En cette rentrée 2018, Bell & Ross nous présente l’une de ses dernières créations issue de sa collection « Expérimentale » qui vise repousser les limites de l’horlogerie avec des pièces d’avant-garde.
De fait, cette BR-X2 est dotée d’un boitier en acier poli-satiné de 42.5 mm (étanche 50 mètres) qui ne fait qu’un avec le mouvement. Pour ce modèle, Bruno Belamich, directeur de la création, est parvenu à concrétiser une idée pour le moins (d)étonnante : celle de « fusionner boîtier et mouvement en une seule pièce pour faire disparaître le boîtier et ne laisser apparaître que le mouvement ». Un peu comme si on portait le calibre directement sur son poignet !
De fait, cette BR-X2 est dotée d’un boitier en acier poli-satiné de 42.5 mm (étanche 50 mètres) qui ne fait qu’un avec le mouvement. Pour ce modèle, Bruno Belamich, directeur de la création, est parvenu à concrétiser une idée pour le moins (d)étonnante : celle de « fusionner boîtier et mouvement en une seule pièce pour faire disparaître le boîtier et ne laisser apparaître que le mouvement ». Un peu comme si on portait le calibre directement sur son poignet !
Pour ce faire, Bell & Ross a développé un mouvement carré, le calibre extra-plat BR-CAL.381, qui reprend la forme emblématique des boitiers B&R. Traité de manière ultra-moderne (avec un petit côté brut « industriel » qui convient parfaitement à l’esprit avant-gardiste de cette pièce), ce dernier s’offre librement aux regards, enchâssé entre deux plaques de saphir antireflet fixées sur une étroite ceinture d’acier usinée d’une seule pièce.
Si le boîtier se rend ainsi quasiment invisible, le cadran en fait de même pour dévoiler le mouvement squelette, laissant ainsi percevoir tous les éléments et les rouages du mécanisme. Rappelons que le défi d’un mouvement squelette est d’évider au maximum la matière tout en respectant les contraintes mécaniques du modèle.
Si le boîtier se rend ainsi quasiment invisible, le cadran en fait de même pour dévoiler le mouvement squelette, laissant ainsi percevoir tous les éléments et les rouages du mécanisme. Rappelons que le défi d’un mouvement squelette est d’évider au maximum la matière tout en respectant les contraintes mécaniques du modèle.
Cette deux aiguilles (avec Superluminova) est dotée de surcroit d’un tourbillon volant placé à 6h et son remontage est assuré par un micro-rotor (situé à 9h) usiné dans un alliage très dense, le Reconit 18. Ce dernier est constitué de 95% de tungstène. Sa densité est de 18,5 à comparer à l’acier (8), à l’or pur (19,3), à l’or 18ct (15,5 à 16,5 selon la couleur) ou au platine (20,7).
Précisons qu’il est fondamental qu’un micro-rotor soit réalisé dans un métal dense afin d’optimiser le remontage du mécanisme. Avec un micro-rotor « dense », chaque mouvement du poignet, même infime, se transforme en énergie. L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator gris qui s’accorde parfaitement à l’esprit de la montre et se ferme par le biais d’une boucle déployante en acier poli-satiné.
Précisons qu’il est fondamental qu’un micro-rotor soit réalisé dans un métal dense afin d’optimiser le remontage du mécanisme. Avec un micro-rotor « dense », chaque mouvement du poignet, même infime, se transforme en énergie. L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator gris qui s’accorde parfaitement à l’esprit de la montre et se ferme par le biais d’une boucle déployante en acier poli-satiné.