NEDU pour « United States Navy Experimental Diving Unit » est l’unité de la Marine des États-Unis en charge de l’instauration des directives opérationnelles de plongée et de décompression à l’attention des forces armées américaines. Plus concrètement, son rôle est d’évaluer les systèmes et les procédures relatives à la survie en milieu hyperbare et en plongée.
Répondant au même principe « Safety First » appliqué dès ses débuts par Ball Watch à la réalisation de ses montres, les expérimentations du NEDU permirent de développer de nouvelles procédures et de nouveaux équipements afin d’accroitre la sécurité en plongée.
La NEDU est notamment à l’origine de l’établissement des tables de temps de décompression qui sont la référence vitale de tous les plongeurs. L’horloger « joua le même rôle précurseur dans l’horlogerie en édictant dès la fin du 19ème siècle des normes de standards chronométriques à la base de celles encore en vigueur à ce jour » assure son communiqué de presse.
C’est donc naturellement que la marque suisse a dédié au NEDU son nouveau modèle… Tous les aspects de ce garde-temps ont été réfléchis et conçus en vue de son utilisation par des professionnels de la plongée pour qui chaque seconde peut être d’une importance cruciale.
Cette attention a été apportée notamment à la lunette tournante dont les contours ergonomiques assurent une manipulation précise même avec le port de gants de plongée. Sa rotation unidirectionnelle permet d’éviter de graves conséquences en cas de manipulation involontaire lors de décomptes de temps d’immersion. Conçue en céramique de couleur noire chromée, la lunette bénéficie d’une résistance contre la corrosion, les rayures et les rayons ultra-violets. De plus, les chiffres et la graduation ont été volontairement surdimensionnés afin de les rendre immédiatement lisibles. La marque utilise à nouveau son processus d’application d’une puissante peinture luminescente sur les indications d’une lunette en céramique.
Répondant au même principe « Safety First » appliqué dès ses débuts par Ball Watch à la réalisation de ses montres, les expérimentations du NEDU permirent de développer de nouvelles procédures et de nouveaux équipements afin d’accroitre la sécurité en plongée.
La NEDU est notamment à l’origine de l’établissement des tables de temps de décompression qui sont la référence vitale de tous les plongeurs. L’horloger « joua le même rôle précurseur dans l’horlogerie en édictant dès la fin du 19ème siècle des normes de standards chronométriques à la base de celles encore en vigueur à ce jour » assure son communiqué de presse.
C’est donc naturellement que la marque suisse a dédié au NEDU son nouveau modèle… Tous les aspects de ce garde-temps ont été réfléchis et conçus en vue de son utilisation par des professionnels de la plongée pour qui chaque seconde peut être d’une importance cruciale.
Cette attention a été apportée notamment à la lunette tournante dont les contours ergonomiques assurent une manipulation précise même avec le port de gants de plongée. Sa rotation unidirectionnelle permet d’éviter de graves conséquences en cas de manipulation involontaire lors de décomptes de temps d’immersion. Conçue en céramique de couleur noire chromée, la lunette bénéficie d’une résistance contre la corrosion, les rayures et les rayons ultra-violets. De plus, les chiffres et la graduation ont été volontairement surdimensionnés afin de les rendre immédiatement lisibles. La marque utilise à nouveau son processus d’application d’une puissante peinture luminescente sur les indications d’une lunette en céramique.
L’étanchéité de ce nouveau modèle est garantie jusqu’à 600 mètres de profondeur grâce à la construction robuste du boîtier dont l’épaisseur atteint 17.3 mm pour un diamètre de 42 mm. Le fond du boîtier est étampé au motif d’un plongeur rappelant l’emblème officiel du NEDU.
Première mondiale en horlogerie : la valve automatique d’échappement de l’hélium a pu être intégrée directement dans la couronne. Cette innovation brevetée par l’horloger suisse « permet de supprimer une surface potentiellement déformable sous la pression aquatique et d’améliorer ainsi encore l’étanchéité du chronographe ». La couronne est quant à elle pourvue du système de protection breveté commun à tous les modèles d’Engineer Hydrocarbon.
