Première montre-bracelet jamais réalisée -eh oui, c’était pour une femme-, la création N°2639 fut un trésor d’inventivité dès ses origines, en 1810.
Breguet choisira de s’inspirer de ce modèle avant-gardiste et de la cliente à l’origine de sa commande, Caroline Murat, Reine de Naples, pour son emblématique collection contemporaine.
Orner les garde-temps de pierres précieuses est une tradition chère à l’horlogerie depuis plus
de cinq siècles. Contrairement au sertissage traditionnel concentrique, la technique en « neige » (384 diamants sur le cadran) met en scène des pierres de tailles différentes qui recouvrent le cadran, afin de minimiser la matière apparente sur laquelle elles reposent. Il en résulte une brillance inégalée.
Breguet choisira de s’inspirer de ce modèle avant-gardiste et de la cliente à l’origine de sa commande, Caroline Murat, Reine de Naples, pour son emblématique collection contemporaine.
Orner les garde-temps de pierres précieuses est une tradition chère à l’horlogerie depuis plus
de cinq siècles. Contrairement au sertissage traditionnel concentrique, la technique en « neige » (384 diamants sur le cadran) met en scène des pierres de tailles différentes qui recouvrent le cadran, afin de minimiser la matière apparente sur laquelle elles reposent. Il en résulte une brillance inégalée.
Breguet complète le cadran de la Reine de Naples 8938 par un tour d’heure excentré à 6h en nacre naturelle blanche, sur lequel dansent les traditionnels chiffres Breguet, de même que les fameuses aiguilles Breguet « à pomme ».
On remarque que le sertissage se poursuit sur le réhaut, la lunette et l’attache avec des diamants taille brillant, ainsi que sur la couronne avec un diamant dans une rare taille briolette. En tout, plus de 3 carats de diamants illuminent ce garde-temps.
Breguet a doté sa nouvelle Reine d’un mouvement mécanique à remontage automatique, avec échappement et spiral en silicium. Ce dernier prend vie grâce au mouvement d’une masse oscillante en platine finement guillochée. Sa réserve de marche, standard, est de 45h.
On remarque que le sertissage se poursuit sur le réhaut, la lunette et l’attache avec des diamants taille brillant, ainsi que sur la couronne avec un diamant dans une rare taille briolette. En tout, plus de 3 carats de diamants illuminent ce garde-temps.
Breguet a doté sa nouvelle Reine d’un mouvement mécanique à remontage automatique, avec échappement et spiral en silicium. Ce dernier prend vie grâce au mouvement d’une masse oscillante en platine finement guillochée. Sa réserve de marche, standard, est de 45h.
Elle est commercialisée en or blanc avec un bracelet bleu ciel et en or rose avec un bracelet orange, sur boucle déployante proposée dans le même or que la boitier et sertie de 28 diamants taille brillant.
Les créations de la maison ont de tout temps séduit et fasciné la femme à l’image d’illustres clientes telles que Marie-Antoinette, reine de France, la marquise de Condorcet, ou encore l’impératrice Joséphine.
Parmi les ferventes admiratrices d’A.-L. Breguet figure également Caroline Murat, à laquelle il remet en 1812 une pièce totalement inédite pour l’époque : la première montre-bracelet. Sa forme ovale n’en est pas moins exceptionnelle.
Les créations de la maison ont de tout temps séduit et fasciné la femme à l’image d’illustres clientes telles que Marie-Antoinette, reine de France, la marquise de Condorcet, ou encore l’impératrice Joséphine.
Parmi les ferventes admiratrices d’A.-L. Breguet figure également Caroline Murat, à laquelle il remet en 1812 une pièce totalement inédite pour l’époque : la première montre-bracelet. Sa forme ovale n’en est pas moins exceptionnelle.