 1993 pour succéder aux modèles 26170 qui subissent quelques modifications pour la première fois de leur existence. L’évolution de ces montres révolutionnaires est incarnée par des pièces, en acier ou en or rose, qui se caractérisent par une esthétique sculpturale plus technique comme on peut le voir essentiellement dans le design des couronne, protège-couronne et poussoirs. Sur la couronne et les poussoirs redimensionnés pour plus de modernité, la céramique noire remplace le caoutchouc (premier changement notable).
La lunette polie et satinée, en acier ou en or rose, est fixée par huit vis à têtes hexagonales en acier poli -l’audacieuse signature est indissociable de la collection Royal Oak Offshore. Les cadrans sont ornés du motif « Méga Tapisserie », typique de la collection Royal Oak Offshore. Les chiffres (plus fins qu’auparavant) plus sculpturaux et plus raffinés apportent une touche technique supplémentaire.
Le cadran est rendu plus lumineux grâce à de nouvelles aiguilles facettées et à des filets décoratifs polis autour des index, des compteurs et du guichet dateur (chiffres et aiguilles, deuxième changement notable).
De la matière luminescente facilite la lecture des indications. Les initiales et le logo d’Audemars Piguet apparaissent en blanc sur un cartouche en or blanc ou rose, posé en applique. Par souci d’harmonisation complète, la couleur du disque de la date est assortie à celle du cadran.
Les modèles 26470 en acier ou en or se présentent sur des bracelets en caoutchouc ou en alligator plus effilés, fermés par une nouvelle boucle ardillon. Ils sont plus chaleureux et plus confortables.
Enfin, « last but not least », on peut désormais admirer une masse oscillante en or 22 carats gravée à travers un fond saphir (troisième changement notable), une fenêtre ouverte sur 139 ans de culture horlogère qui n’a existé auparavant que sur certaines séries limitées. L’année 2014 sera donc celle de la Royal Oak Offshore, qui affiche au compteur, plus de 150 variantes en vingt ans.
Le cadran est rendu plus lumineux grâce à de nouvelles aiguilles facettées et à des filets décoratifs polis autour des index, des compteurs et du guichet dateur (chiffres et aiguilles, deuxième changement notable).
De la matière luminescente facilite la lecture des indications. Les initiales et le logo d’Audemars Piguet apparaissent en blanc sur un cartouche en or blanc ou rose, posé en applique. Par souci d’harmonisation complète, la couleur du disque de la date est assortie à celle du cadran.
Les modèles 26470 en acier ou en or se présentent sur des bracelets en caoutchouc ou en alligator plus effilés, fermés par une nouvelle boucle ardillon. Ils sont plus chaleureux et plus confortables.
Enfin, « last but not least », on peut désormais admirer une masse oscillante en or 22 carats gravée à travers un fond saphir (troisième changement notable), une fenêtre ouverte sur 139 ans de culture horlogère qui n’a existé auparavant que sur certaines séries limitées. L’année 2014 sera donc celle de la Royal Oak Offshore, qui affiche au compteur, plus de 150 variantes en vingt ans.