Vendue le 30 septembre 1825 au Duc de Berwick, la première montre, n°4039 a été adjugée pour un montant de 70'000 francs suisses. Il s’agit d’un exemple exceptionnel d’une montre plate à répétition des demi-quarts Breguet avec un échappement à ancre sur le principe des chronomètres.
Reflétant l’avant-garde technique caractéristique de la maison, cette pièce est également dotée d’un calibre 21''', d’une indication de la date, d’un cadran argenté guilloché et des célèbres aiguilles Breguet.
La deuxième acquisition n’est pas des moindres. Il s’agit du troisième tourbillon jamais créé par Abraham-Louis Breguet et du premier avec une rotation de la cage en quatre minutes. Plus connu comme la no°1176, ce chronomètre de poche affiche un indicateur de réserve de marche de 35 heures, le tour d’heures, les secondes courantes et les secondes à la demande.
Reflétant l’avant-garde technique caractéristique de la maison, cette pièce est également dotée d’un calibre 21''', d’une indication de la date, d’un cadran argenté guilloché et des célèbres aiguilles Breguet.
La deuxième acquisition n’est pas des moindres. Il s’agit du troisième tourbillon jamais créé par Abraham-Louis Breguet et du premier avec une rotation de la cage en quatre minutes. Plus connu comme la no°1176, ce chronomètre de poche affiche un indicateur de réserve de marche de 35 heures, le tour d’heures, les secondes courantes et les secondes à la demande.
Il est également doté d’un échappement naturel conçu par le maître en 1789. Ayant appartenu au Comte Potocki, l'une des figures polonaises les plus emblématiques du siècle des Lumières, cette pièce prestigieuse a été acquise pour plus de 680'000 francs suisses.
La marque va intégrer ces chefs-d’œuvre au sein de son importante collection de pièces anciennes. « Leur acquisition démontre une nouvelle fois la volonté de Marc A. Hayek de préserver le patrimoine historique et culturel de la manufacture ».
La marque va intégrer ces chefs-d’œuvre au sein de son importante collection de pièces anciennes. « Leur acquisition démontre une nouvelle fois la volonté de Marc A. Hayek de préserver le patrimoine historique et culturel de la manufacture ».