Bernard Richards, patron de la marque horlogère BRM (française et indépendante) est un amateur de belles et grosses mécaniques. Depuis le tout début de son aventure horlogère, la plupart de ses créations sont étroitement liées à l’univers de l’automobile ou de la moto. Dans leur design, dans leur conception et dans leurs couleurs.
Aujourd’hui BRM poursuit dans cette veine qui depuis plus de dix ans, lui vaut un beau succès auprès de amateurs de montres. Certes, les modèles ne plaisent pas à tout le monde. Certains adorent pendant que d’autres détestent… Mais au moins, ces montres ne laissent pas indifférents et la marque peut se targuer de revendiquer des inconditionnels à travers toute la planète !
Aujourd’hui BRM poursuit dans cette veine qui depuis plus de dix ans, lui vaut un beau succès auprès de amateurs de montres. Certes, les modèles ne plaisent pas à tout le monde. Certains adorent pendant que d’autres détestent… Mais au moins, ces montres ne laissent pas indifférents et la marque peut se targuer de revendiquer des inconditionnels à travers toute la planète !
« Inspirées et conçues à l’image d’un vrai disque de frein, les DDF12-44-SQ sont usinées dans la masse et arborent un boîtier en titane » indique la marque dans son communiqué. Les deux flasques en inox reprennent les profils des disques de freins des voitures de compétition. Quant au protège-couronne en acier 316 L, il représente quant à lui un étrier 4 pistons .
A noter également la présence d’aiguilles allégées (par le biais de trous), d’un cadran squelette et d’un calibre chronographe mécanique automatique de facture suisse embarqué dans un boitier en titane de 44mm.
A noter également la présence d’aiguilles allégées (par le biais de trous), d’un cadran squelette et d’un calibre chronographe mécanique automatique de facture suisse embarqué dans un boitier en titane de 44mm.