C’est la vie de n’importe quel détaillant horloger au monde. Au fil du temps, certaines marques arrivent dans ses vitrines quand d’autres en partent ; surtout quand les grands groupes horlogers sont obsédés par l’idée d’ouvrir des boutiques exclusives.
Si Rolex et Tudor resteront des partenaires immuables et incontournables sur le temps long (Rolex a récemment racheté Bucherer), de nouveaux arrivants entrent au catalogue du détaillant lucernois.
Depuis l’an passé, la boutique du boulevard des Capucines proposent ainsi les montres Norqain. Des garde-temps sportifs qui s’adressent principalement à une clientèle de jeunes amateurs.
Et en cette rentrée 2023, Bucherer Paris ouvre donc ses vitrines à Breitling, Franck Muller, Grand Seiko et Czapek. Un très bon « mix » de marques traditionnelles suisses, mais également une japonaise ! Une première qui illustre bien l’engouement des connaisseurs pour la haute horlogerie nippone qui fait de plus en plus parler d’elle.
Avec l’arrivée de Czapek qui rejoint Moser dans le camp des indépendants, on voit aussi que Bucherer ne se contente plus de proposer les marques les plus connues, mais que l’enseigne fait également office de « tête chercheuse » en accueillant ces marques de niche qui font désormais partie intégrante de l’offre horlogère.
Si Rolex et Tudor resteront des partenaires immuables et incontournables sur le temps long (Rolex a récemment racheté Bucherer), de nouveaux arrivants entrent au catalogue du détaillant lucernois.
Depuis l’an passé, la boutique du boulevard des Capucines proposent ainsi les montres Norqain. Des garde-temps sportifs qui s’adressent principalement à une clientèle de jeunes amateurs.
Et en cette rentrée 2023, Bucherer Paris ouvre donc ses vitrines à Breitling, Franck Muller, Grand Seiko et Czapek. Un très bon « mix » de marques traditionnelles suisses, mais également une japonaise ! Une première qui illustre bien l’engouement des connaisseurs pour la haute horlogerie nippone qui fait de plus en plus parler d’elle.
Avec l’arrivée de Czapek qui rejoint Moser dans le camp des indépendants, on voit aussi que Bucherer ne se contente plus de proposer les marques les plus connues, mais que l’enseigne fait également office de « tête chercheuse » en accueillant ces marques de niche qui font désormais partie intégrante de l’offre horlogère.