Au-delà d’une simple décoration du cadran, il s’agit d’un métier particulièrement pointu qui exige rigueur, patience et maîtrise technique. Après les étapes de broyage et de nettoyage, l’émail est appliqué humide sur le cadran en or avec un pinceau, en une couche fine et régulière.
Il est ensuite chauffé dans un four à plus de 800°C. Le résultat final est obtenu en accumulant plusieurs couches d’émail jusqu’à atteindre la couleur souhaitée. Pour cette création, il s’agit d’une teinte mêlant plusieurs nuances de bleus.
Le procédé se conclut par un polissage doux suivi d’un dernier passage au four conférant au cadran sa brillance naturelle. Les éléments en or de ce dernier sont ensuite anglés dans l’atelier dédié à cet autre véritable métier d’art qu’est… l’anglage.
Il est ensuite chauffé dans un four à plus de 800°C. Le résultat final est obtenu en accumulant plusieurs couches d’émail jusqu’à atteindre la couleur souhaitée. Pour cette création, il s’agit d’une teinte mêlant plusieurs nuances de bleus.
Le procédé se conclut par un polissage doux suivi d’un dernier passage au four conférant au cadran sa brillance naturelle. Les éléments en or de ce dernier sont ensuite anglés dans l’atelier dédié à cet autre véritable métier d’art qu’est… l’anglage.
Vient ensuite l’application des différentes indications du cadran. Suivant une méthode bien particulière, les artisans apportent aux chiffres Breguet, aux tours d’heures et des secondes ainsi qu’au logo un véritable effet de relief.
Les déclinaisons bleutées du cadran font élégamment ressortir ces indications au coloris argent poudré. Un autre détail subtil se loge au-dessus de la cage de tourbillon : la fameuse signature secrète chère à la marque horlogère.
Introduite en 1795 par A-L Breguet, il s’agissait d’un gage d’authenticité qui servait à lutter contre la contrefaçon (déjà), une pratique très courante à l’époque. Breguet l’appose aujourd’hui sur la majorité de ses modèles à des fins décoratives, en hommage à son fondateur.
Les déclinaisons bleutées du cadran font élégamment ressortir ces indications au coloris argent poudré. Un autre détail subtil se loge au-dessus de la cage de tourbillon : la fameuse signature secrète chère à la marque horlogère.
Introduite en 1795 par A-L Breguet, il s’agissait d’un gage d’authenticité qui servait à lutter contre la contrefaçon (déjà), une pratique très courante à l’époque. Breguet l’appose aujourd’hui sur la majorité de ses modèles à des fins décoratives, en hommage à son fondateur.