Cette année, le Musée de la Contrefaçon à Paris remet les pendules -ou plutôt les montres- à l’heure avec son exposition baptisée Authen’Tic Tac qui s’intéresse à la contrefaçon dans l’univers de l’horlogerie.
La contrefaçon est un fléau dans le monde du luxe et plus spécifiquement dans l’univers de l’horlogerie haut de gamme. Cela fait des années que les Suisses luttent d’arrache-pied contre les copies de leurs montres…
Mais malgré leurs campagnes de communication, les fermetures d’usine et les arrestations de grossistes, les ventes de faux se poursuivent un peu partout dans le monde ; notamment sur le web. Selon le rapport des douanes, près de 115.000 copies ont été stoppées par les agents opérationnels pour une valeur de plus de 57 millions d’euros.
Depuis le 19 septembre 2016, le Musée de la Contrefaçon à Paris propose une exposition baptisée « Authen’Tic Tac – L’exposition qui remet les pendules à l’heure ». Créée et élaborée par le musée en partenariat avec des acteurs de cette industrie, elle a pour objectif de retracer l’évolution de la conquête du temps par la présentation de pièces historiques. La thématique « contrefaçon horlogère » et les nouveaux moyens mis en place pour contrer son expansion sont abordés en fin de visite.
Depuis plus de soixante ans, le Musée de la Contrefaçon est le dépositaire d’une collection hors du commun. Au fil des salles, les visiteurs découvrent ce qui a fait l’histoire de la propriété intellectuelle depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Les vestiges d’amphores gallo-romaines, les bronzes de Rodin, les sacs de luxe, les médicaments, les produits high-tech, les objets du quotidien… sont les témoins originaux de la diversité des produits contrefaisants. Musée à vocation pédagogique et culturelle, il est animé par l’Union des Fabricants (UNIFAB), l’association française de lutte anti-contrefaçon qui promeut et protège le droit de la propriété intellectuelle.
*notamment avec les marques La montre Hermes, Hublot, Tag Heuer, la CPHM, Baselworld ainsi que la Fédération Horlogère Suisse (FHS).
La contrefaçon est un fléau dans le monde du luxe et plus spécifiquement dans l’univers de l’horlogerie haut de gamme. Cela fait des années que les Suisses luttent d’arrache-pied contre les copies de leurs montres…
Mais malgré leurs campagnes de communication, les fermetures d’usine et les arrestations de grossistes, les ventes de faux se poursuivent un peu partout dans le monde ; notamment sur le web. Selon le rapport des douanes, près de 115.000 copies ont été stoppées par les agents opérationnels pour une valeur de plus de 57 millions d’euros.
Depuis le 19 septembre 2016, le Musée de la Contrefaçon à Paris propose une exposition baptisée « Authen’Tic Tac – L’exposition qui remet les pendules à l’heure ». Créée et élaborée par le musée en partenariat avec des acteurs de cette industrie, elle a pour objectif de retracer l’évolution de la conquête du temps par la présentation de pièces historiques. La thématique « contrefaçon horlogère » et les nouveaux moyens mis en place pour contrer son expansion sont abordés en fin de visite.
Depuis plus de soixante ans, le Musée de la Contrefaçon est le dépositaire d’une collection hors du commun. Au fil des salles, les visiteurs découvrent ce qui a fait l’histoire de la propriété intellectuelle depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Les vestiges d’amphores gallo-romaines, les bronzes de Rodin, les sacs de luxe, les médicaments, les produits high-tech, les objets du quotidien… sont les témoins originaux de la diversité des produits contrefaisants. Musée à vocation pédagogique et culturelle, il est animé par l’Union des Fabricants (UNIFAB), l’association française de lutte anti-contrefaçon qui promeut et protège le droit de la propriété intellectuelle.
*notamment avec les marques La montre Hermes, Hublot, Tag Heuer, la CPHM, Baselworld ainsi que la Fédération Horlogère Suisse (FHS).