Baume et Mercier : campagne Célébration avec Peter Lindbergh


Le photographe Peter Lindbergh est bien connu des amateurs d’horlogerie… En effet, c’est à lui que l’on doit certaines campagnes de communication de chez Patek Philippe. C’est également lui qui était derrière l’appareil-photo pour la création de Célébration, le nouveau visuel de Baume et Mercier, qui vient rendre hommage à ces moments forts, marqués non pas d’une pierre blanche, mais d’un garde-temps qui vient cristalliser un mariage, un anniversaire, une nomination… Bref, des instants de vie que l’on ne veut pas oublier !


Baume & Mercier retrouve le temps des grandes célébrations dans une nouvelle campagne de communication. Sous le regard sensible de Peter Lindbergh, l’horloger dévoile des histoires photographiques intimistes et universelles qui scellent les moments décisifs et festifs d’une vie.
 
Pour l’horloger, le temps est bien plus qu’une suite de secondes, de minutes et d’heures qui s’égrènent… Le temps est ponctué d’instants précieux auxquels la marque est associée, comme un témoin vibrant. La vie est faite de ces instants privilégiés, de ces moments riches en émotions, qu’on aime célébrer et dont on se souviendra toujours. Et dans l’esprit de « Baume », les montres sont des cadeaux « qui contiennent des sentiments ».
 
Ainsi, Louis-Victor Baume, co-fondateur de la Maison Baume en 1830, offrit en 1869 une montre de poche en or richement décorée à sa fille Mélina pour sa première communion, en y gravant ces mots : « A notre chère enfant ». Au-delà du cadeau matériel, s’exprimait alors la symbolique du don. Ainsi se scelle le lien qui unit un être à ceux qui lui sont chers, à travers la promesse d’une union, à travers la naissance d’un enfant, à travers un anniversaire de mariage, l’obtention d’un diplôme ou d’une promotion. L’horloger nous invite à se souvenir de toutes ces célébrations et à les porter en nous, comme on porte sur soi un objet aimé. Au quotidien.
 
Et pour mettre en images ces émotions, à la fois intimes et universelles, on ne pouvait rêver mieux que Peter Lindbergh, photographe à l’écriture sensible et très cinématographique, entre rigueur de composition et vérité purement émotionnelle.

Peter Lindbergh en quelques mots

Peter Lindbergh est un des photographes et portraitistes les plus emblématiques de ces trois dernières décennies. 

Né en 1944, il a démarré sa carrière de photographe à Paris en 1978. Il a collaboré avec les plus célèbres revues de mode et d’art de vivre comme Vogue, Vanity Fair et The New Yorker. Ses photos reportages construits comme un récit étaient les premiers du genre.
 
Il a photographié certaines des plus belles femmes du monde et lancé le phénomène des super-models avec des portraits à couper le souffle de Christie Turlington, Linda Evangelista, Naomi Campbell, Tatjana Patitz et Cindy Crawford. Il collabore régulièrement avec plusieurs marques de luxe telles que Cartier, Dior, Tiffany, Bottega Veneta, David Yurman, Guerlain et Lancôme.
 
Référence sur la scène internationale dès les années 80, sa signature, reconnaissable entre toutes, mêle narration, élégance et émotion. Son travail a été fortement influencé par les débuts du cinéma allemand et comporte des références au travail de réalisateurs tels que Fritz Lang et Jim Jarmusch. Devenues mythiques, ces oeuvres ont fait l’objet de très nombreuses expositions dans le monde, et la dimension profondément artistique de son travail lui a ouvert les portes de prestigieux musées internationaux.
 
Photographe de la Femme plutôt que photographe de mode, son ouvrage Images of Women rend compte de son talent unique de portraitiste avec une riche sélection d’images exceptionnelles.

Interview d’Alain Zimmermann, PDG de Baume et Mercier

Pourquoi avoir choisi le territoire de la Célébration ?

Tout a commencé par une recherche de longue haleine dans les archives de la maison. Le patrimoine de Baume et Mercier est riche, inspiré par la collection Musée Baume & Mercier, nous avons identifié la forte charge affective de la marque. Une montre Baume est très souvent associée à une occasion de fête à la portée symbolique très forte comme un mariage, une naissance, etc. Les montres sont chargées d’une histoire  individuelle. C’est cette dimension festive et universelle qui nous a guidés dans notre repositionnement. Nous avons collecté ces histoires afin de les raconter.
 
Comment s’est porté le choix sur Peter Lindbergh ?

Pour nous, ça a été très rapidement une évidence. Nous souhaitions une écriture photographique en noir et blanc, forte et élégante, intime et universelle. Nous avions en tête des portraits de Peter Lindbergh qui insufflaient beaucoup d’intensité à chaque visage, à chaque situation. Sa façon de raconter les histoires, de considérer les modèles comme des acteurs, sa proximité avec le cinéma, tout cela correspondait parfaitement à ce que nous voulions faire passer. Il va sans dire que la personnalité authentique et généreuse de Peter a aussi grandement influencé notre choix…

Quel est votre meilleur souvenir durant le shooting de cette campagne ?

Le shoot du visuel « naissance » était particulièrement émouvant. Le bébé s’est endormi dans les bras de sa mère. C’était un vrai moment de vérité. Après les premiers clics de Peter, l’enfant s’est réveillé. Il a fixé l’objectif, très surpris. Il a réalisé qu’il était sur un shooting et non pas dans sa chambre. Il s’est mis à gigoter dans tous les sens, ce qui a rendu la scène encore plus authentique. Heureusement nous avions déjà immortalisé cet instant !
 
Comment allez-vous intégrer vos nouvelles collections dans cette campagne ?

Les montres Baume & Mercier sont évidemment à l’honneur dans cette campagne. Les modèles présentés (aussi bien féminins que masculins) ont les qualités des grands classiques de Baume & Mercier : lignes urbaines, élégantes, harmonieuses, couleurs intemporelles… Affichées en couleur, les montres s’intègrent parfaitement à la composition, tout en contrastant avec la photo noir et blanc, dont elles semblent s’extraire, comme des témoins du moment célébré.






Montres-de-luxe.com | Publié le 26 Mars 2014 | Lu 1557 fois

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