Le mécanisme du tourbillon à fusée-chaîne * est désormais parsemé de touches de bleu. Et afin
d’obtenir une uniformité visuelle, différents traitements ont été utilisés sur l’ensemble des composants. De fait, la cage du tourbillon ainsi que le cadran sont habillés de revêtements bleus, quant aux maillons de la chaîne, ils sont bleuis thermiquement.
Une nouveauté dans la lignée esthétique de la pièce Tradition Quantième Rétrograde 7597 lancée en mai dernier qui jouaient sur les contrastes de bleu et d’anthracite.
On le sait, à l’origine au 18ème siècle, le tourbillon viser à parer le manque de précision des mouvements mécaniques dû à la position verticale des montres de poche placées dans les vestons des gentlemen.
Un challenge que releva Abraham-Louis Breguet qui, le 26 juin 1801, déposa un brevet pour la création du premier tourbillon. Désormais, cette complication reste l’une des plus appréciées des amateurs de belle horlogerie, un « graal horloger » en quelque sorte.
d’obtenir une uniformité visuelle, différents traitements ont été utilisés sur l’ensemble des composants. De fait, la cage du tourbillon ainsi que le cadran sont habillés de revêtements bleus, quant aux maillons de la chaîne, ils sont bleuis thermiquement.
Une nouveauté dans la lignée esthétique de la pièce Tradition Quantième Rétrograde 7597 lancée en mai dernier qui jouaient sur les contrastes de bleu et d’anthracite.
On le sait, à l’origine au 18ème siècle, le tourbillon viser à parer le manque de précision des mouvements mécaniques dû à la position verticale des montres de poche placées dans les vestons des gentlemen.
Un challenge que releva Abraham-Louis Breguet qui, le 26 juin 1801, déposa un brevet pour la création du premier tourbillon. Désormais, cette complication reste l’une des plus appréciées des amateurs de belle horlogerie, un « graal horloger » en quelque sorte.
« Le dispositif de transmission du tourbillon fusée-chaîne contenu dans le nouveau Tourbillon 7047 permet d’optimiser la régularité de marche de la montre en lui garantissant un couple constant, quel que soit son niveau de remontage » assure le communiqué de la marque.
Ainsi, lorsque le barillet est complètement armé, il délivre le maximum de sa force. La chaîne agit alors sur le haut de la fusée et donc, sur sa plus petite circonférence. Au fur et à mesure que la chaîne se déroule, son couple diminue mais agit en parallèle sur la partie la plus large de la fusée : sa base. La force d’énergie délivrée s’avère donc constante.
Résolument contemporain tout en affichant les codes emblématiques de la marque, ce nouveau Tourbillon 7047 reprend les signatures de la maison horlogère que sont le guillochage « Clous de Paris » sur son cadran excentré en or, les chiffres romains traditionnels ainsi que les aiguilles « pomme ». Tout comme les montres dont elle tient ses origines, son cadran est fixé par trois vis.
Au cœur de son boîtier de 41 mm (étanche à 30 mètres) en platine bat le calibre 569. Ce mouvement rhodié à remontage manuel renferme 542 composants. Celui-ci est équipé d’un échappement à ancre en ligne inversée ainsi que des cornes en silicium. Ce matériau est également utilisé pour la réalisation du spiral Breguet.
Les propriétés du silicium sont multiples. En plus d’être résistant à la corrosion ainsi qu’à l’usure, il est insensible à l’influence des champs magnétiques et améliore la chronométrie du garde-temps. Finalement, le balancier de la Tradition Tourbillon 7047 oscille à une fréquence de 2,5 Hz et sa réserve de marche affiche 50 heures.
Avec son esthétisme mêlant héritage et modernité, la collection Tradition, dévoilée en 2005, est la première ligne de la marque à présenter, côté cadran, l’ensemble des organes du mouvement, démontrant ainsi son inspiration des montres de souscription et à tact.
Ce nouveau modèle est proposé sur un bracelet bleu nuit en alligator, muni d’une boucle déployante à triple lame réalisée en platine.
*système que l'on retrouve aussi chez Zenith, Lange & Sohne, Ferdinand Berthoud ou encore Romain Gauthier ou Cabestan. Des marques qui se comptent sur les doigts des deux mains.
Ainsi, lorsque le barillet est complètement armé, il délivre le maximum de sa force. La chaîne agit alors sur le haut de la fusée et donc, sur sa plus petite circonférence. Au fur et à mesure que la chaîne se déroule, son couple diminue mais agit en parallèle sur la partie la plus large de la fusée : sa base. La force d’énergie délivrée s’avère donc constante.
Résolument contemporain tout en affichant les codes emblématiques de la marque, ce nouveau Tourbillon 7047 reprend les signatures de la maison horlogère que sont le guillochage « Clous de Paris » sur son cadran excentré en or, les chiffres romains traditionnels ainsi que les aiguilles « pomme ». Tout comme les montres dont elle tient ses origines, son cadran est fixé par trois vis.
Au cœur de son boîtier de 41 mm (étanche à 30 mètres) en platine bat le calibre 569. Ce mouvement rhodié à remontage manuel renferme 542 composants. Celui-ci est équipé d’un échappement à ancre en ligne inversée ainsi que des cornes en silicium. Ce matériau est également utilisé pour la réalisation du spiral Breguet.
Les propriétés du silicium sont multiples. En plus d’être résistant à la corrosion ainsi qu’à l’usure, il est insensible à l’influence des champs magnétiques et améliore la chronométrie du garde-temps. Finalement, le balancier de la Tradition Tourbillon 7047 oscille à une fréquence de 2,5 Hz et sa réserve de marche affiche 50 heures.
Avec son esthétisme mêlant héritage et modernité, la collection Tradition, dévoilée en 2005, est la première ligne de la marque à présenter, côté cadran, l’ensemble des organes du mouvement, démontrant ainsi son inspiration des montres de souscription et à tact.
Ce nouveau modèle est proposé sur un bracelet bleu nuit en alligator, muni d’une boucle déployante à triple lame réalisée en platine.
*système que l'on retrouve aussi chez Zenith, Lange & Sohne, Ferdinand Berthoud ou encore Romain Gauthier ou Cabestan. Des marques qui se comptent sur les doigts des deux mains.