Lancée au printemps 2017, l’Octo Finissimo de Bulgari s’est imposée comme l’un des best-sellers horlogers de ces dernières années. Un véritable succès esthétique, mécanique mais également commercial. Une belle performance dans un marché somme toute, très difficile pour l’horlogerie haut de gamme.
Cette montre est tout simplement unique. Elle concentre en son sein un calibre mécanique automatique extraplat associé à une boite et un bracelet ultra-design et très travaillé (ici donc en acier poli satiné ou or rose poli satiné sur bracelet cuir) pour un résultat totalement bluffant.
Lire aussi : Bulgari, la production des boites et cadrans est intégrée dans un site unique à Saignelegier
Cette montre est tout simplement unique. Elle concentre en son sein un calibre mécanique automatique extraplat associé à une boite et un bracelet ultra-design et très travaillé (ici donc en acier poli satiné ou or rose poli satiné sur bracelet cuir) pour un résultat totalement bluffant.
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Rappelons par ailleurs que cette Octo Finissimo bat le record de la montre automatique la plus fine. Et le fait est qu’au poignet, elle s’avère d’une finesse absolue (5,15 mm et 2,23 pour le calibre) ; un effet encore accentué par le boitier extrêmement bien travaillé, très plat, tout en angles et qui s’adapte parfaitement à la plupart des morphologies. En acier, on perd cependant l’effet « wow » de légèreté du titane.
Avec son boitier de 40 mm (étanche 30 mètres) qui arbore différentes figures géométriques, cette pièce affiche une allure résolument Bulgari. Dans cette version acier, le cadran est en laque noire polie (on perd l’aspect monochrome de la version titane). Il est associé à des aiguilles partiellement squelettées, des index et des chiffres en acier. La petite seconde est décentrée à 7h30. On retrouve bien évidemment les fameux 6 et 12 si caractéristiques des modèles Bulgari.
Le calibre manufacture BVL 138 est mu par un micro-rotor en platine qui optimise, grâce à sa densité, le remontage de la montre à chaque mouvement du poignet. Battant à une cadence de 21.600 alternances par minutes, ce « moteur » affiche une très confortable réserve de marche de 60 heures. Grâce au fond saphir, on peut voir le beau travail de décoration perlage et Côtes de Genève effectué sur le calibre.
Cette Octo Finissimo en acier au design plus consensuel perd un peu du charme de la version titane, mais elle manquait clairement au catalogue. C’est chose faite.
Avec son boitier de 40 mm (étanche 30 mètres) qui arbore différentes figures géométriques, cette pièce affiche une allure résolument Bulgari. Dans cette version acier, le cadran est en laque noire polie (on perd l’aspect monochrome de la version titane). Il est associé à des aiguilles partiellement squelettées, des index et des chiffres en acier. La petite seconde est décentrée à 7h30. On retrouve bien évidemment les fameux 6 et 12 si caractéristiques des modèles Bulgari.
Le calibre manufacture BVL 138 est mu par un micro-rotor en platine qui optimise, grâce à sa densité, le remontage de la montre à chaque mouvement du poignet. Battant à une cadence de 21.600 alternances par minutes, ce « moteur » affiche une très confortable réserve de marche de 60 heures. Grâce au fond saphir, on peut voir le beau travail de décoration perlage et Côtes de Genève effectué sur le calibre.
Cette Octo Finissimo en acier au design plus consensuel perd un peu du charme de la version titane, mais elle manquait clairement au catalogue. C’est chose faite.