Le cœur de la montre abrite un mouvement automatique ETA 7750 permettant de mesurer et d’indiquer un intervalle de temps jusqu’à 12 heures. La précision de l’affichage de l’heure, des minutes, des secondes, du jour et de la date est attestée par la certification COSC du mouvement chronométrique.
Afin de rester visibles jusque dans l’obscurité des profondeurs, les index du cadran et les aiguilles sont naturellement pourvus de micro-tubes de gaz luminescent H3. « Cette technologie suisse de pointe ne nécessite aucune source extérieure de lumière tout en étant jusqu’à 100 fois plus efficace que les peintures luminescentes conventionnelles » assure encore la marque dans son communiqué.
L’horloger a encore amélioré ce procédé en fixant les micro-tubes du cadran sur des appliques métalliques. Grâce à cette nouvelle technique brevetée, le rehaussement des microtubes assure leur juste mise en valeur et une meilleure diffusion de la lumière engendrée par le gaz H3. Le cadran ainsi que le contraste de la graduation, de la trotteuse et des aiguilles des sous-cadrans assurent la lisibilité des indications de ce modèle.
Autre spécificité, les deux chanfreins taillés dans le réhaut du boîtier supportant la lunette agissent telle une « gouttière » qui facilite l’évacuation de l’eau pouvant se loger entre ces deux composants. Cette exécution permet ainsi de lutter contre une possible corrosion.
En complément du bracelet en caoutchouc proposé par définition sur toute montre de plongée, ce modèle est également disponible avec un bracelet en acier inoxydable et en titane pourvu de la triple boucle déployante brevetée. Son système d’extension permet de l’ajuster aisément sur un poignet revêtu d’une combinaison.
Première mondiale en horlogerie : la valve automatique d’échappement de l’hélium a pu être intégrée directement dans la couronne. Cette innovation brevetée par l’horloger suisse « permet de supprimer une surface potentiellement déformable sous la pression aquatique et d’améliorer ainsi encore l’étanchéité du chronographe ». La couronne est quant à elle pourvue du système de protection breveté commun à tous les modèles d’Engineer Hydrocarbon.
Le cœur de la montre abrite un mouvement automatique ETA 7750 permettant de mesurer et d’indiquer un intervalle de temps jusqu’à 12 heures. La précision de l’affichage de l’heure, des minutes, des secondes, du jour et de la date est attestée par la certification COSC du mouvement chronométrique.
Afin de rester visibles jusque dans l’obscurité des profondeurs, les index du cadran et les aiguilles sont naturellement pourvus de micro-tubes de gaz luminescent H3. « Cette technologie suisse de pointe ne nécessite aucune source extérieure de lumière tout en étant jusqu’à 100 fois plus efficace que les peintures luminescentes conventionnelles » assure encore la marque dans son communiqué.
L’horloger a encore amélioré ce procédé en fixant les micro-tubes du cadran sur des appliques métalliques. Grâce à cette nouvelle technique brevetée, le rehaussement des microtubes assure leur juste mise en valeur et une meilleure diffusion de la lumière engendrée par le gaz H3. Le cadran ainsi que le contraste de la graduation, de la trotteuse et des aiguilles des sous-cadrans assurent la lisibilité des indications de ce modèle.
Autre spécificité, les deux chanfreins taillés dans le réhaut du boîtier supportant la lunette agissent telle une « gouttière » qui facilite l’évacuation de l’eau pouvant se loger entre ces deux composants. Cette exécution permet ainsi de lutter contre une possible corrosion.
En complément du bracelet en caoutchouc proposé par définition sur toute montre de plongée, ce modèle est également disponible avec un bracelet en acier inoxydable et en titane pourvu de la triple boucle déployante brevetée. Son système d’extension permet de l’ajuster aisément sur un poignet revêtu d’une combinaison.