Il y a vingt-cinq ans, Audemars Piguet souhaitait offrir à ses clients, une version ultra sportive et très masculine de sa Royal Oak… Née du trait de crayon d’Emmanuel Gueit, un designer horloger de génie à qui l’on doit également la dernière Cellini de chez Rolex, cette montre s’est rapidement imposée comme un must de l’horlogerie contemporaine.
Il faut bien avoir en tête, qu’à l’époque, ce chrono étanche 100 mètres était « énorme » avec ses 42 mm de diamètre, son look massif et son épais bracelet en acier. Il n’y avait absolument rien de comparable sur le marché et cette montre était carrément « disruptive » avant l’heure.
Un pari risqué pour la manufacture du Brassus, mais un pari réussi, puisque ce modèle a rencontré un succès commercial qui ne s’est jamais démenti et qui a permis -en grande partie- de propulser la marque là où elle est aujourd’hui.
Il faut bien avoir en tête, qu’à l’époque, ce chrono étanche 100 mètres était « énorme » avec ses 42 mm de diamètre, son look massif et son épais bracelet en acier. Il n’y avait absolument rien de comparable sur le marché et cette montre était carrément « disruptive » avant l’heure.
Un pari risqué pour la manufacture du Brassus, mais un pari réussi, puisque ce modèle a rencontré un succès commercial qui ne s’est jamais démenti et qui a permis -en grande partie- de propulser la marque là où elle est aujourd’hui.
Pour célébrer ces vingt-cinq ans, AP vient donc de dévoiler une réédition en acier avec cadran bleu qui reprend le design d’origine de cet iconique chrono qui depuis, a connu plus de 120 versions en acier, titane, or ou même platine (dont certaines séries avec Arnold Schwarzenegger).
Une relance qui devrait renforcer le pouvoir de séduction du tout premier modèle désormais devenu un classique de la montre vintage.
Une relance qui devrait renforcer le pouvoir de séduction du tout premier modèle désormais devenu un classique de la montre vintage.