« Dis donc, tu connais Bell & Ross ? » « Bien sûr, c’est une marque américaine née dans les années 50 ».
Toute l’étonnante histoire de Bell & Ross est résumée dans cet échange apparemment banal entre deux membres du personnel d’une entreprise fabriquant des composants horlogers.
Nous sommes en 1992 à Paris. Carlos Rosillo, jeune banquier d’affaires, a décidé de lancer une marque horlogère en compagnie d’un ami d’enfance, Bruno Belamich. Ils se sont connus à l’âge de quinze ans, au lycée Carnot, à Paris ; le premier fera ensuite HEC, le second, une école de design.
Au début des années 1990, la rencontre avec Helmut Sinn, pilote de chasse pendant la Seconde Guerre mondiale et fondateur, en 1961, de la marque horlogère Sinn, va donner le top départ de leur aventure.
D’emblée, Carlos et Bruno décident de créer des montres adaptées à un usage professionnel, chaque détail devant avoir son sens, sa fonction. Et question design fonctionnel, quoi de plus efficace qu’un tableau de bord d’avion ? Voilà, le concept est fixé. Reste à trouver un nom pour la marque.
Lorsque Bruno Belamich et Carlos Rosillo se penchent sur le logo de leur future marque, tous deux songent à un logo qui en pose les fondamentaux. Bruno Belamich le voit extrêmement simple : assez épuré, visuel, efficace, capable de faire rêver et d’évoquer un univers ou une ambiance… Tous deux ont déjà une grande idée de leur future marque : une vision à portée internationale. C’est pourquoi le logo est conçu dans l’esprit d’une vieille marque anglo-saxonne, qui évoquerait dans un univers vintage, des codes à la fois professionnels et militaires.
Toute l’étonnante histoire de Bell & Ross est résumée dans cet échange apparemment banal entre deux membres du personnel d’une entreprise fabriquant des composants horlogers.
Nous sommes en 1992 à Paris. Carlos Rosillo, jeune banquier d’affaires, a décidé de lancer une marque horlogère en compagnie d’un ami d’enfance, Bruno Belamich. Ils se sont connus à l’âge de quinze ans, au lycée Carnot, à Paris ; le premier fera ensuite HEC, le second, une école de design.
Au début des années 1990, la rencontre avec Helmut Sinn, pilote de chasse pendant la Seconde Guerre mondiale et fondateur, en 1961, de la marque horlogère Sinn, va donner le top départ de leur aventure.
D’emblée, Carlos et Bruno décident de créer des montres adaptées à un usage professionnel, chaque détail devant avoir son sens, sa fonction. Et question design fonctionnel, quoi de plus efficace qu’un tableau de bord d’avion ? Voilà, le concept est fixé. Reste à trouver un nom pour la marque.
Lorsque Bruno Belamich et Carlos Rosillo se penchent sur le logo de leur future marque, tous deux songent à un logo qui en pose les fondamentaux. Bruno Belamich le voit extrêmement simple : assez épuré, visuel, efficace, capable de faire rêver et d’évoquer un univers ou une ambiance… Tous deux ont déjà une grande idée de leur future marque : une vision à portée internationale. C’est pourquoi le logo est conçu dans l’esprit d’une vieille marque anglo-saxonne, qui évoquerait dans un univers vintage, des codes à la fois professionnels et militaires.
La contraction de leurs deux noms, Belamich et Rosillo fait vite évidence... Bruno Belamich souhaite avant tout une typographie fonctionnelle, lisible, en référence au marquage professionnel et utilitaire.
Le choix des caractères de typographie Din* et Franklin, couramment employés dans les univers de l’aviation et de la sécurité s’imposent alors.
En touche finale, l’esperluette vient compléter le logo qui prend la forme d’une montre.
Ce sigle souvent employé dans le domaine de la signalétique fonctionnelle a été choisi comme symbole d’union. Le logo n’a jamais été modifié depuis ses origines, démontrant, si besoin était, la corrélation qui existe entre l’esprit d’hier et la marque d’aujourd’hui.
La première collection, forte de douze références, toutes avec boîtier rond, met deux ans à se concrétiser. Cherchant des fournisseurs, Carlos se présente un jour chez l’un deux, portant l’un de ses prototypes au poignet. Et c’est à cette occasion que, découvrant cette montre au nom anglo-saxon, un fabricant de composants posera la fameuse question à son collègue : « Dis donc, tu connais Bell & Ross ? »… Carlos Rosillo comprit à cet instant que certains noms étaient porteurs d’images, d’histoire…
Dès la parution dans la presse d’un article annonçant la naissance officielle de la marque, le 13 septembre 1994, plusieurs détaillants se mettent sur les rangs pour la diffuser. L’aventure peut vraiment commencer. Une étape importante survient en 1997 avec l’entrée de Chanel dans le capital de la société, insufflant un nouvel élan à la marque dont les montres sont désormais fabriquées en Suisse, à la Chaux-de-Fonds.
Côté créativité, la recherche constante de la fonctionnalité ramène toujours Bruno au « militaire » et en 2005, les deux compères décident de coller plus que jamais à l’esprit initial « horloge de bord ». Le résultat est présenté au public sous le nom de BR 01. Un choc ! Face au gigantesque boîtier carré de 46 mm (« le plus petit de tous les prototypes ! » précise Carlos), certains détaillants affirment même vouloir arrêter de diffuser la marque. Mais dans le public, si certains détestent, d’autres (les plus nombreux !) adorent.
