Le musée du Temps possède une importante collection de « grandes horloges », ces grands mouvements mécaniques abrités par les clochers des églises, qui donnaient l’heure aux villes et aux villages. Une quinzaine de ces horloges d’édifice reprennent vie sous la charpente du Palais Granvelle, et laissent admirer leurs rouages en fonctionnement.
Le temps collectif
Ces horloges permettent de retracer la grande histoire des donneurs de temps qui rythmaient la vie sociale des communautés humaines. Par l’intermédiaire du cadran, bien en vue sur les bâtiments officiels, mais surtout grâce aux cloches qui transforment l’heure en signal sonore, ces mouvements mécaniques ont fourni pendant des siècles une référence temporelle collective, sur laquelle se sont fondés les rythmes sociaux.
Mécanismes en mouvement
L’exposition est l’occasion de se plonger dans le détail de la technique des horlogers, grâce à la grande taille des mécanismes présentés, qui permet d’observer le jeu des moindres rouages. Du mouvement d’horloge vertical, dans une cage métallique, jusqu’aux mouvements en ligne, plus rationalisés et moins encombrants, l’évolution de l’horloge d’édifice est évoquée à travers des pièces qui s’échelonnent du XVIIIe au XXe siècle.
Histoire d’horloges
Les mouvements d’horloges présentés proviennent de toutes les régions et sont l’œuvre des fabricants les plus réputés. Ils permettent de présenter les plus grands noms de l’horlogerie d’édifice et de mettre en avant plusieurs foyers de production horlogère, de Lepaute à Paris à Ungerer à Strasbourg, jusqu’aux jurassiens Paget ou
Odobey.
Les horloges monumentales de Besançon ne sont pas oubliées : du carillon de Saint-Maurice à la méridienne de la Madeleine en passant par l’horloge astronomique de la cathédrale, l’exposition s’offre une promenade à travers les clochers de la capitale comtoise.
Le temps collectif
Ces horloges permettent de retracer la grande histoire des donneurs de temps qui rythmaient la vie sociale des communautés humaines. Par l’intermédiaire du cadran, bien en vue sur les bâtiments officiels, mais surtout grâce aux cloches qui transforment l’heure en signal sonore, ces mouvements mécaniques ont fourni pendant des siècles une référence temporelle collective, sur laquelle se sont fondés les rythmes sociaux.
Mécanismes en mouvement
L’exposition est l’occasion de se plonger dans le détail de la technique des horlogers, grâce à la grande taille des mécanismes présentés, qui permet d’observer le jeu des moindres rouages. Du mouvement d’horloge vertical, dans une cage métallique, jusqu’aux mouvements en ligne, plus rationalisés et moins encombrants, l’évolution de l’horloge d’édifice est évoquée à travers des pièces qui s’échelonnent du XVIIIe au XXe siècle.
Histoire d’horloges
Les mouvements d’horloges présentés proviennent de toutes les régions et sont l’œuvre des fabricants les plus réputés. Ils permettent de présenter les plus grands noms de l’horlogerie d’édifice et de mettre en avant plusieurs foyers de production horlogère, de Lepaute à Paris à Ungerer à Strasbourg, jusqu’aux jurassiens Paget ou
Odobey.
Les horloges monumentales de Besançon ne sont pas oubliées : du carillon de Saint-Maurice à la méridienne de la Madeleine en passant par l’horloge astronomique de la cathédrale, l’exposition s’offre une promenade à travers les clochers de la capitale comtoise.
« Horloges d’édifice »
Du 21 avril au 16 septembre 2012
Musée du Temps
Palais Granvelle
96, Grande Rue
25000 Besançon
Du 21 avril au 16 septembre 2012
Musée du Temps
Palais Granvelle
96, Grande Rue
25000 Besançon