Les répétitions minutes font partie de ces grandes complications que l’on pourrait qualifier de petits chefs-d’œuvre mécaniques. En effet, au mouvement s’ajoute un mécanisme de sonnerie composé notamment de marteaux frappant sur un ressort timbre.
Les différents matériaux nécessaires à sa conception doivent quant à eux être dotés de qualités acoustiques évidentes. Enfin, l’ensemble des composants doit être de taille minime afin de pouvoir entrer dans une boîte aux dimensions restreintes.
Ce savoir-faire nécessite, bien évidemment, de nombreuses années d’expérience ainsi qu’une dextérité hors pair de la part des horlogers capables de créer et d’assembler ces mécanismes ; plus d’un mois de travail est nécessaire à la réalisation d’une répétition minutes.
Les différents matériaux nécessaires à sa conception doivent quant à eux être dotés de qualités acoustiques évidentes. Enfin, l’ensemble des composants doit être de taille minime afin de pouvoir entrer dans une boîte aux dimensions restreintes.
Ce savoir-faire nécessite, bien évidemment, de nombreuses années d’expérience ainsi qu’une dextérité hors pair de la part des horlogers capables de créer et d’assembler ces mécanismes ; plus d’un mois de travail est nécessaire à la réalisation d’une répétition minutes.
Breguet perpétue cet art depuis près de 250 ans au sein de sa manufacture située à la Vallée de Joux ; pour rappel, Abraham-Louis Breguet créa dès 1783 les premières montres à répétition sonnant sur une lame ressort au lieu du timbre cloche utilisé jusqu’alors.
Outre l’expertise d’un horloger spécialisé en hautes complications, celle d’un acousticien en quête constante du son parfait est indispensable à la conception de la pièce (chez Patek Philippe par exemple, toutes les montres répétitions minutes sont vérifiées par Thierry Stern avant qu’elles soient livrées au client final).
Une fois l’assemblage du mouvement réalisé, un travail autour de l’accordage du timbre s’opère en deux phases : harmonique puis mélodique. C’est au sein d’une chambre anéchoïque spécialement dédiée à cette complication horlogère que l’expert va tout d’abord rechercher la fréquence de résonance de chaque timbre.
Outre l’expertise d’un horloger spécialisé en hautes complications, celle d’un acousticien en quête constante du son parfait est indispensable à la conception de la pièce (chez Patek Philippe par exemple, toutes les montres répétitions minutes sont vérifiées par Thierry Stern avant qu’elles soient livrées au client final).
Une fois l’assemblage du mouvement réalisé, un travail autour de l’accordage du timbre s’opère en deux phases : harmonique puis mélodique. C’est au sein d’une chambre anéchoïque spécialement dédiée à cette complication horlogère que l’expert va tout d’abord rechercher la fréquence de résonance de chaque timbre.
Une fois cette note déterminée, un travail est réalisé afin de trouver la mélodie se rapprochant le plus de la signature sonore Breguet. Chaque garde-temps étant conçu à la main, l’acoustique diffère d’une pièce à une autre, ce qui rend cette complication plus unique encore.
Contrairement aux apparences, le cadran minimaliste de la pièce 7637 nécessite un savoir-faire que peu d’artisans pratiquent encore aujourd’hui : la technique de l’émail grand feu. Mélange de silice et d’oxydes broyés, les poudres colorées sont dissoutes dans de l’eau avant d’être appliquées sur le cadran, selon différentes méthodes.
Le secret réside ensuite dans le processus de cuisson. En effet, chaque couche et couleur appliquées requièrent un passage additionnel au four, selon une température définie de plus de 800 degrés ainsi qu’une durée de cuisson savamment programmée.
Contrairement aux apparences, le cadran minimaliste de la pièce 7637 nécessite un savoir-faire que peu d’artisans pratiquent encore aujourd’hui : la technique de l’émail grand feu. Mélange de silice et d’oxydes broyés, les poudres colorées sont dissoutes dans de l’eau avant d’être appliquées sur le cadran, selon différentes méthodes.
Le secret réside ensuite dans le processus de cuisson. En effet, chaque couche et couleur appliquées requièrent un passage additionnel au four, selon une température définie de plus de 800 degrés ainsi qu’une durée de cuisson savamment programmée.
Au contact de la chaleur, l’émail s’enflamme alors et fond pour créer chacune des couches. Plusieurs semaines sont parfois nécessaires à la réalisation d’un seul cadran afin d’obtenir la teinte souhaitée. Sur ce dernier, les chiffres arabes Breguet, la minuterie ainsi que le logo Breguet, sont mis en valeur par le biais d’un coloris argent poudré.
Les heures et minutes sont affichées par les aiguilles Breguet en or « pomme » évidées. Enfin, l’actionnement de la répétition minutes s’opère via le verrou situé à 9 heures.
La boîte de la montre mesure 42 mm et est nouvellement proposée en or rose. Elle renferme le calibre 567.2 dont le balancier oscille à une fréquence de 2,5 Hz. Lorsque l’on retourne la montre, le mouvement mécanique à remontage manuel entièrement ciselé à la main se laisse admirer grâce au fond saphir, c’est notamment le cas des marteaux réalisés en acier poli bloqué.
Ce « mouvement fait preuve d’ingéniosité dans l’emplacement des timbres, porte-timbres et marteaux. En effet, les timbres étant fixés sur la carrure au lieu de la platine. Ainsi, ces derniers vibrent directement et transmettent le son de manière optimisée » précise la marque dans son communiqué.
Par ailleurs, ils sont façonnés dans l’or afin d’apporter une qualité sonore harmonieuse et riche en partiels. Ce matériau offre en outre un autre avantage.
Etant donné que la boîte est également conçue en or, les éléments partagent la même impédance acoustique et apportent donc une meilleure transmission et performance du son. Une caractéristique qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet par Breguet.
La nouvelle Classique Répétition Minutes est proposée sur un bracelet en alligator noir muni d’une boucle déployante triple lame en or. Dans la même gamme, la montre est également disponible en or blanc, avec cadran émail grand feu, bracelet alligator, ces deux derniers éléments ayant une teinte bleu nuit.
Les heures et minutes sont affichées par les aiguilles Breguet en or « pomme » évidées. Enfin, l’actionnement de la répétition minutes s’opère via le verrou situé à 9 heures.
La boîte de la montre mesure 42 mm et est nouvellement proposée en or rose. Elle renferme le calibre 567.2 dont le balancier oscille à une fréquence de 2,5 Hz. Lorsque l’on retourne la montre, le mouvement mécanique à remontage manuel entièrement ciselé à la main se laisse admirer grâce au fond saphir, c’est notamment le cas des marteaux réalisés en acier poli bloqué.
Ce « mouvement fait preuve d’ingéniosité dans l’emplacement des timbres, porte-timbres et marteaux. En effet, les timbres étant fixés sur la carrure au lieu de la platine. Ainsi, ces derniers vibrent directement et transmettent le son de manière optimisée » précise la marque dans son communiqué.
Par ailleurs, ils sont façonnés dans l’or afin d’apporter une qualité sonore harmonieuse et riche en partiels. Ce matériau offre en outre un autre avantage.
Etant donné que la boîte est également conçue en or, les éléments partagent la même impédance acoustique et apportent donc une meilleure transmission et performance du son. Une caractéristique qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet par Breguet.
La nouvelle Classique Répétition Minutes est proposée sur un bracelet en alligator noir muni d’une boucle déployante triple lame en or. Dans la même gamme, la montre est également disponible en or blanc, avec cadran émail grand feu, bracelet alligator, ces deux derniers éléments ayant une teinte bleu nuit.