Baume a été lancée il y a quelques mois par le groupe Richemont. Une marque totalement atypique au sein du géant du luxe qui cherche à séduire les fameux Millenials. Beaucoup d’encre a coulé sur la cohérence du choix du nom de Baume (?) pour cette jeune marque, mais ceci est une autre histoire.
En quelques mots, le positionnement de Baume est une montre entre 500 et 1.000 euros, à quartz ou mécanique (non swiss made), distribuée via le web ou au sein de quelques concept-stores et qui se veut éco-responsable. La recette « gagnante » selon Richemont pour séduire cette clientèle de jeunes consommateurs… A voir.
La marque arrive donc au sein des vitrines du concept-store Nous qui a ouvert ses portes en début d’année à Paris avec une partie des anciennes équipes de Colette. Elle propose depuis le 12 octobre dernier, une édition limitée « Skate » qui associe le monde de l’horlogerie à l’univers de la street culture (?).
Un mariage peu évident (voire contre nature), d’autant que ce modèle se présente sous la forme d’un régulateur, une complication déjà difficile à vendre auprès des amateurs d’horlogerie, pas certains que les Millenials soient très sensibles à cette présentation de l’heure (sur 24h de surcroit), surtout qu’elle n’a absolument rien à voir avec les codes de la street culture…
En quelques mots, le positionnement de Baume est une montre entre 500 et 1.000 euros, à quartz ou mécanique (non swiss made), distribuée via le web ou au sein de quelques concept-stores et qui se veut éco-responsable. La recette « gagnante » selon Richemont pour séduire cette clientèle de jeunes consommateurs… A voir.
La marque arrive donc au sein des vitrines du concept-store Nous qui a ouvert ses portes en début d’année à Paris avec une partie des anciennes équipes de Colette. Elle propose depuis le 12 octobre dernier, une édition limitée « Skate » qui associe le monde de l’horlogerie à l’univers de la street culture (?).
Un mariage peu évident (voire contre nature), d’autant que ce modèle se présente sous la forme d’un régulateur, une complication déjà difficile à vendre auprès des amateurs d’horlogerie, pas certains que les Millenials soient très sensibles à cette présentation de l’heure (sur 24h de surcroit), surtout qu’elle n’a absolument rien à voir avec les codes de la street culture…