Très belle nouvelle création chez BeauBleu qui poursuit sur sa lancée, avec son esthétique si caractéristique, avec la présentation de cette Seconde Française qui devrait séduire les amateurs de montres de villes affichant un twist d’originalité.
« À travers cette nouvelle collection, Beaubleu donne vie à la seconde volante, interprétation horlogère de cet esprit libre. Cette trotteuse cerclée évolue avec magie en apesanteur au-dessus cadran, et infuse chaque modèle de la collection » souligne la marque dans son communiqué.
Le fait est que, toute proportion gardée, cette trotteuse n’est pas sans évoquer les heures mystérieuses de Cartier, la grande spécialité du joaillier parisien dans les années 20.
« À travers cette nouvelle collection, Beaubleu donne vie à la seconde volante, interprétation horlogère de cet esprit libre. Cette trotteuse cerclée évolue avec magie en apesanteur au-dessus cadran, et infuse chaque modèle de la collection » souligne la marque dans son communiqué.
Le fait est que, toute proportion gardée, cette trotteuse n’est pas sans évoquer les heures mystérieuses de Cartier, la grande spécialité du joaillier parisien dans les années 20.
Avant de présenter cette nouveauté, rappelons que Beaubleu est une maison horlogère parisienne fondée en 2017 par Nicolas Ducoudert Pham (qui travailla par le passé pour Van Cleef & Arpels). Jusqu’à maintenant, la marque ne proposait que des éditions limitées : la B01, l’Union et la Vitruve.
Depuis le mois d’octobre 2023, Beaubleu a franchi une nouvelle étape en pérennisant son catalogue. En effet, la marque a présenté peu avant la fin de l’année, sa collection permanente baptisée Ecce, comprenant trois modèles : Ecce Vesperal, Ecce Lys et Ecce Smalt.
Aujourd’hui donc, elle arrive avec cette nouvelle collection dotée d’un boitier en acier de 39 mm habillé de surfaces alternées polies et brossées, étanche à 50 mètres, avec une couronne cachée à 3h pour renforcer la symétrie de la pièce. Bien vu.
Depuis le mois d’octobre 2023, Beaubleu a franchi une nouvelle étape en pérennisant son catalogue. En effet, la marque a présenté peu avant la fin de l’année, sa collection permanente baptisée Ecce, comprenant trois modèles : Ecce Vesperal, Ecce Lys et Ecce Smalt.
Aujourd’hui donc, elle arrive avec cette nouvelle collection dotée d’un boitier en acier de 39 mm habillé de surfaces alternées polies et brossées, étanche à 50 mètres, avec une couronne cachée à 3h pour renforcer la symétrie de la pièce. Bien vu.
La lunette étant assez fine, le cadran prend toute son ampleur. Ce dernier, grainé ou émaillé, se pare de fines échelles en chemin de fer cloisonnant des chiffres indo-arabes style 18eme siècle ; l’ensemble est coiffé d’un verre bombé double dôme en saphir.
Les aiguilles (luminescentes ou non), réinterprétées à la manière des aiguilles feuilles d’antan, parcourent l’ensemble. La trotteuse-volante, comme en apesanteur ou telle une planète en orbite, vient compléter le tableau et se donne en vedette avec ce je-ne-sais-quoi d’insaisissable.
« Last but not least », Beaubleu passe un cap en matière de mécanique. En effet, pour cette nouvelle collection, la marque dote ses garde-temps d’un calibre France Ebauches fabriqué en France. D’où le fond de boite ouvert qui permet d’admirer cette mécanique franco-suisse garantie cinq ans. Disponible sur bracelet cuir ou sur maille milanaise.
Les aiguilles (luminescentes ou non), réinterprétées à la manière des aiguilles feuilles d’antan, parcourent l’ensemble. La trotteuse-volante, comme en apesanteur ou telle une planète en orbite, vient compléter le tableau et se donne en vedette avec ce je-ne-sais-quoi d’insaisissable.
« Last but not least », Beaubleu passe un cap en matière de mécanique. En effet, pour cette nouvelle collection, la marque dote ses garde-temps d’un calibre France Ebauches fabriqué en France. D’où le fond de boite ouvert qui permet d’admirer cette mécanique franco-suisse garantie cinq ans. Disponible sur bracelet cuir ou sur maille milanaise.