C’est l’une des plus mythiques courses au large et aussi, l’épreuve sportive la plus longue et la plus
endurante au monde.
Pendant 8 mois, en équipage, après 4 escales, Marie Tabarly, à la barre de son fidèle Pen-Duick VI, va chercher à franchir en vainqueur la ligne d’arrivée.
« L’idée assez folle, je dois le dire, c’est de courir cette course autour du monde à l’ancienne, dans
les conditions de 1973, sans GPS, sans moyen de communication et sans réception de fichier météo
par satellites », explique le capitaine. « C’est un retour à l’ADN de la course au large ».
Ainsi, cinquante ans après leur rencontre, deux monuments de la course au large sont au rendez-vous, Pen-Duick VI et la Whitbread pour cet évènement nautique qui figure assurément parmi les plus symboliques et importants de la décennie.
Géant des mers de 22,25m, avec ses mats de 25 m, Pen-Duick VI est l’un des bateaux les plus puissants de sa génération lorsqu’il fut construit en 1973. Ces derniers temps il a fait l’objet d’une campagne de restauration importante, puis de préparation hivernale afin de rôder le nouvel équipage lors d’entrainements intenses, à affronter les quarantièmes rugissants.
Depuis 2017, Pen-Duick VI est le navire ambassadeur de l’association de Marie Tabarly, The Element’Terre Project qui bat le pavillon de l’urgence environnementale.
« Depuis de longs mois, nous avons assisté à la préparation du bateau et de son équipage, explique Edouard d’Arbaumont, Directeur Général de Breitling Europe du sud. Nous soutenons Marie dans cette course audacieuse. L’esprit d’équipe, la solidarité l’animent. Nous sommes à ses côtés et souhaitons la retrouver en tête dans 8 mois ».
« Je participe à cette course pour la gagner, pas pour faire de la figuration. Mon premier objectif est de faire le tour en ramenant tout le monde. Ensuite de battre les temps de Pen-Duick VI en 81, et enfin bien sûr, d’arriver la première » assure Marie qui a choisi de porter une Superocean Heritage. Elle apprécie également la Breitling que portait son père, un modèle à quartz.
endurante au monde.
Pendant 8 mois, en équipage, après 4 escales, Marie Tabarly, à la barre de son fidèle Pen-Duick VI, va chercher à franchir en vainqueur la ligne d’arrivée.
« L’idée assez folle, je dois le dire, c’est de courir cette course autour du monde à l’ancienne, dans
les conditions de 1973, sans GPS, sans moyen de communication et sans réception de fichier météo
par satellites », explique le capitaine. « C’est un retour à l’ADN de la course au large ».
Ainsi, cinquante ans après leur rencontre, deux monuments de la course au large sont au rendez-vous, Pen-Duick VI et la Whitbread pour cet évènement nautique qui figure assurément parmi les plus symboliques et importants de la décennie.
Géant des mers de 22,25m, avec ses mats de 25 m, Pen-Duick VI est l’un des bateaux les plus puissants de sa génération lorsqu’il fut construit en 1973. Ces derniers temps il a fait l’objet d’une campagne de restauration importante, puis de préparation hivernale afin de rôder le nouvel équipage lors d’entrainements intenses, à affronter les quarantièmes rugissants.
Depuis 2017, Pen-Duick VI est le navire ambassadeur de l’association de Marie Tabarly, The Element’Terre Project qui bat le pavillon de l’urgence environnementale.
« Depuis de longs mois, nous avons assisté à la préparation du bateau et de son équipage, explique Edouard d’Arbaumont, Directeur Général de Breitling Europe du sud. Nous soutenons Marie dans cette course audacieuse. L’esprit d’équipe, la solidarité l’animent. Nous sommes à ses côtés et souhaitons la retrouver en tête dans 8 mois ».
« Je participe à cette course pour la gagner, pas pour faire de la figuration. Mon premier objectif est de faire le tour en ramenant tout le monde. Ensuite de battre les temps de Pen-Duick VI en 81, et enfin bien sûr, d’arriver la première » assure Marie qui a choisi de porter une Superocean Heritage. Elle apprécie également la Breitling que portait son père, un modèle à quartz.