Voici un bracelet issu d’une toute nouvelle collaboration entre l’Atelier du Bracelet Parisien (ABP) et Montres-de-luxe.com (MDL).
Chaque mois, nous vous présenterons donc une création imaginée par Yann Perrin, directeur d’ABP et Jean-Philippe Tarot, rédacteur en chef de www.montres-de-luxe.com.
L’idée est simple, vous proposer des articles originaux dans des cuirs rares et réalisées en séries limitées de dix exemplaires uniquement (sur-commande).
Le tout premier bracelet-montre de cette collection logiquement baptisée MDLxABP met le cuir d’éléphant à l’honneur. Une peau souvent méconnue du grand public, parfois controversée*, mais qui ne ressemble à aucune autre avec son aspect un peu granuleux, rugueux voire râpeux.
Cette nouveauté a été créée pour une montre classique que l’on veut rendre un peu plus originale, voire décalée. Le choix de la couleur kaki s’est imposé car il s’associe parfaitement à un boitier en acier ou or rose (moins intéressant sur l’or jaune) doté d’un cadran gris ardoise ; couleur courante dans les garde-temps trois aiguilles avec ou sans date.
Ce bracelet est plat (aucun bombé) de manière à correspondre au design d’une montre habillée. Cependant, et afin de lui offrir un petit « twist » d’originalité, les passants (un fixe / un mobile) ont été réalisés en éléphant marron et six points d’arrêt en fil rouge vif viennent ponctuer cette pièce qui arbore une doublure discrète en veau chocolat water-resistant. A noter que pour conserver l’unité de la peau de pachyderme, ce bracelet est réalisé sans aucune couture.
Le modèle MDLxABP# 1 est disponible sur-commande (et donc à vos mesures) uniquement dans cette configuration chez ABP en une série limitée de dix exemplaires. La montre présentée en photo est une Juvenia Sextant.
Chaque mois, nous vous présenterons donc une création imaginée par Yann Perrin, directeur d’ABP et Jean-Philippe Tarot, rédacteur en chef de www.montres-de-luxe.com.
L’idée est simple, vous proposer des articles originaux dans des cuirs rares et réalisées en séries limitées de dix exemplaires uniquement (sur-commande).
Le tout premier bracelet-montre de cette collection logiquement baptisée MDLxABP met le cuir d’éléphant à l’honneur. Une peau souvent méconnue du grand public, parfois controversée*, mais qui ne ressemble à aucune autre avec son aspect un peu granuleux, rugueux voire râpeux.
Cette nouveauté a été créée pour une montre classique que l’on veut rendre un peu plus originale, voire décalée. Le choix de la couleur kaki s’est imposé car il s’associe parfaitement à un boitier en acier ou or rose (moins intéressant sur l’or jaune) doté d’un cadran gris ardoise ; couleur courante dans les garde-temps trois aiguilles avec ou sans date.
Ce bracelet est plat (aucun bombé) de manière à correspondre au design d’une montre habillée. Cependant, et afin de lui offrir un petit « twist » d’originalité, les passants (un fixe / un mobile) ont été réalisés en éléphant marron et six points d’arrêt en fil rouge vif viennent ponctuer cette pièce qui arbore une doublure discrète en veau chocolat water-resistant. A noter que pour conserver l’unité de la peau de pachyderme, ce bracelet est réalisé sans aucune couture.
Le modèle MDLxABP# 1 est disponible sur-commande (et donc à vos mesures) uniquement dans cette configuration chez ABP en une série limitée de dix exemplaires. La montre présentée en photo est une Juvenia Sextant.
*Rappelons qu’à l’instar des crocodiles et des alligators, l’abattage des éléphants est régi par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, plus connue sous le nom de « Convention de Washington ».
Dans ce contexte, les peaux d’éléphants utilisées dans l’industrie du cuir en France proviennent exclusivement d’animaux d’élevage ou plus précisément, de groupes de pachydermes dont l’abattage est régulé en fonction de la population dans le pays d’origine.
Ainsi, certaines nations d’Afrique où les éléphants sont suffisamment nombreux bénéficieront de quotas d’abattage, alors que d’autres n’obtiendront pas les autorisations nécessaires car leur cheptel n’est pas assez important.
En outre, il faut savoir que chaque peau d’éléphant possède un code barre (comme le tatouage pour les chiens) qui l’identifie et assure sa traçabilité d’un pays à l’autre (traçabilité qui démarre de l’abattage et se poursuit jusqu’à la vente au détail des produits fabriqués). En aucun cas, les cuirs d’éléphant que l’on trouve en France ne peuvent donc provenir d’animaux de braconnage.
Dans ce contexte, les peaux d’éléphants utilisées dans l’industrie du cuir en France proviennent exclusivement d’animaux d’élevage ou plus précisément, de groupes de pachydermes dont l’abattage est régulé en fonction de la population dans le pays d’origine.
Ainsi, certaines nations d’Afrique où les éléphants sont suffisamment nombreux bénéficieront de quotas d’abattage, alors que d’autres n’obtiendront pas les autorisations nécessaires car leur cheptel n’est pas assez important.
En outre, il faut savoir que chaque peau d’éléphant possède un code barre (comme le tatouage pour les chiens) qui l’identifie et assure sa traçabilité d’un pays à l’autre (traçabilité qui démarre de l’abattage et se poursuit jusqu’à la vente au détail des produits fabriqués). En aucun cas, les cuirs d’éléphant que l’on trouve en France ne peuvent donc provenir d’animaux de braconnage.