Voici l’un des tous premiers partenariats signés sous l’ère de Georges Kern, patron de l’horloger suisse depuis quelques mois. Breitling est bien évidemment connu pour ses montres d’aviateurs, mais ce n’est pas la première fois que le marque s’associe à un motoriste de renom, Breitling produisant déjà des pièces horlogères en partenariat avec Bentley.
Cette année, la marque au « B » ailé s’inscrit dans une tendance de fond ; celle de s’associer avec des marques de motos de légende. L’univers de la voiture étant d’ores et déjà saturé de partenariats. Ainsi, après Tudor, Zenith ou Baume et Mercier, c’est donc au tour de Breitling de céder au chant des sirènes, ou plutôt à celui du vrombissement des moteurs des motos anglaises Norton, les préférées de Steve McQueen.
Lorsque James Lansdowne Norton, alors fabricant de « raccords et de pièces pour le commerce des deux-roues » fonde son entreprise en 1898 et produit ses premières motos en 1902, cela fait déjà plus de dix ans que Léon Breitling crée des montres dans les montagnes du Jura suisse.
Stuart Garner, qui a acheté Norton Motorcycles en 2008 et lui a fait connaître son extraordinaire renaissance, indique : « j’ai toujours dit que la clé de la réussite d’une entreprise était de laisser la marque être elle-même. C’est essentiel pour Norton Motorcycles comme pour Breitling. Nous n’avons pas essayé de modifier la nature de nos marques ou de renier leur histoire respective. En fait, nous nous appuyons sur ces histoires et nous en inspirons tout en nous projetant vers l’avenir. »
De son côté, Georges Kern est persuadé que les communautés de fans passionnés de Breitling et de Norton Motorcycles se rejoindront. Peut-être… D’après lui, « les deux entreprises sont renommées pour des produits dotés d’un incroyable ‹ facteur de coolitude ›. Il est facile d’imaginer un motard aux commandes d’une Norton, une Breitling classique au poignet : la rencontre au sommet de deux marques inspirantes au message fort. »
D’ici quelques mois, de nouvelles montres incarneront l’association de ces deux marques, en portant à la fois les couleurs d’un horloger suisse de renom et celles d’un éminent fabricant britannique de motos. Reste à savoir si c’est ce qu’attendent réellement les fans de l’horloger…
Cette année, la marque au « B » ailé s’inscrit dans une tendance de fond ; celle de s’associer avec des marques de motos de légende. L’univers de la voiture étant d’ores et déjà saturé de partenariats. Ainsi, après Tudor, Zenith ou Baume et Mercier, c’est donc au tour de Breitling de céder au chant des sirènes, ou plutôt à celui du vrombissement des moteurs des motos anglaises Norton, les préférées de Steve McQueen.
Lorsque James Lansdowne Norton, alors fabricant de « raccords et de pièces pour le commerce des deux-roues » fonde son entreprise en 1898 et produit ses premières motos en 1902, cela fait déjà plus de dix ans que Léon Breitling crée des montres dans les montagnes du Jura suisse.
Stuart Garner, qui a acheté Norton Motorcycles en 2008 et lui a fait connaître son extraordinaire renaissance, indique : « j’ai toujours dit que la clé de la réussite d’une entreprise était de laisser la marque être elle-même. C’est essentiel pour Norton Motorcycles comme pour Breitling. Nous n’avons pas essayé de modifier la nature de nos marques ou de renier leur histoire respective. En fait, nous nous appuyons sur ces histoires et nous en inspirons tout en nous projetant vers l’avenir. »
De son côté, Georges Kern est persuadé que les communautés de fans passionnés de Breitling et de Norton Motorcycles se rejoindront. Peut-être… D’après lui, « les deux entreprises sont renommées pour des produits dotés d’un incroyable ‹ facteur de coolitude ›. Il est facile d’imaginer un motard aux commandes d’une Norton, une Breitling classique au poignet : la rencontre au sommet de deux marques inspirantes au message fort. »
D’ici quelques mois, de nouvelles montres incarneront l’association de ces deux marques, en portant à la fois les couleurs d’un horloger suisse de renom et celles d’un éminent fabricant britannique de motos. Reste à savoir si c’est ce qu’attendent réellement les fans de l’horloger…