Il y a plus de trente ans, Audemars Piguet souhaitait offrir à ses clients, une version ultra sportive et très masculine de sa Royal Oak…
Née du trait de crayon d’Emmanuel Gueit, un designer horloger de génie à qui l’on doit également la (feu) Cellini de chez Rolex ou plus récemment les montre Dennison, cette Offshore éminemment statutaire s’est imposée au fil des années, comme un must de l’horlogerie contemporaine.
Il faut bien avoir en tête, qu’à l’époque, ce chrono étanche 100 mètres était « énorme » avec ses 42 mm de diamètre, son look massif, son joint caoutchouc visible sous la lunette et son épais bracelet en acier.
Née du trait de crayon d’Emmanuel Gueit, un designer horloger de génie à qui l’on doit également la (feu) Cellini de chez Rolex ou plus récemment les montre Dennison, cette Offshore éminemment statutaire s’est imposée au fil des années, comme un must de l’horlogerie contemporaine.
Il faut bien avoir en tête, qu’à l’époque, ce chrono étanche 100 mètres était « énorme » avec ses 42 mm de diamètre, son look massif, son joint caoutchouc visible sous la lunette et son épais bracelet en acier.
Il n’y avait absolument rien de comparable sur le marché et cette montre était carrément « disruptive » avant l’heure.
Un pari risqué pour la manufacture du Brassus, mais un pari réussi, puisque ce modèle a rencontré un succès commercial qui ne s’est jamais démenti en trois décennies et qui a permis -en grande partie- de propulser la marque là où elle est aujourd’hui.
Depuis, l’Offshore a été déclinée en de très nombreuses versions et matériaux. Voici donc, en cette année 2025 qui marque les 150 ans d’AP, deux nouveaux modèles étanches à 100 mètres.
Un pari risqué pour la manufacture du Brassus, mais un pari réussi, puisque ce modèle a rencontré un succès commercial qui ne s’est jamais démenti en trois décennies et qui a permis -en grande partie- de propulser la marque là où elle est aujourd’hui.
Depuis, l’Offshore a été déclinée en de très nombreuses versions et matériaux. Voici donc, en cette année 2025 qui marque les 150 ans d’AP, deux nouveaux modèles étanches à 100 mètres.
Le premier modèle se distingue par une boîte en céramique noire de 43 mm assemblée avec une lunette, une couronne et des poussoirs en céramique verte -une première dans cette dimension.
Conçus en titane, le fond, les protège-poussoirs et les plots du bracelet contrastent les tons foncés de la montre.
Le design tricolore de la boîte est rappelé sur le cadran, qui marie un motif Méga Tapisserie (caractéristique de ce modèle) vert foncé avec un réhaut et des compteurs azurés noirs situés à 3, 6 et 9h, tandis que les aiguilles et index luminescents en or gris ajoutent une touche d'éclat.
Conçus en titane, le fond, les protège-poussoirs et les plots du bracelet contrastent les tons foncés de la montre.
Le design tricolore de la boîte est rappelé sur le cadran, qui marie un motif Méga Tapisserie (caractéristique de ce modèle) vert foncé avec un réhaut et des compteurs azurés noirs situés à 3, 6 et 9h, tandis que les aiguilles et index luminescents en or gris ajoutent une touche d'éclat.
Doté du système d'interchangeabilité, ce chronographe est complété par un bracelet vert foncé en cuir de veau à motif textile, ainsi qu’un bracelet en caoutchouc noir supplémentaire venant renforcer l'identité sportive de cette pièce.
Le second modèle marie une boîte en céramique noire mesurant 42 mm avec un bracelet intégré assorti, pour un design monochrome. Seuls les huit vis hexagonales en acier et le monogramme AP apportent une note de contraste.
Côté cadran, le motif Méga Tapisserie (incontournable), le réhaut et les compteurs azurés à 6, 9 et 12h sont colorés en noir par traitement galvanique, assurant une teinte homogène sur l'ensemble de la montre.
Le second modèle marie une boîte en céramique noire mesurant 42 mm avec un bracelet intégré assorti, pour un design monochrome. Seuls les huit vis hexagonales en acier et le monogramme AP apportent une note de contraste.
Côté cadran, le motif Méga Tapisserie (incontournable), le réhaut et les compteurs azurés à 6, 9 et 12h sont colorés en noir par traitement galvanique, assurant une teinte homogène sur l'ensemble de la montre.
Cette esthétique sobre est complétée par l'échelle tachymétrique et les indications du chronographe gris foncé, qui s’harmonisent aux index bâton et aiguilles en or gris noircis et recouverts de dépôt luminescent gris.
Les deux nouvelles pièces abritent la dernière génération de chronographes automatiques intégrés de la manufacture du Brassus. La référence de 43 mm est animée par le Calibre 4401, tandis que le modèle de 42 mm est équipé du Calibre 4404. Tous deux offrent une remarquable réserve de marche de 70h !
Ces deux mouvements 4Hz sont dotés de la fonction de retour en vol (flyback), permettant de remettre à zéro et relancer le chronographe sans devoir préalablement l’arrêter.
Les deux nouvelles pièces abritent la dernière génération de chronographes automatiques intégrés de la manufacture du Brassus. La référence de 43 mm est animée par le Calibre 4401, tandis que le modèle de 42 mm est équipé du Calibre 4404. Tous deux offrent une remarquable réserve de marche de 70h !
Ces deux mouvements 4Hz sont dotés de la fonction de retour en vol (flyback), permettant de remettre à zéro et relancer le chronographe sans devoir préalablement l’arrêter.
Pour cela, la roue à colonnes travaille de concert avec un embrayage vertical. Lorsque le chronographe est lancé ou stoppé, les aiguilles répondent instantanément, sans le moindre chevrotement. Qui plus est, un mécanisme breveté de remise à zéro garantit que les aiguilles du chronographe flyback reviennent immédiatement à la verticale.
Côté fond, la glace saphir révèle les décorations du mouvement, telles que les Côtes de Genève, le satinage vertical, circulaire et soleillé, le perlage et les chanfreins polis. Ces modèles mettent également en valeur leur masse oscillante en or rose 22-carats, colorée en gris foncé pour la référence de 43 mm.
« Il aura fallu dix ans de développement à Audemars Piguet pour que la céramique soit véritablement anoblie et qu’elle gagne sa place parmi l’acier, le titane et le carbone. La maîtrise de ses possibilités créatives a constitué une étape déterminante, permettant à la marque de repousser les limites de l’exploration des matériaux bien au-delà des attentes » conclut Thibaut Le Loarer, responsable Recherche, Audemars Piguet !
Côté fond, la glace saphir révèle les décorations du mouvement, telles que les Côtes de Genève, le satinage vertical, circulaire et soleillé, le perlage et les chanfreins polis. Ces modèles mettent également en valeur leur masse oscillante en or rose 22-carats, colorée en gris foncé pour la référence de 43 mm.
« Il aura fallu dix ans de développement à Audemars Piguet pour que la céramique soit véritablement anoblie et qu’elle gagne sa place parmi l’acier, le titane et le carbone. La maîtrise de ses possibilités créatives a constitué une étape déterminante, permettant à la marque de repousser les limites de l’exploration des matériaux bien au-delà des attentes » conclut Thibaut Le Loarer, responsable Recherche, Audemars Piguet !