L’avion Caudron Simoun est un petit avion français monomoteur à hélice des années 30 de quatre places qui fut utilisé aussi bien par l’aviation civile que militaire. C’est avec cet aéroplane que l’aviateur André Japy (1904-1974) tenta de rallier Paris à Tokyo en 1936.
Un projet un peu fou, qu’il parvint presque à réaliser puisqu’après avoir décollé de Hong-Kong, il s’écrasa à Saga, près du mont Sefuri dans le sud du Japon le 19 novembre 1936 à cause du mauvais temps.
L'accident de Japy survint 78 heures après avoir décollé de Paris. Le pilote aurait donc rejoint Tokyo, facilement, en moins de cent heures sans ce crash ! L’aviateur français fut blessé et transporté dans un hôpital de Fukuoka pour y être soigné.
Un projet un peu fou, qu’il parvint presque à réaliser puisqu’après avoir décollé de Hong-Kong, il s’écrasa à Saga, près du mont Sefuri dans le sud du Japon le 19 novembre 1936 à cause du mauvais temps.
L'accident de Japy survint 78 heures après avoir décollé de Paris. Le pilote aurait donc rejoint Tokyo, facilement, en moins de cent heures sans ce crash ! L’aviateur français fut blessé et transporté dans un hôpital de Fukuoka pour y être soigné.
Mais l’histoire n’est pas terminée puisqu’un membre de la famille d’André Japy, Nicolas Japy, 66 ans, reconstruit à l’identique un Caudron Simoun qui devrait achever ce « vol avorté » de 1936 courant 2025 et relier, enfin, Saga à Tokyo ! Un vol de 900 km environ.
Il s’agit du programme Red Wing ou « Akai Tsubasa Project » en japonais qui a inspiré la création de ce chronographe BR-03 94 en acier de 42 mm, étanche à 100 mètres, destiné au marché nippon uniquement.
Ce chrono embarque un calibre mécanique automatique d’une réserve de marche de 42h.
Il s’agit du programme Red Wing ou « Akai Tsubasa Project » en japonais qui a inspiré la création de ce chronographe BR-03 94 en acier de 42 mm, étanche à 100 mètres, destiné au marché nippon uniquement.
Ce chrono embarque un calibre mécanique automatique d’une réserve de marche de 42h.
Il arbore un très beau cadran rouge mat -pas trop vif- qui était la couleur de l’avion d’André Japy, qui s’harmonise très bien avec les deux compteurs crème dont l’un affiche la silhouette caractéristique du Caudron Simoun ; une gravure de l’avion est également visible sur le fond plein en acier du boitier.
On remarque aussi un beau bracelet en veau rouge avec des gravures à chaud ton sur ton qui évoquent les fameux rayons de soleil que l’on retrouve sur le drapeau japonais*.
Cette édition spéciale et limitée qui célèbre, les relations aériennes franco-japonaises est vendue uniquement chez Bell & Ross Japon.
*ce drapeau est le Kyokujitsuki : il arbore un cercle solaire rouge sur fond blanc entouré de rayons. Ce dernier est utilisé par les Forces japonaises d'autodéfense et la Force terrestre d'autodéfense japonaise et fut, historiquement, celui de l'Armée impériale japonaise et la Marine impériale japonaise.
On remarque aussi un beau bracelet en veau rouge avec des gravures à chaud ton sur ton qui évoquent les fameux rayons de soleil que l’on retrouve sur le drapeau japonais*.
Cette édition spéciale et limitée qui célèbre, les relations aériennes franco-japonaises est vendue uniquement chez Bell & Ross Japon.
*ce drapeau est le Kyokujitsuki : il arbore un cercle solaire rouge sur fond blanc entouré de rayons. Ce dernier est utilisé par les Forces japonaises d'autodéfense et la Force terrestre d'autodéfense japonaise et fut, historiquement, celui de l'Armée impériale japonaise et la Marine impériale japonaise.