Le choix des caractères de typographie Din* et Franklin, couramment employés dans les univers de l’aviation et de la sécurité s’imposent alors.
En touche finale, l’esperluette vient compléter le logo qui prend la forme d’une montre.
Ce sigle souvent employé dans le domaine de la signalétique fonctionnelle a été choisi comme symbole d’union. Le logo n’a jamais été modifié depuis ses origines, démontrant, si besoin était, la corrélation qui existe entre l’esprit d’hier et la marque d’aujourd’hui.
La première collection, forte de douze références, toutes avec boîtier rond, met deux ans à se concrétiser. Cherchant des fournisseurs, Carlos se présente un jour chez l’un deux, portant l’un de ses prototypes au poignet. Et c’est à cette occasion que, découvrant cette montre au nom anglo-saxon, un fabricant de composants posera la fameuse question à son collègue : « Dis donc, tu connais Bell & Ross ? »… Carlos Rosillo comprit à cet instant que certains noms étaient porteurs d’images, d’histoire…
Dès la parution dans la presse d’un article annonçant la naissance officielle de la marque, le 13 septembre 1994, plusieurs détaillants se mettent sur les rangs pour la diffuser. L’aventure peut vraiment commencer. Une étape importante survient en 1997 avec l’entrée de Chanel dans le capital de la société, insufflant un nouvel élan à la marque dont les montres sont désormais fabriquées en Suisse, à la Chaux-de-Fonds.
Côté créativité, la recherche constante de la fonctionnalité ramène toujours Bruno au « militaire » et en 2005, les deux compères décident de coller plus que jamais à l’esprit initial « horloge de bord ». Le résultat est présenté au public sous le nom de BR 01. Un choc ! Face au gigantesque boîtier carré de 46 mm (« le plus petit de tous les prototypes ! » précise Carlos), certains détaillants affirment même vouloir arrêter de diffuser la marque. Mais dans le public, si certains détestent, d’autres (les plus nombreux !) adorent.
Devenue emblématique de la marque, la montre sera déclinée par la suite dans de nombreuses versions selon la dimension du boîtier (46 mm, 42 mm et 39 mm), la fonctionnalité du mécanisme (chronographe, grande date, réserve de marche, tourbillon...) et les matériaux (acier, titane, carbone, or).
Le succès permettra à la collection Aviation BR, identifiable du premier coup d’œil, de ne plus être réservée exclusivement aux utilisateurs professionnels et de séduire les amateurs d’horlogerie de caractère ainsi que les collectionneurs de séries limitées.
Bell & Ross va ainsi décliner à l’intention du grand public tous les instruments de bord d’un avion sous forme de montres pleines de personnalité (radar, altimètre, horizon artificiel, etc.) avant de concevoir une collection Vintage rendant hommage aux montres militaires d’hier.
Parallèlement, conçue pour répondre aux exigences les plus strictes grâce au respect de quatre principes fondamentaux (lisibilité, fonctionnalité, précision et fiabilité), la BR a continué d’attirer l’attention de corps d’élite comme le GIGN, l’Armée de l’Air, la section déminage de la Sécurité Civile, la Marine, les sous-mariniers et mission Space Lab qui en ont fait leur montre officielle.
Ces derniers mois, Bell & Ross a poursuivi son vol ascensionnel en dévoilant deux outils de navigation inspirés de la Seconde Guerre mondiale : la Vintage WW1 Monopoussoir héritière des premiers chronographes de poignet utilisés par les pilotes dans les années 1920 et la Vintage WW2 Régulateur Heritage rendant hommage aux instruments de mesure du temps utilisés par les navigateurs de bombardier dans les années 30-40.
L’histoire continue…
Le succès permettra à la collection Aviation BR, identifiable du premier coup d’œil, de ne plus être réservée exclusivement aux utilisateurs professionnels et de séduire les amateurs d’horlogerie de caractère ainsi que les collectionneurs de séries limitées.
Bell & Ross va ainsi décliner à l’intention du grand public tous les instruments de bord d’un avion sous forme de montres pleines de personnalité (radar, altimètre, horizon artificiel, etc.) avant de concevoir une collection Vintage rendant hommage aux montres militaires d’hier.
Parallèlement, conçue pour répondre aux exigences les plus strictes grâce au respect de quatre principes fondamentaux (lisibilité, fonctionnalité, précision et fiabilité), la BR a continué d’attirer l’attention de corps d’élite comme le GIGN, l’Armée de l’Air, la section déminage de la Sécurité Civile, la Marine, les sous-mariniers et mission Space Lab qui en ont fait leur montre officielle.
Ces derniers mois, Bell & Ross a poursuivi son vol ascensionnel en dévoilant deux outils de navigation inspirés de la Seconde Guerre mondiale : la Vintage WW1 Monopoussoir héritière des premiers chronographes de poignet utilisés par les pilotes dans les années 1920 et la Vintage WW2 Régulateur Heritage rendant hommage aux instruments de mesure du temps utilisés par les navigateurs de bombardier dans les années 30-40.
L’histoire continue…