De nos jours, impossible pour une collection de montres sportives, de ne pas proposer de version GMT. C’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit d’un best-seller. Ce qui est le cas du Chronomat de Breitling, l’un des plus gros succès commerciaux de la maison avec la plongeuse SuperOcean.
Le Chronomat est une montre très typée "années 80/90"… Un concurrent direct de la Rolex Daytona à l’époque, qui n’avait pas l’aura qu’on lui connait aujourd’hui, rappelons-le.
On l’a vu au poignet des plus grands acteurs de l’époque de Jean-Paul Belmondo (Itinéraire d’un enfant gâté) à Will Smith (Men in Black) en passant par Daniel Craig (Lara Croft), Jackie Chan (Le Médaillon) ou Bruce Willis (Colour of night).
Le Chronomat est une montre très typée "années 80/90"… Un concurrent direct de la Rolex Daytona à l’époque, qui n’avait pas l’aura qu’on lui connait aujourd’hui, rappelons-le.
On l’a vu au poignet des plus grands acteurs de l’époque de Jean-Paul Belmondo (Itinéraire d’un enfant gâté) à Will Smith (Men in Black) en passant par Daniel Craig (Lara Croft), Jackie Chan (Le Médaillon) ou Bruce Willis (Colour of night).
Ce ne sont là que quelques exemples, mais qui montrent bien la popularité de ce chrono de 39 mm né en 1984 et qui était équipé du fameux calibre 7750 et de sa masse oscillante que l’on sentait tourner au moindre mouvement du poignet.
Malgré la prépondérance du quartz à cette époque, Breitling prend le pari de relancer un chrono mécanique automatique, sa grande spécialité depuis l’élaboration du Chronomatic calibre 11 en 1969 réalisé en partenariat avec Heuer et Hamilton. De Chronomatic à Chronomat, il n’y a que deux lettres en moins.
En fait, la Chronomat « grand public » était inspirée de la Frecce Tricolori développée et lancée en 1983 en collaboration avec la célèbre patrouille acrobatique italienne du même nom. Ce chrono « sport-chic » fut un véritable succès commercial ! De là à imaginer qu’il sauva la marque à l’époque…
Malgré la prépondérance du quartz à cette époque, Breitling prend le pari de relancer un chrono mécanique automatique, sa grande spécialité depuis l’élaboration du Chronomatic calibre 11 en 1969 réalisé en partenariat avec Heuer et Hamilton. De Chronomatic à Chronomat, il n’y a que deux lettres en moins.
En fait, la Chronomat « grand public » était inspirée de la Frecce Tricolori développée et lancée en 1983 en collaboration avec la célèbre patrouille acrobatique italienne du même nom. Ce chrono « sport-chic » fut un véritable succès commercial ! De là à imaginer qu’il sauva la marque à l’époque…
Après des hauts et des bas pour ce modèle, 2020 sera donc l’année de la relance de cette collection emblématique pour Breitling. Après différentes versions présentées ces derniers mois (de 32 à 44 mm), l’horloger dévoile donc son Chronomat Automatic GMT 40, étanche à 200 mètres.
La complication GMT est ici animée par le Calibre Breitling 32 automatique. Sa graduation 24h (dans le réhaut) permet à l’utilisateur de visualiser un second fuseau horaire et de savoir immédiatement s’il y fait jour ou nuit. La date apparait à 6h de manière standard.
La lunette en acier et ses quatre "cavaliers" est fixe. La couronne de type « oignon » (une caractéristique classique des Chronomat qui doit son nom à sa forme de dôme cannelé) offre une prise en main facile.
Ce modèle pour grands voyageurs se porte sur le très beau bracelet à tubes en acier.
La complication GMT est ici animée par le Calibre Breitling 32 automatique. Sa graduation 24h (dans le réhaut) permet à l’utilisateur de visualiser un second fuseau horaire et de savoir immédiatement s’il y fait jour ou nuit. La date apparait à 6h de manière standard.
La lunette en acier et ses quatre "cavaliers" est fixe. La couronne de type « oignon » (une caractéristique classique des Chronomat qui doit son nom à sa forme de dôme cannelé) offre une prise en main facile.
Ce modèle pour grands voyageurs se porte sur le très beau bracelet à tubes en acier.