Bernard Richards, patron de la marque horlogère BRM (française et indépendante) est un amateur de belles et grosses mécaniques. Depuis le tout début de son aventure, la plupart de ses créations sont étroitement liées à l’univers de l’automobile et de la moto. Dans leur design, dans leur conception, dans leurs couleurs.
Aujourd’hui BRM célèbre les dix ans de son modèle R-50, un garde-temps avant-gardiste dont le mouvement s’inspire d’un moteur de course de moto doté d’un cylindre qui repose sur trois triangles en fibre de verre ou fibre de carbone.
Comme le fait remarquer Bernard Richards, « la R50TN a été conçue sur le principe isolastique -déposé par Jean-Paul Crabbe (ndlr : son horloger) et moi-même. Cela consiste à monter le mouvement souple sur des bras en carbone ou fibre de verre. Nous jouons donc sur l’élasticité de la fibre. Les bras sont maintenus en pression dans un cercle d’emboîtage par l’intermédiaire de ressorts à pas progressif, ce qui isole le mouvement des chocs ainsi que toutes les vibrations parasites, comme un moteur est isolé du châssis par ses silentblocs. Cette fonction est une sécurité supplémentaire aux antichocs montés sur les pivots de balanciers ».
Un moyen, donc, d’absorber les coups qui peuvent altérer le bon fonctionnement de la montre lors des balades à moto, lors des courses de voitures, lors de votre footing, et, plus prosaïquement, dans tous les gestes de la vie quotidienne. « On s’est aperçus au cours de nos différents tests de fiabilité, que le plus dur pour une montre, c’est encore le VTT ! Ce sport provoque en effet de très fortes vibrations » souligne l’horloger de BRM.
Très rapidement, cette imposante « trois aiguilles » de 50 mm a trouvé son public, notamment chez les amateurs de grosses cylindrées et chez les connaisseurs de montres de luxe. En dix ans, plusieurs séries ont été produites (titane, titane et or, or ou makrolon) mais pour célébrer cette décennie de succès -et d’indépendance-, BRM vient de dévoiler deux séries limitées de quinze exemplaires seulement : boîtier en titane PVD bleu ou noir (c'est le client qui choisit), cadran squelette, cornes en inox, couronne noire gravée TR et numéro limité, aiguilles allégées super light rouges, mouvement automatique et bracelet tissu technique noir à trous.
Attention par contre, l’exclusivité coute chère : compter 19.950 euros tout de même.
Aujourd’hui BRM célèbre les dix ans de son modèle R-50, un garde-temps avant-gardiste dont le mouvement s’inspire d’un moteur de course de moto doté d’un cylindre qui repose sur trois triangles en fibre de verre ou fibre de carbone.
Comme le fait remarquer Bernard Richards, « la R50TN a été conçue sur le principe isolastique -déposé par Jean-Paul Crabbe (ndlr : son horloger) et moi-même. Cela consiste à monter le mouvement souple sur des bras en carbone ou fibre de verre. Nous jouons donc sur l’élasticité de la fibre. Les bras sont maintenus en pression dans un cercle d’emboîtage par l’intermédiaire de ressorts à pas progressif, ce qui isole le mouvement des chocs ainsi que toutes les vibrations parasites, comme un moteur est isolé du châssis par ses silentblocs. Cette fonction est une sécurité supplémentaire aux antichocs montés sur les pivots de balanciers ».
Un moyen, donc, d’absorber les coups qui peuvent altérer le bon fonctionnement de la montre lors des balades à moto, lors des courses de voitures, lors de votre footing, et, plus prosaïquement, dans tous les gestes de la vie quotidienne. « On s’est aperçus au cours de nos différents tests de fiabilité, que le plus dur pour une montre, c’est encore le VTT ! Ce sport provoque en effet de très fortes vibrations » souligne l’horloger de BRM.
Très rapidement, cette imposante « trois aiguilles » de 50 mm a trouvé son public, notamment chez les amateurs de grosses cylindrées et chez les connaisseurs de montres de luxe. En dix ans, plusieurs séries ont été produites (titane, titane et or, or ou makrolon) mais pour célébrer cette décennie de succès -et d’indépendance-, BRM vient de dévoiler deux séries limitées de quinze exemplaires seulement : boîtier en titane PVD bleu ou noir (c'est le client qui choisit), cadran squelette, cornes en inox, couronne noire gravée TR et numéro limité, aiguilles allégées super light rouges, mouvement automatique et bracelet tissu technique noir à trous.
Attention par contre, l’exclusivité coute chère : compter 19.950 euros tout de même.