Aubercy, ABP Concept, mais aussi Guerlain, Tournaire, Laguiole, Atelier Tuffery, Le Soulor, Repetto, Saint James, etc. Toutes ces entreprises françaises ont obtenu ce label EPV, une distinction qui est attribuée par l’Institut national des métiers d’art « aux entreprises qui possèdent un savoir-faire artisanal ou industriel exceptionnel ».
En cet automne 2021, c’est donc au tour de la maison horlogère BRM d’intégrer cette liste de « happy few » qui comprend un peu plus de 500 entreprises françaises. « Ce label d'État délivré après une instruction rigoureuse, est la reconnaissance de l’excellence du savoir-faire artisanal français de notre maison, mais aussi de notre investissement technologique et environnemental au quotidien » assure la marque dans son communiqué.
« Les collections B.R.M sont le fruit d'un travail de longue haleine. Aussi, c'est pour moi une immense fierté que ce travail soit reconnu au plus haut niveau. Ce sera pour notre manufacture l'occasion de porter encore plus haut le "France made" que j'appose sur nos montres depuis des années » ajoute de son côté Bernard Richards, fondateur et patron de la marque.
Bouchonnage, sertissage de pierres précieuses, laque déposée à la main, le savoir-faire B.R.M est multiple. Il s'appuie sur l'expertise de ses artisans : graveur-façonneur, tourneur-fraiseur, horloger dédié à la marque... Des hommes et des femmes qui au quotidien façonnent les pièces à la main pour offrir des montres et depuis quelques mois, des bijoux uniques.
Usinage dans la masse au centième de millimètre près grâce à un parc de 14 machines numériques capables d'usiner jusqu' à 11 axes, gravure laser et impression sur verre par projection d'encre UV. Depuis sa création en 2003 B.R.M ne cesse de se perfectionner et d'investir dans des machines dernière génération.
Enfin, BRM est également engagée dans une démarche environnementale de longue date : ainsi, les huiles d’usinage usagées sont collectées et retraitées, les outils de coupe sont réaffutés, les copeaux d’usinage sont triés et recyclés, l’eau de compression d’air est recyclée et tous les déchets de fonctionnement sont triés et déposés en déchetterie.
En cet automne 2021, c’est donc au tour de la maison horlogère BRM d’intégrer cette liste de « happy few » qui comprend un peu plus de 500 entreprises françaises. « Ce label d'État délivré après une instruction rigoureuse, est la reconnaissance de l’excellence du savoir-faire artisanal français de notre maison, mais aussi de notre investissement technologique et environnemental au quotidien » assure la marque dans son communiqué.
« Les collections B.R.M sont le fruit d'un travail de longue haleine. Aussi, c'est pour moi une immense fierté que ce travail soit reconnu au plus haut niveau. Ce sera pour notre manufacture l'occasion de porter encore plus haut le "France made" que j'appose sur nos montres depuis des années » ajoute de son côté Bernard Richards, fondateur et patron de la marque.
Bouchonnage, sertissage de pierres précieuses, laque déposée à la main, le savoir-faire B.R.M est multiple. Il s'appuie sur l'expertise de ses artisans : graveur-façonneur, tourneur-fraiseur, horloger dédié à la marque... Des hommes et des femmes qui au quotidien façonnent les pièces à la main pour offrir des montres et depuis quelques mois, des bijoux uniques.
Usinage dans la masse au centième de millimètre près grâce à un parc de 14 machines numériques capables d'usiner jusqu' à 11 axes, gravure laser et impression sur verre par projection d'encre UV. Depuis sa création en 2003 B.R.M ne cesse de se perfectionner et d'investir dans des machines dernière génération.
Enfin, BRM est également engagée dans une démarche environnementale de longue date : ainsi, les huiles d’usinage usagées sont collectées et retraitées, les outils de coupe sont réaffutés, les copeaux d’usinage sont triés et recyclés, l’eau de compression d’air est recyclée et tous les déchets de fonctionnement sont triés et déposés en déchetterie.